Majastres

Majastres (Majastre en provençal selon la norme mistralienne) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Majastres

Vue générale du village.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Intercommunalité Provence-Alpes Agglomération
Maire
Mandat
Jean Sevenier
2020-2026
Code postal 04270
Code commune 04107
Démographie
Gentilé Malejactois
Population
municipale
hab. (2018 )
Densité 0,13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 54′ 51″ nord, 6° 17′ 23″ est
Altitude Min. 800 m
Max. 1 860 m
Superficie 29,85 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Riez
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Majastres
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Majastres
Géolocalisation sur la carte : France
Majastres
Géolocalisation sur la carte : France
Majastres

    Avec quatre habitants permanents, c’est la commune la moins peuplée du département (Alpes-de-Haute-Provence) et de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

    Le nom de ses habitants, d'apparence faussement savante et de confection fantaisiste si on juge par les étymologies préposées, est Malejactois[1].

    Géographie

    Majastres et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    Situation et accès

    Le village est situé à 1 143 mètres d’altitude[2],[3], au cœur du massif du Montdenier.

    Le point culminant est le sommet du Serre de Montdenier, à 1 749 mètres d’altitude.

    On peut y accéder par une route suivant la vallée de l’Estoublaïsse et par le col de Saint-Jurs (1318 mètres) au départ de Saint-Jurs, alternativement dans une forêt méditerranéenne (pins et chênes) et dans des gorges étroites, et réduite à l’état de piste terreuse sur une partie de son parcours.

    Une autre piste étroite et très caillouteuse relie Majastres à Blieux. Enfin, on peut atteindre Majastres à partir de Mézel, par le col de la Croix (869 mètres) et par la route départementale 17 : la route est étroite mais correctement goudronnée.

    Communes limitrophes

    Majastres est limitrophe de six communes, toutes situées dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et réparties géographiquement de la manière suivante :

    Géologie et relief

    C'est une des communes couvertes par la Réserve naturelle géologique de Haute-Provence[4]

    Hydrographie

    • L'eau dans la commune[5] :
      • Liste des masses d'eau superficielles directement impactées (traversant la commune) : ravin du riou d'ourgeas; ravin du pas d'escale; L'Estoublaise
    • Mesure des eaux souterraines, Lieu-dit : Ruisseau De Ville : Code national du point d’eau : 09702X0001/HY, Code européen du point d’eau : FR09702X0001/HY[6].

    Flore et faune

    Une liste des espèces recensées a permis d'inventorier 754 taxons terminaux (espèces et infra-espèces) sur la commune[7].

    Transports

    La seule route desservant la commune de Majastres est la départementale 17 des Alpes-de-Haute-Provence, une route difficile qui la relie à la vallée de l'Asse (Mézel) au nord, et à celle du Verdon (Rougon) au sud.

    L'ancienne halte du « Train des Pignes », située à plusieurs heures de marche du village entre Norante et Barrême, a été fermée en 2013.

    Risques majeurs

    Le canton de Mézel auquel appartient Majastres est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[8], et en zone 3 (risque modéré) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[9]. La commune de Majastres est également exposée à deux autres risques naturels[9] : les feux de forêt et les mouvements de terrain.

    La commune de Majastres n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[10] et aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[10] ; le Dicrim n’existe pas non plus[11].

    Le seul tremblement de terre fortement ressenti dans la commune est celui de Chasteuil, le , avec une intensité macro-sismique ressentie de IV et demi sur l’échelle MSK[12],[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Majastres est une commune rurale[Note 1],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (49,7 %), forêts (40,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (10,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    La localité apparaît pour la première fois dans les textes en 1040, de terra Magastris. Selon Charles Rostaing, il s’agirait d’un nom formé sur une racine pré-indo-européenne, *Mag-. Selon Ernest Nègre, il peut s’agir d’un nom propitiatoire, visant à attirer un destin favorable, formé de l’occitan mager (plus grand) et astre (destin) : le village au destin meilleur[21],[22].

    Charles Rostaing considère que Levens, de la même façon que Majastres, est un toponyme antérieur aux Gaulois[23].

