Lignan-de-Bordeaux

Lignan-de-Bordeaux est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Lignan-de-Bordeaux

La mairie

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Bordeaux
Intercommunalité Communauté de communes des Portes de l'Entre-Deux-Mers
Maire
Mandat
Pierre Buisseret
2020-2026
Code postal 33360
Code commune 33245
Démographie
Gentilé Lignanais, Lignanaises
Population
municipale
816 hab. (2018 )
Densité 91 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 47′ 49″ nord, 0° 25′ 36″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 95 m
Superficie 8,94 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Créon
Législatives Douzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Lignan-de-Bordeaux
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Lignan-de-Bordeaux
Géolocalisation sur la carte : France
Lignan-de-Bordeaux
Géolocalisation sur la carte : France
Lignan-de-Bordeaux
Liens
Site web www.lignan-de-bordeaux.fr/

    Géographie

    Commune de l'aire d'attraction de Bordeaux et de son unité urbaine, Lignan-de-Bordeaux est située dans la région naturelle de l'Entre-deux-Mers.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes en sont Bonnetan au nord-nord-est, Loupes au nord-est, Sadirac au sud-est, Saint-Caprais-de-Bordeaux au sud sur environ 175 m, Cénac à l'ouest et Fargues-Saint-Hilaire au nord-ouest.

    Communes limitrophes de Lignan-de-Bordeaux[1]
                   Fargues-Saint-Hilaire                Bonnetan

    Loupes
    Cénac Sadirac
    Saint-Caprais-de-Bordeaux
    Limites administratives de la commune

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 880 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cursan », sur la commune de Cursan, mise en service en 1984[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 886,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 18 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Lignan-de-Bordeaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux, une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes[19] et 969 897 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Bordeaux est la sixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse[20],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (32,5 %), zones agricoles hétérogènes (20,9 %), prairies (20,2 %), forêts (19,3 %), zones urbanisées (7,1 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Lignan viendrait de l’anthroponyme latin Linus ou Linius ou du terme latin lignum (leinha en gascon) qui signifie « bois »[25].
    La terminaison -de-Bordeaux a été ajoutée en 1930, sans doute pour faire le distinguo avec la commune de Lignan-de-Bazas du même département qui ajouta sa terminaison en 1918.

    En gascon, le nom de la commune est Linhan de Bordèu.

    Histoire

    Dès les temps préhistoriques, le site a été occupé par les Hommes, comme en témoigne la découverte d’outils du paléolithique dans le bourg, dans la grotte de Carles et sur les lieux-dits de Nadau, Mondet et Avansay. De cette époque, on a mis au jour les vestiges d’un site potier à Cavaillac et trois fours dans le bourg prouvant l’existence d’une production céramique artisanale sur le lieu. Des monnaies du IIIe siècle ont été trouvées sur une voie dallée près des vestiges d’un pont sur le Canterane, aux abords du chemin des Caminasses qui menait vers Burdigala.

    Au Moyen Âge des monastères apparaissent : celui du Clos Saint Jean sous l’égide des abbayes bénédictines de La Sauve et de Sainte Croix puis celui de La Ligne[27] avec les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem. Ce sont ces moines qui construisent l’église Sainte Eulalie, aux XIIe et XIIIe siècles. À cette époque, l’église de Lignan a droit de baptême, mariage et sépulture pour toute la région : c’est ce qui explique la présence des tombes monolithes et des nombreux sarcophages autour de l’église ; la place actuelle du village et les alentours du cimetière ont servi de nécropole jusqu’au XVe siècle.

