Lamanère

Lamanère est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Elle possède la particularité d’être la commune la plus méridionale, la plus au Sud, de la France continentale.

Pour les articles homonymes, voir Lamanère (homonymie).

Lamanère

Vue du village.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Céret
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Vallespir
Maire
Mandat
Gisèle Juanole
2020-2026
Code postal 66230
Code commune 66091
Démographie
Gentilé Lamanérois, Lamanéroises
Population
municipale
52 hab. (2018 )
Densité 2,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 21′ 40″ nord, 2° 31′ 16″ est
Altitude Min. 667 m
Max. 1 554 m
Superficie 23,83 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Canigou
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Lamanère
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Lamanère
Géolocalisation sur la carte : France
Lamanère
Géolocalisation sur la carte : France
Lamanère

    Ses habitants sont appelés les Lamanérois.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Lamanère se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie et est frontalière avec l'Espagne (Catalogne)[1].

    Elle se situe à 48 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, à 24 km de Céret[3], sous-préfecture, et à 18 km d'Amélie-les-Bains-Palalda[4], bureau centralisateur du canton du Canigou dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Amélie-les-Bains-Palalda[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Serralongue (5,1 km), Prats-de-Mollo-la-Preste (5,9 km), Le Tech (5,9 km), Saint-Laurent-de-Cerdans (8,1 km), Montferrer (9,5 km), Coustouges (10,7 km), Corsavy (12,8 km), Arles-sur-Tech (14,2 km).

    Sur le plan historique et culturel, Lamanère fait partie du Vallespir, ancienne vicomté (englobée au Moyen Âge dans la vicomté de Castelnou), rattachée à la France par le traité des Pyrénées (1659) et correspondant approximativement à la vallée du Tech, de sa source jusqu'à Céret[6].

    Situation de la commune

    Géologie et relief

    Vue d'ensemble sur Lamanère

    La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne[9].

    Hydrographie

    Le village est situé à la confluence de la rivière de Lamanère et de son affluent sur la rive droite la rivière d'El Taix (ou Teix)[7].

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 947 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s'agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des relief[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[10].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Serralongue », sur la commune de Serralongue, mise en service en 1985[15]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[16],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 033,8 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 48 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[19], à 15,7 °C pour 1981-2010[20], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[21].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[22] : le « Baga de Bordellat et vallée du ruisseau de Malrems » (952 ha)[23] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[22] : « le Vallespir » (47 344 ha), couvrant 18 communes du département[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Lamanère est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[25],[26],[27]. La commune est en outre hors attraction des villes[28],[29].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (75,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,6 %), prairies (4 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    La seule route permettant de se rendre à Lamanère est la route départementale D44, en provenance de Serralongue, au nord[7].

    Toponymie

    La première mention du nom pourrait être villa Menera de Bassegoda (1225) à une époque où le territoire dépendrait alors du château de La Roca de Bassegoda. Mais cette mention pourrait aussi être en fait une référence aux mines de Bassegoda, situées à quelques kilomètres plus au sud-est, à Albanyà. De manière plus certaine, une famille dite de La Menera est mentionnée du XIIIe siècle au XIVe siècle[31]. Le nom est aussi attesté dans un texte de 1427, qui cite le lloch appellat La Menera[32].

    En catalan, le nom de la commune est La Menera[33].

    Le nom catalan été francisé de manière erronée par confusion du premier -e de menera avec un -a neutre et par agglutination de l'article et du nom[34].

    Menera serait issu du celtique *meina, puis du gallo-roman *mena, terme désignant le minerai. Plus tard, mener prend le sens de mine et menera est utilisé pour un ensemble de mines, puisque la région produisait à la fois du fer, du plomb, du cuivre et de la houille. Le nom a alors été utilisé à la fois pour la localité et pour la rivière[34].

    Il s'agit d'une formation toponymique catalane francisée par la suite, dont le radical men- représente une variante du terme mina « mine », suivi du suffixe -eria, d'origine latine -aria[35], d'où le sens global de « la minière », c'est-à-dire « l'endroit où il y a une mine »[32]. Menera a donc la même origine que le mot catalan mineria qui signifie l'« art d'exploiter des mines »[36],[37].

