Magné (Vienne)

Magné est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Magné.

Magné

Le château de La Roche.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes du Civraisien en Poitou
Maire
Mandat
Murielle Phelippon
2020-2026
Code postal 86160
Code commune 86141
Démographie
Gentilé Magnésiens
Population
municipale
675 hab. (2018 )
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 21′ 28″ nord, 0° 23′ 37″ est
Altitude Min. 109 m
Max. 144 m
Superficie 20,01 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Civray
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Magné
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Magné
Géolocalisation sur la carte : France
Magné
Géolocalisation sur la carte : France
Magné

    Géographie

    Située au sud-ouest de Poitiers, la commune de Magné fait partie du Pays Civraisien. Le bourg se trouve à km de Gençay.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 805 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Ferrière Airoux_sapc », sur la commune de La Ferrière-Airoux, mise en service en 1990[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 771,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 25 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Magné est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,9 %), prairies (11,6 %), forêts (8,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %), zones urbanisées (2,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Monument aux morts de 1914-1918.

    La commune de Magné est fréquentée par les humains depuis plusieurs millénaires. La preuve est apportée par le petit dolmen situé au lieudit le Rocher, qui renfermait des sépultures celtiques. Des armes en silex et des fragments de poterie ont été trouvés en ce lieu au début du XXe siècle. Ces artéfacts ont été déposés au musée Sainte-Croix de Poitiers.

    La période gallo-romaine est caractérisée par une exploitation métallurgique assez importante.

    Sur la place de l'Église, un cimetière mérovingien s'étend jusque devant les grilles de la mairie et atteste d'une présence humaine durant cette période.

    Le sous-sol, par endroits calcaire, a permis l'extraction de la pierre à bâtir et l'installation de fours à chaux sur le territoire de la commune. Le dernier s'est arrêté vers 1940.

    Politique et administration

    Mairie de Magné.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[20]
    Période Identité Étiquette Qualité
    en cours (2008) Jean Bibault    

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

    En 2018, la commune comptait 675 habitants[Note 7], en augmentation de 2,27 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    509435531518653653607684693
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    745688675743785789789786705
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    748724765713711691704738643
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    630600528460510504575622676
    2018 - - - - - - - -
    675--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 31 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Économie

    Selon la direction Régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Foret de Poitou-Charentes[25], il n'y a plus que 21 exploitations agricoles en 2010 contre 32 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont toutefois augmenté de 23 % et sont passées de 1 758 hectares en 2000 à 2 178 hectares en 2010 dont 572 irrigables[25]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[26].

    47 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 28 % pour les oléagineux (2/3 en colza et 1/3 en tournesol) , 18 % pour le fourrage et 2 % reste en herbes. En 2000, 3 hectares (1 en 2010) étaient consacrés à la vigne[25].

    5 exploitations en 2010 comme en 2000 abritent un élevage de bovins (685 têtes en 2010 contre 610 en 2000). 9 exploitations en 2010 (contre 13 en 2000) abritent un élevage d'ovins (1 612 têtes en 2010 contre 1 291 têtes en 2000)[25]. Cette évolution est inverse à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[27]. En 2011, le nombre de têtes dans le département de la Vienne était de 214 300[28].

    L'élevage de volailles a disparu au cours de cette décennie (3 565 têtes sur 11 fermes en 2000)[25].

    Culture locale et patrimoine

    Château de la Roche

    Le château de La Roche-Gençay est l'objet d'une inscription depuis 1981[29] pour ses communs, sa chapelle, sa bibliothèque, l'escalier, le salon, la salle à manger, son élévation, sa tour, sa toiture et l'ensemble de son décor intérieur.

    Datant du XVe siècle, il abrite le musée de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.

    C'est l'une des plus belles demeures seigneuriales du département de la Vienne de par l'harmonie de son ensemble. Le château domine majestueusement la vallée de la Belle.

    Sa construction s'étend de la fin du XVe siècle jusqu'au XVIIIe siècle. En 1603, il était déjà composé d'un « vieux logis », dont il ne subsiste plus, depuis les travaux de 1872, qu'un commencement de couloir souterrain menant à la « salle des chevaliers », salle ronde taillée dans le roc, qui, jusqu'en 1878, possédait un jour naturel dans le rocher alors à pic. Des apports de terre ont transformé cet à-pic en pente douce vers la rivière, obstruant ainsi cet orifice. Il subsiste aussi une partie alors récente, qui constitue le début du château actuel. Une deuxième phase de travaux correspond à la façade donnant sur la Belle qui mêle des sculptures des styles gothiques et Renaissance. Une troisième phase a permis de relier la tour sud à la tour ouest. Enfin, de 1870 à 1872, sont édifiés la tour nord et le corps de bâtiment la reliant à la tour est, l'ouverture d'une porte, le perron face à la Belle. Cette phase est aussi marquée par la restauration des parties anciennes et par le couronnement de l'édifice d'une bordure de pierre ouvragée. Un campanile, avec trois cloches de bronze fut monté au milieu de la toiture. Il a été supprimé en 1987.