    Histoire

    La communauté de Majastres, signalée en 1040 pour la première fois[24], relevait de la baillie de Digne[24]. Le chapitre de Riez percevait les revenus liés aux églises des deux communautés de Levens et Majastres. Il existait également deux prieurés, Saint-Sauveur et Saint-Pierre[24]. En 1309, Guillaume de Roumoules est signalé comme seigneur de Roumoules, de Beaujeu, de Bédéjun, de Bras-d'Asse, d'Entrages, de Majastres, de Vergons et d'Estoublon[25].

    Durant les guerres de religion, le bourg est attaqué et saccagé par les protestants en 1574[26]. Les carcistes (catholiques radicaux), menés par le comte de Sault et Hubert de Garde de Vins, prennent et saccagent le village le [27].

    Durant la Révolution, cette commune comptait une société patriotique, créée après la fin de 1792[28]. Les communes du Poil et de Majastres en possédaient également chacun une, mais les deux communes ayant de bonnes relations, elles fusionnent en mai 1793[29].

    Comme de nombreuses communes du département, Levens et Majastres se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, chaque commune en possède une, installée au chef-lieu, qui dispensent une instruction primaire aux garçons[30]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[31], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent les deux communes[32], et ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Levens et de Majastres sont régulièrement scolarisées.

    La commune de Levens rattachée à Majastres en 1951[33]. Son nom apparaît dans les chartes vers 1200, sous la forme Levenz[34]. Elle comptait 27 feux en 1301, était comme Majastres inhabitée en 1471 et avait 169 habitants en 1765[34].

    Économie

    Aperçu général

    En 2009, la population active comptait une seule personne, ayant un emploi[35]. Du fait de l’extrême faiblesse de l’économie locale, le secteur primaire représente la totalité des emplois de Majastres.

    Agriculture

    Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait quatre établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non professionnels inclus) et un emploi salarié[36].

    Les exploitations professionnelles sont inexistantes en 2010, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture[37]. Elles étaient trois en 1988[38] avec une surface agricole utile (SAU) de 544 hectares[38].

    Activités de service

    Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait un seul établissement, la mairie[36].

    D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est très importante pour la commune, avec plus de cinq touristes accueillis par habitant, statistique faussée par la faiblesse de la population[39]. La seule capacité d'hébergement de la commune consiste en ses résidences secondaires[40] : au nombre de 12, elles représentent 86 % des logements[41],[42].

    Politique et administration

    Habitants, électeurs et élus

    Bien que ne comptant que quatre habitants permanents (en 2017), la commune compte 19 électeurs inscrits, incluant les résidents secondaires. Conformément à la loi, le conseil municipal compte sept membres, élus au scrutin plurinominal. Pour les élections de , neuf candidats se présentent, dont le maire sortant[43].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945 mars 1983 ? Adrien Pierrisnard[44]    
    mars 1983 21 juin 2013
    (décès)
    Gustave Pierrisnard[45],[46] PCF[47] Retraité
    mars 2014 En cours
    (au 21 octobre 2014)
    Jean Sévenier[48] SE Artisan
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Majastres a fait partie, de 2005 à 2012, de la communauté de communes de l'Asse et de ses Affluents, puis de 2013 à 2016 de la communauté de communes Asse Bléone Verdon. Cette dernière a fusionné avec d'autres communautés de communes pour constituer la communauté d'agglomération Provence-Alpes Agglomération, existant depuis le .

    Budget et fiscalité 2015

    En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[49] :

    • total des produits de fonctionnement : 33 000 , soit 16 461  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 45 000 , soit 22 681  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 16 000 , soit 8 089  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 9 000 , soit 4 669  par habitant.
    • endettement : , soit 25  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 2,67 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 3,22 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 25,00 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Démographie

    Majastres est une des communes parmi les moins peuplées de France avec Rochefourchat et Aulan (Drôme), Leménil-Mitry (Meurthe-et-Moselle), Baren (Haute-Garonne) et Ornes (Meuse). En 2018, la commune comptait 4 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements des communes de moins de 10 000 habitants sont effectués tous les cinq ans (2006, 2011, 2016 pour Mane). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.

    Majastres

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[51].

