Ksar Sbahi
Ksar Sbahi également appelé Ksar El Sbihi est une commune de la wilaya d'Oum El-Bouaghi en Algérie.
| Ksar Sbahi | |
 Versant méridional de l'Atlas tellien. | |
| Noms | |
|---|---|
| Nom arabe | قصر الصباحي |
| Administration | |
| Pays |  Algérie
|
| Région | Aurès |
| Wilaya | Oum El Bouaghi |
| Daïra | Ksar Sbahi |
| Code postal | 04018 |
| Code ONS | 0422 |
| Indicatif | 032 |
| Démographie | |
| Population | 11 833 hab. (2008[1]) |
| Densité | 67 hab./km2 |
| Géographie | |
| Coordonnées | 36° 05′ 00″ nord, 7° 15′ 00″ est |
| Superficie | 177 km2 |
| Localisation | |
 Localisation de la commune dans la wilaya d'Oum El Bouaghi. | |
Géographie
Ksar Sbahi se situe à l'extrême nord de la wilaya et à 40 kilomètres au nord-est d'Oum el Bouaghi, limitrophe de la Wilaya de Guelma; et de Souk Ahras, elle est perchée sur une crête montagneuse à 850 mètres d'altitude.
Localités de la commune
La commune de Ksar Sbahi est composée de neuf localités[2]
- Centre Ksar Sbahi
- Guettara
- N'Goussa
- El Maleh
- El Manaa
- Ras Gourn
- Mebdoua
- Boudouh
- Bir Khanga
Histoire
Ksar Sbahi est probablement l'ancienne ville romaine de Gadiaufala[3], appelée Gazophyla[4] sous la domination byzantine, de 534 à 700 environ.
Tourisme
La ville est dotée d'une architecture coloniale, de nombreux jardins, une ancienne poste à l'architecture néo-mauresque, une forêt de pins d'Alep et des ruines romaines dont de nombreuses stèles.Un site remarquable pour des randonnées.
Notes et références
- « Wilaya d'Oum El Bouaghi : répartition de la population résidente des ménages ordinaires et collectifs, selon la commune de résidence et la dispersion ». Données du recensement général de la population et de l'habitat de 2008 sur le site de l'ONS.
- « Décret n° 84* 365, fixant la composition, la consistance et les limites territoriale des communes. Wilaya d'oum El Bouagh », Journal officiel de la République Algérienne, , p. 1477 (lire en ligne)
- (en) Gadiaufala dans https://pleiades.stoa.org
- Abdelouahab Bouchareb (sous la direction du Professeur M. H. Larouk), "Cirta ou le substratum urbain de Constantine", 2006, p. 194, note 31.
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