Gwynedd (Derynis)

Le royaume de Gwynedd est un royaume fictif est le principal lieu des romans du cycle des Derynis par Katherine Kurtz.

Pour l’article homonyme, voir Gwynedd.

Historiquement, il a eu un royaume de Gwynedd, qui était l'un des plus importants du pays de Galles. Le choix d'utiliser le nom d'un royaume existant est clairement un choix de l'auteur qui a préféré faire ainsi plutôt qu'inventer un nom fictif.

Géographie

Gwynedd est situé au centre de la contrée connue sous le nom des Onze Royaumes. Il est bordé au nord par la mer du Nord et l'Océan Atalantique, à l'est par Torenth, au sud par la mer du Sud, et au sud-ouest et à l'ouest par Meara, le Connaît et les Royaumes Unis de Howicce et Llannedd.

Les frontières exactes du royaume ont beaucoup bougé au cours de ses quatre siècles d'histoire, son étendue s'accroissant et diminuant à la suite des guerres, des conquêtes, des traités et des mariages. Néanmoins, Gwynedd n'a cessé d'augmenter en taille au fil des ans, devenant un des plus grands des Onze Royaumes. Rhemuth, sa capitale est situé sur la rive orientale de la rivière Eirian, qui coule à travers les plaines du centre-ouest du royaume.

La géographie de Gwynedd est caractérisée par une grande variété de climats et de terrains, comprenant les plaines, les terres agricoles, les forêts, les collines et les montagnes. Les étés sont généralement modérément chaud, alors que la neige tombe fréquemment sur la totalité du royaume en hiver. Les printemps y sont très capricieux[1].

Villes

Rhemuth

Rhemuth est la capitale de Gwynedd. Également connu sous le nom "Rhemuth la splendide", elle est située sur la rive orientale de la rivière Eirian dans le centre-ouest Gwynedd. La fondation de la ville est antérieure à la conquête de la région par l'empire de Byzantyun au IIIe siècle et elle n'est conquise par le royaume de Gwynedd qu'en 655. En 674, le roi Aidan Haldane déplace la capitale de Valoret vers Rhemuth, qui reste capitale jusqu'au coup d'état de Festil Ier en 822. Durant l'interrègne festillien, Rhemuth subit une baisse de prestige et de population, situation qui cesse à la suite de la restauration des Haldane en 904. La cour royale revient en 917 à Rhemuth, qui reprend son statut de capitale et qu'elle conserve pendant plus de deux siècles. Rhemuth est une des villes les plus importantes et les plus prestigieuses des Onze Royaumes. Elle est également le siège de l'archevêché secondaire de Gwynedd.

Valoret

Valoret est situé sur la rive sud de la rivière Eirian dans les contreforts occidentaux des monts Lendour, au centre de Gwynedd. La cathédrale de tous les saints de Valoret est le siège de l'archevêque, également primat de Gwynedd, le pasteur principal de la sainte Église, et la ville est elle-même le siège de l'archevêché principal de Gwynedd.

La ville est également le berceau de la dynastie Haldane, qui firent la conquête de Valoret et de ses environs en 411. Valoret est la première capitale du Royaume de Gwynedd lors de la fondation de celui-ci, en 645, mais le roi Aidan Haldane a déplacé la cour royale à Rhemuth en 674. Le roi Festil Ier Furstán remet la capitale à Valoret en 822, mais c'est de nouveau Rhemuth moins d'un siècle plus tard, après la restauration Haldane.

Néanmoins, Valoret reste une des villes les plus grandes et anciennes des Onze Royaumes, et son influence ecclésiastique sur Gwynedd est sans égal.

Grecotha

Grecotha est située sur la frontière de Gwynedd et de Kheldour, au nord-ouest de la ville de Valoret.

Cité libre à l'origine, elle est conquise et annexée au royaume de Gwynedd par le roi Aidan Haldane en 678. Au cours des siècles, Grecotha est le siège de plusieurs institutions d'enseignement des Onze Royaumes, parmi lesquels l'Institut et l'université de Grecotha. La bataille de Grecotha en 984 est un tournant dans la guerre entre Gwynedd et Torenth, avec le roi Jasher Haldane qui défait rapidement les armées d'invasion de Torenth.

Grecotha est aussi le siège d'un des plus anciens diocèses de Gwynedd, donnant à l'antique cité une grande importance à la fois ecclésiastique universitaire.

Dhassa

Dhassa se trouve directement à l'est de Rhemuth, sur la rive nord-ouest du lac Jashan dans les montagnes Lendour. C'est l'une des villes les plus religieuses de Gwynedd, avec une succession ininterrompue d'évêques qui administrent la ville depuis une date antérieure à la fondation du royaume.