    Le parc aurait été dessiné par Le Nôtre. Il possède deux sources : celle dite « du parc de Magné » et celle dite « des Coutières » située au pied du château.

    On visite uniquement (en 2011), le rez-de-chaussée, la salle à manger et l'enfilade de trois petits salons avec de beaux parquets à la française et des boiseries d'origine. Ces pièces sont agrémentées d'un mobilier d'époque, d’innombrables portraits de famille, de tapisseries et d'un lustre en cristal de Bohême. Le château a reçu en 2003, selon l'office du Tourisme de la Vienne en 2003, 1 300 visiteurs.

    La chapelle a été construite vers 1530. Elle a connu de nombreuses transformations jusqu'en 1880 pour accueillir de magnifiques vitraux qui ont été primés à l'Exposition Universelle de 1870. L'autel est en boiserie de style gothique. La chapelle est surmontée d'une croix de pierre sculptée, qui a remplacé, en 1872, un double arceau de pierre.

    La décoration intérieure est du XVIIIe siècle.

    Le musée est installé dans les dépendances du château. C'est le seul musée en France à être consacré à l'ordre souverain de Malte. Le musée a été créé par le comte Géraud Michel de Pierredon, bailli de l'ordre souverain de Malte, ancien hospitalier et représentant de l'Ordre auprès du gouvernement français.

    Le musée retrace l'histoire des chevaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem des origines à nos jours à travers des cartes, des médailles, des armures et des films.

    Église

    Détail de la façade orientale de l'église de Magné.

    L'église de Magné a eu une histoire très mouvementée (inscription en 1952)[30] ;

    Un premier édifice date de la fin du XIIe siècle, ou début du XIIIe. En 1569, les protestants, qui assiégeaient Poitiers, brûlèrent l'église. Le bénitier actuel et les fonts baptismaux datent de cette première église, de même que certaines têtes de chapiteaux visibles sur les murs extérieurs.

    Jusqu'en 1661, le culte était célébré dans l’église en ruine en se servant de la chapelle dite Bellaudeau qui porte le nom du curé qui la construite en 1560, comme chœur. La nouvelle église Saint-Médard fut construite au niveau de la place sur laquelle se trouve la porte principale de l'église. Comme il fallait que le chœur soit plus haut que la nef, il fut décidé de surélever le sol de la chapelle Bellaudeau de deux mètres. Puis les chapelles latérales furent construites. En 1664, les travaux sont terminés.

    L'église a peu changé depuis le XVIIe siècle.

    Fontaine de Puyrabier

    Le Puyrabier est un hameau très ancien. Il est déjà cité en 1286. En 1334, ce lieu est appelé arbergamentum de puteo ralerii, traduit par un latiniste comme « le fief du mont de la source de la rivière ». Les maisons sont en effet bâties sur le flanc d'un petit coteau dominant une fontaine très connue dans la région. On y voit encore un logis avec des sculptures du XVe siècle.

    La fontaine (privée) de 7 mètres de profondeur est la source de la Belle.

    Parc de la Belle

    Le parc s'étend sur une surface vallonnée de 15 hectares, sur les rives de la Belle.

    Il abrite plus de 20 000 plantes et de multiples essences d'arbres. Des près bas ont été aménagés. Une zone naturelle humide et de bois a été remis en valeur. Le parc s'est enrichi d'un labyrinthe en osier vivant sur plus de 200 mètres linéaires.

    La demeure bourgeoise qui héberge l'accueil des visiteurs a été rénovée. Elle est typique du patrimoine poitevin : ancienne bâtisse de maître, jardin de curé, potager (d'ornement aujourd'hui), four à pain, serre, lavoir.

    Une petite ferme abrite des animaux domestiques.

    La communauté du Pays Gencéen a confié la gestion du parc à Emmanuel le Grelle (directeur de la Vallée des Singes) en 2006. Pour compléter l'activité du site, des cabanes dans les arbres ont été construites.Elles peuvent accueillir deux à six personnes. Elles sont construites dans le respect de la nature et des arbres, sans aucun clou, entre 4 et 14 mètres de hauteur.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles de Wikipédia

    Liens externes

    Sources

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France La Ferrière Airoux_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Magné et La Ferrière-Airoux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France La Ferrière Airoux_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Magné et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    26. Agreste – Enquête Structure 2007.
    27. Agreste – Bulletin n°12 de Mai 2013
    28. Panorama de l’Agriculture en Vienne – Juin 2012 – Chambre d’Agriculture de la Vienne.
    29. « Château de La Roche-Gençay », notice no PA00105517, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. « Église », notice no PA00105518, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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