    Gare de Lignan avant sa transformation en multiple rural
    Porc primé en 1929 élevé au Château de Seguin

    Avec les abbayes citées plus haut, les seigneurs se partagent les nombreux moulins sur la Pimpine, le Carles et le Canterane ainsi que les terres de la paroisse occupées par des forêts, des céréales et des vignes. En 1453, le seigneur de Chapelas devient co-seigneur avec le roi de la paroisse de Lignan et des terres de La Ligne et Mondet ; la famille éminente des Pontac-Chapelas aura droit de banc et de litre. L’urne funéraire de l’oncle Arnaud de Pontac, évêque de Bazas décédé en 1605, sera placée dans la crypte de l’église. Les propriétaires de l’Isle-Fort, Seguin[28], Pugerin, Sentout, maisons nobles, ont souvent une charge juridique au Parlement de Bordeaux. Maurice de Sentout aura même le droit de créer une faïencerie royale sur son domaine.

    La Révolution entraîne une nouvelle distribution des grandes propriétés. La première séance du conseil municipal a lieu dans l’église le et la paroisse Sainte Eulalie va devenir Lignan-de-Créon. En 1847 sont fondés les établissements Saignes[29], usine de cinquante ouvriers qui fabrique jusqu’en 1934 des pulvérisateurs et soufreuses à traction animale pour le traitement de la vigne. En 1873 est inauguré le premier tronçon de la voie de chemin de fer Bordeaux-Eymet pour acheminer la pierre des carrières de Lignan, Cénac et autres communes de l’Entre-deux-Mers nécessaire à la construction des immeubles bordelais (à Lignan, les carrières deviendront par la suite champignonnières). Quatre ans plus tard, 60 000 tonnes de pierre sont acheminées sur Bordeaux par le train et le trafic atteint 8000 voyageurs en gare de Lignan.

    Vers 1900, la crise de phylloxéra va ruiner les propriétaires des grands domaines viticoles. La ligne de chemin de fer est alors un atout pour l'homme d'affaires G.- F. Bertrin[30] originaire de Sainte-Bazeille[31], détenteur d’une solide fortune qui va bouleverser en quelques années la vie de Lignan : il rachète le château Seguin, fonde en 1913 un élevage porcin de trois cents bêtes primées dans toute la France, un cheptel d’une centaine de vaches laitières, un haras de chevaux de course et replante un vignoble de cent dix hectares qui produira près de quatre mille barriques de vin.

    Dans les années 1930, on trouve à Lignan (qui s’appelle désormais Lignan-de-Bordeaux[32]) des forgerons, des charrons, un maréchal-ferrant, une scierie, trois bars-restaurants, une auberge, trois épiceries et le moulin Zuera qui emploie une vingtaine d’ouvriers. L’école, construite en 1877 doit être agrandie. De nos jours, Lignan est un village-dortoir, la plupart des Lignanais travaillant dans l’agglomération bordelaise. L’usine Saignes a cédé la place à un parking. La voie ferrée a été aménagée en une piste cyclable appréciée des Bordelais pour son cadre champêtre, la « voie verte Roger-Lapébie ». La gare est devenue le multiple rural[33] « Le Bistrot de la Pimpine »[34]. Mais on peut toujours voir les vestiges du passé dans le musée[35]. Les châteaux présentent à la dégustation leurs vins blancs, rosés et rouges.

    Politique et administration

    La commune de Lignan-de-Bordeaux fait partie de l'arrondissement de Bordeaux. À la suite du découpage territorial de 2014 entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015, la commune demeure dans le canton de Créon remodelé[36],[37]. Lignan-de-Bordeaux fait également partie de la communauté de communes des Portes de l'Entre-deux-Mers, membre du Pays du Cœur de l'Entre-deux-Mers.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1984 2014 Françoise Guimon SE  
    2014 En cours Pierre Buisseret[38] SE Cadre supérieur

    Démographie

    Les habitants sont appelés les Lignanais[39].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[41].