    En 2018, la commune comptait 4 habitants[Note 2], en augmentation de 100 % par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence : +1,33 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
    276224202216248270270263259
    1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    225245226213202165166174156
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    143137117955754414443
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011
    352720141210822
    2016 2018 - - - - - - -
    44-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution démographique avant 1765
    1315 1471
    26 feuxinhabitée

    Levens

    Évolution démographique de Levens depuis 1315
    1315 1471 1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841
    27 feuxinhabité16913188134155157178152
    1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    16716315313913712613811099103
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 -
    78746655197445-
    (Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[34], EHESS[53])

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Façade de l'église Notre-Dame de la Roche
    • L’église paroissiale est placée sous le vocable de Notre-Dame-de-la-Roche[34],[24].
    • L’ancienne église paroissiale de Levens est, elle, sous la titulature de Saint-Barnabé[24].
    • Le monument aux morts de la guerre 1914-1918[54],[55].
    • Croix de Saint-Sauveur.

    Héraldique

    Blason
    De gueules à la tour d'or maçonnée de sable posée sur un mont d'argent[56],[57].
    Détails
    Blason attribué par Charles d'Hozier à la fin du XVIIe siècle.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Levens
    Blason
    D'azur à la fasce d'argent, chargée de l'inscription « LEVENS » en lettres capitales de sable[58],[57].
    Détails
    Blason attribué par Charles d'Hozier à la fin du XVIIe siècle.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Film

    Sources

    Bibliographie

    Références

    1. Habitants.fr - Le nom des habitants des A.H.P
    2. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
    3. Le repère du Nivellement général indique 1143 ± 1 m
    4. Réserve géologique de Haute-Provence
    5. L'eau dans la commune
    6. Station de mesure des eaux souterraines
    7. Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
    8. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
    9. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 31 juillet 2012
    10. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 96
    11. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 31 juillet 2011
    12. BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Majastres », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 31 juillet 2012
    13. BRGM, « fiche 40099 », Sisfrance, consultée le 31 juillet 2012
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 199-200
    22. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne). § 21048, p 1122
    23. Charles Rostaing, « Toponymie d’origine pré-gauloise » in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 11 et commentaire
    24. Daniel Thiery, « Majastres », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2010, mis à jour le 4 décembre 2011, consulté le 31 juillet 2012
    25. Marie-Zéphirin Isnard, État documentaire et féodal de la Haute-Provence : nomenclature de toutes les seigneuries de cette région et de leurs possesseurs depuis le XIIe siècle jusqu'à l'abolition de la féodalité ; état sommaire des documents d'archive communales antérieures à 1790 ; bibliographie et armoiries, Digne, Vial, 1913, p. 446
    26. Jacques Cru, Histoire des Gorges du Verdon jusqu’à la Révolution, coédition Édisud et Parc naturel régional du Verdon, 2001, (ISBN 2-7449-0139-3), p 200
    27. Jacques Cru, op. cit., p 201
    28. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
    29. Alphand, op. cit., p 296
    30. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    31. Labadie, op. cit., p. 16.
    32. Labadie, op. cit., p. 18.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (notice BnF no FRBNF35450017), p. 180-181
    35. Insee, Dossier local - Commune : Majastres, p. 5 (mis à jour le 28 juin 2012)
    36. Insee, Dossier local, p. 16
    37. Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
    38. Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
    39. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
    40. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
    41. Insee, Dossier local, op. cit., p. 16
    42. Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
    43. P.S., « Municipales 2020 : à Majastres, un des plus petits villages de France, “être maire, c'est être le papa de tout le monde” », sur france3-regions.francetvinfo.fr, France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur, (consulté le ).
    44. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
    45. Gustave Pierrisnard est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Gérard Schivardi (PT) à l’élection présidentielle de 2007, cf Parrainages élection présidentielle 2007, consulté le 28 juillet 2010, et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2007
    46. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Jausiers à Montfort (liste 4), consulté le 8 mars 2013
    47. Annuaire des mairies des Alpes-de-Haute-Provence
    48. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
    49. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 23 mars 2015 sur l'Internet Archive)
    50. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    51. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    53. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Levens », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    54. Monument aux morts de la guerre de 14-18
    55. Monument aux morts
    56. « 04107 Majastres (Alpes-de-Haute-Provence) », sur armorialdefrance.fr (consulté le )
    57. Louis de Bresc Armorial des communes de Provence 1866. Réédition - Marcel Petit CPM - Raphèle-lès-Arles 1994
    58. « 04107 Levens (Alpes-de-Haute-Provence) », sur armorialdefrance.fr (consulté le )
    59. https://www.youtube.com/watch?v=dRxKmpN-ziw

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
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