Maison Saint-Jean
La Maison Saint-Jean, ancienne propriété Chénier dite de la Belle Levantine, est une maison de maître du début de XIXe siècle.
Cette maison de maître (façades et toitures) fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [1].
Histoire

Ce bâtiment a été construit par Louis-Sauveur Chénier, fils cadet de Louis Chénier, et frère d'André Chénier sur les plans de l'architecte Georges Auguste Ranchon. En 1820[2], cette maison est achetée par Jean-Charles Persil, ministre de Louis-Philippe, qui y meurt en 1870. Elle appartient aujourd'hui à la Fondation marianiste.
Deux personnalités marianistes importantes y séjournent. Le , dans la chapelle de la maison, le futur martyr Jakob Gapp s'engage définitivement dans la Société de Marie (Marianistes) en prononçant ses vœux perpétuels. Fin , le jeune Faustino Pérez-Manglano campe dans le parc au cours d'un séjour organisé par son collège, Santa Maria del Pilar de Valence[3],[4].
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
- Notice no IA00121237, base Mérimée, ministère français de la Culture
- La maison Chénier (sur le site de l'APPA)
- (es) « Faustino Pérez Manglano Magro », sur https://plus.google.com/114560240561891936070/posts, (consulté le )
- (es) « Faustino Pérez Manglano Magro », sur https://plus.google.com/114560240561891936070/posts, (consulté le )
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