    Histoire

    Dépendant du territoire de Serralongue, Lamanère est au Moyen Âge inféodé au seigneurs de Cabrenç, eux-mêmes vassaux des vicomtes de Castelnou. Après la Révolution française, Lamanère devient une commune en 1790[38].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le conseil municipal de Lamanère comprend sept membres, avec deux adjoints et quatre conseillers municipaux en plus du maire[39].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    20 février 1874  ? Jean Ville fils[40]    
             
    1912 1935 Pierre Guisset PRS puis SFIO Maréchal-ferrant
    1935 1945 Élie Dubic SFIO Employé dans une industrie de sandales, ouvrier trépointeur
             
    1976 1983 Jacques Juanole   Agriculteur
    1983 1989 Michel Mach DVG  
    1989 1995 Philippe Cassu DVD  
    1995 2001 Marie-France Figa PCF  
    2001 2008 Yvette Julia DVD  
    mars 2008 2020 Agnès Parayre[41] LR Commerçante
    2020 En cours Gisèle Juanole[42]   Retraitée de l'Éducation Nationale

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1767 1789
    260 H104 f
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Note : 1730 : comptée avec Serralongue.

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].

    En 2018, la commune comptait 52 habitants[Note 7], en augmentation de 10,64 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    392560678745692740750794816
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    713624548588510496488451473
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    510513514422440433348323284
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    19811374603744605443
    2018 - - - - - - - -
    52--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[47] 1975[47] 1982[47] 1990[47] 1999[47] 2006[48] 2009[49] 2013[50]
    Rang de la commune dans le département 170 161 185 211 199 196 204 208
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête patronale :  ;
    • Fête communale : dimanche et lundi de Pentecôte[51].

    Santé

    Il n'y a pas de médecin à Lamanère. Les plus proches sont situés à Prats-de-Mollo-la-Preste ou Saint-Laurent-de-Cerdans[52].

    Sports

    Le village de Lamanère est le point de départ de nombreuses randonnées dans les environs[53], ainsi que d'une course en montagne annuelle de 17 km qui a lieu au mois de juin[54].

    Économie

    Peut-être déjà connues durant l'Antiquité, les mines d'argent, de fer, de cuivre et d'étain de Lamanère sont mentionnées et exploitées dès le XIIIe siècle[31]. L'exploitation du fer, du cuivre et du plomb a perduré jusqu'au début du XXe siècle[38].

    Comme dans plusieurs villages des environs, il y avait jadis à Lamanère une importante activité de production d'espadrilles. Le dernier fabricant a fermé en 1981[38].

    Seule l'activité agricole a subsisté, avec notamment encore quelques éleveurs de bovins présents sur la commune[38].

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    Héraldique

    Les armes peuvent se blasonner ainsi :

    Écartelé, au premier d'or à quatre pals de gueules, au second d'azur à un Saint-Sauveur bénissant de sa dextre et tenant un globe dans sa senestre, le tout d'or, au troisième d'azur à une boussole d'argent, l'aiguille partie de même et de gueules, le gueules pointant vers le Sud indiqué par la capitale de sable S, au quatrième d'or à une entrée de mine au naturel ouverte de sable surmontée d'un fusil contourné aussi au naturel.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Lamanère », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Lamanère et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Lamanère et Céret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Lamanère et Amélie-les-Bains-Palalda », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Lamanère », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 227-228.
    7. Institut cartographique de Catalogne, « Visualisateur cartographique Vissir » (consulté le ).
    8. « Plan séisme » (consulté le ).
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    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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    13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    14. « Station Météo-France Serralongue - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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    19. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    38. Site officiel de la commune, section Conseil municipal
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    51. Recherche de médecins sur le site des Pages jaunes.
    52. Site officiel, section Randonnée
    53. Site officiel, section Course de montagne
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