Madeleine Laval

Madeleine Laval (née le - morte le [1]) est une germaniste et une traductrice française.

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Professeur d'allemand au lycée Fénelon, elle est surtout connue comme traductrice des romantiques allemands, en particulier d'Ernst Theodor Amadeus Hoffmann, dont elle a assuré l'édition des œuvres, avec son maître Albert Béguin, en 5 volumes au Club des libraires de France (1956-1958) puis en 14 volumes aux éditions Phébus (1978-1988)[1] ; citons tout particulièrement sa traduction des Élixirs du Diable.
Elle a également traduit Berlin de Theodor Plievier (Flammarion, 1955) avec René et Élisabeth Chenevard, L'Homme qui ne voulait pas vieillir (der Mann der nicht alt werden wollte) de Walter Jens (Julliard, 1956) ou Scènes de la vie d'un propre à rien (Aus dem Leben eines Taugenichts) de Joseph von Eichendorff avec Robert Sctrick (Phébus, 1990).

Elle était l'épouse de l'éditeur Jacques Haumont[1].

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