    En 2018, la commune comptait 816 habitants[Note 6], en augmentation de 5,7 % par rapport à 2013 (Gironde : +6,4 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    334296318424352358328326325
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    349393415393412401404361402
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    401362341423423425401369342
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    387465530643722677701699797
    2018 - - - - - - - -
    816--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune est située dans l'aire géographique de production de l'entre-deux-mers (vins blancs secs)[44], appellation d'origine contrôlée du vignoble du même nom. Toute la région produit en outre des rouges, des clairets, des rosés, des blancs secs, doux ou effervescents sous les dénominations bordeaux et bordeaux-supérieur[45].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Outre l'église Sainte-Eulalie[46] et le château de Lislefort[47], qui bénéficient d'une protection au titre des monuments historiques, une vingtaine d'autres lieux et édifices de la commune de Lignan-de-Bordeaux comme les tombes monolithes, sont recensés et versés à l'inventaire général du patrimoine culturel dans le cadre d'une étude topographique du canton de Créon réalisée à partir de 1983 par le conseil régional d'Aquitaine[48]. La commune présente son passé dans le cadre de son musée archéologique et historique[35].

    Personnalités liées à la commune

    • Arnaud de Pontac (v. 1530-1605), évêque de Bazas, dont le cœur est enterré dans la crypte de l'église Sainte-Eulalie.
    • Jean Maurice (1860-1932), boulanger et poète gascon[49] de Lignan-de-Créon, auteur entre 1899 et 1902 de quelques poèmes occitans parus dans la revue Reclams[50]
    • Pierre André Baillon (1903-1977), fondateur du musée de Lignan-de-Bordeaux en 1968 et fondateur de la Société Archéologique et Historique du Canton de Créon (Lignan et ses historiens : quarante années de complicité SAHC 2013)
    • Kevin Desmond (1950-...), auteur de 33 livres, y compris À la recherche de Trouvé : la quête d'un génie français oublié, (2012) primé par l'Académie Nationale des Sciences, Belles-lettres et Arts de Bordeaux, habite Lignan-de-Bordeaux[51]. Organisateur du RAVEL (Rallye Aquitaine des Véhicules Électriques Légers) en 2018, 2019.et 2020
    • Sandrine Biyi (1967-...)[52],[53], auteure de la série de romans historiques, La Dame de la Sauve, habite Lignan-de-Bordeaux[54].
    • Thierry Vigneron (1960-...), ancien détenteur du record du monde du saut à la perche (5,91 m en 1984), a habité à Lignan-de-Bordeaux[réf. souhaitée].

    Héraldique

    Les armes de Lignan-de-Bordeaux se blasonnent ainsi :

    Taillé, au premier de sinople au château d'argent composé d'une tour centrale, flanquée de deux corps de logis accompagnés de deux autres plus petits brochant et flanqués de deux tourelles, les tours girouettées et le tout couvert du même, au second de gueules au lion d'or ; aux deux fleurs de lys parties d'or et d'argent posées en barre brochant, en chef et en pointe, sur la partition, celle en pointe accostée de deux grappes de raisin tigées et vrillées rangées en bande, l'une d'or en chef à dextre et l'autre d'argent en pointe.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Lignan-de-Bordeaux sur Géoportail, consulté le 2 mai 2015.
    2. Lignan-de-Bordeaux sur Géoportail, consulté le 2 mai 2015.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
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    11. « Station Météo-France Cursan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Lignan-de-Bordeaux et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    44. Cahier des charges de l'appellation entre-deux-mers
    45. Guide des régions et des appellations : Bordeaux — Entre-deux-Mers
    46. « Notice MH de l'église Sainte-Eulalie », notice no PA00083600, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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    48. « Liste de l'inventaire général de la commune de Lignan-de-Bordeaux », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. Pierre-Louis Berthaud,, La Littérature gasconne du Bordelais, Paris, Les Belles Lettres, , 117 p., p. 89.
    50. David Escarpit, « Parler, lire, écrire, chanter... Un millénaire et quelques d'occitan en bordelais », (22 p.), sur lodiari.com, (consulté le ).
    51. « Un génie à réhabiliter », sur sudouest.fr, (consulté le ).
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