Johannes Urzidil

Johannes Urzidil, né le à Prague et mort le à Rome, est un écrivain et poète de langue allemande. Contemporain de Franz Kafka, il écrivit beaucoup sur Prague et la Bohême. Il parlait couramment le tchèque et représentait à sa façon la Prague cosmopolite du début du XXe siècle.

L'astéroïde (70679) Urzidil a été nommé en son honneur.

Bibliographie (seulement livres en français)

  • Le triptyque de Prague, traduit par Jacques Legrand, Paris, Desjonquères, 1988[1]
  • La Maison des neuf diables, traduit par Jacques Legrand, Paris, Desjonquères, 1989.
  • La bien-aimée perdue, traduit par Jacques Legrand, Paris, Desjonquères, 1990[2]
Prix Charles Veillon 1957
  • La Fuite de Kafka, traduit par Jacques Legrand, Paris, Desjonquières, 1991[3]
  • L'or de Caramablu, traduit par Isabelle Ruiz, Paris, Horay, 1998[4]
  • Isabelle Ruiz, Johannes Urzidil : le dernier conteur pragois de langue allemande entre l'engagement et la distance. Thèse de doctorat, Paris, 1997[5]

Notes et références

Liens externes

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