Dhassa devient une cité-état en 597, et l'indépendance de la ville est assurée par sa position entre les royaumes souverains de Gwynedd et de Mooryn. Cependant, Mooryn est annexée par Gwynedd en 835, ce qui conduit à l'annexion de Dhassa par Gwynedd en 903.

Traditionnellement, les évêques de Dhassa maintiennent une position de neutralité par rapport à la plupart des questions politiques, qui lui vaut une réputation d'équité et d'égalité, qui justifie une influence notable sur les questions de l'Église et l'État. Grâce à son emplacement central, Dhassa est souvent le lieu où se réunit la Curie des évêques.

Gouvernement

Le royaume de Gwynedd est une monarchie féodale, dont l'organisation est similaire à celle des royaumes de l'Europe médiévale. Le chef de l'état est un monarque héréditaire, dont la succession se fait en lignée masculine dans la famille royale (le trône ne peut échoir à une femme que si la descendance en lignée masculine s'éteint, auquel cas l'aînée des femmes issues de la lignée royal hérite de la couronne).

La plus grande partie de Gwynedd est divisée entre plusieurs duchés, lesquels sont eux-mêmes divisés entre plusieurs comtés et baronnies. Les titres de noblesse sont également régis par la succession héréditaire, mais le roi se réserve le droit de modifier les successions dans certaines circonstances (par exemple pour les biens d'un noble coupable de trahison). De plus, le roi a la possibilité d'anoblir et de créer de nouveaux titres lorsque cela est nécessaire.

Le roi a aussi une autorité presque absolue sur les questions séculières dans le royaume, ainsi que chaque noble disposant d’un pouvoir important à l’intérieur de leur fief. En même temps que les nobles qui ont l’autorité et le pouvoir de traiter dans leur domaines des questions de l’imposition, le respect des lois et la justice civile, de nombreux roturiers disposent de charges de rang inférieures, tels les greffiers, gardes, collecteurs d'impôts et avocats.

L’institution principale du royaume est le Conseil Royal, également connu comme le Conseil Privé ou le Haut Conseil. Celui-ci conseille le roi (ou, le cas échéant, le régent) sur diverses questions d'état, aide le roi lors de la promulgation de nouvelles lois ou de l'exécution des décisions royales. Le roi décide des nominations au Conseil, mais les sièges sont réservés au nobles, aux membres important du clergé et aux proches conseillers du roi. Le roi ou le régent préside le conseil, et y siègent de droit l'archevêque de Valoret, l'archevêque de Rhemuth et les régents régulièrement désignés.

Du point de vue militaire, chaque pair lève et entraîne une armée pour protéger et défendre ses terres. La plupart des nobles a un rang militaire (allant du simple chevalier au général), mais le monarque conserve l'autorité suprême sur toutes les garnisons et les soldats du royaume. En outre, une armée permanente sous le commandement direct de la couronne est en garnison dans la capitale de Rhemuth. L'officier supérieur du royaume est le comte-maréchal, dont l'autorité sur les questions militaires n'est dépassée que par le monarque.

Héraldique

Le roi Helson Haldane porte comme armoiries le « lion d'or de Gwynedd » sur un champ pourpre[2],[3].

Religion

La Sainte Église de Gwynedd repose sur la foi chrétienne semblable à celle de l'Église catholique romaine, incluant le messe en latin, et l'usage de la confession et de la pénitence. La religion est une composante importante de la société de Gwynedd, et les membres supérieurs du clergé disposent d'une grande influence temporelle en plus de leur pouvoir ecclésiastique. L'église est dirigée par le Primat de Gwynedd, élu, qui est également archevêque de Valoret. Le territoire de Gwynedd est en outre divisé en plusieurs diocèses, chacun dirigé par un évêque. Le nombre et la taille des différents diocèses ont varié au cours de l'histoire du royaume, et il y a douze diocèses à l'époque actuelle. Il y a en outre un certain nombre d'évêques itinérants, qui ne dirigent pas de territoire spécifique.

L'existence de l’Eglise est antérieure à la fondation du royaume de Gwynedd, et l’importance de l’Eglise dans les affaires séculières découle de ce grand rôle dans la culture de Gwynedd. La Sainte Église de Gwynedd était initialement sous le conrôle du patriarche de Bremagne, mais l’indépendance de l’Eglise de Gwynedd est assurée en 647 par le roi Augarin Haldane, le premier roi de Gwynedd. En 820, l’un de ses successeurs Bearand Haldane est canonisé, et la restauration Haldane de 904 est largement assurée par les Chevaliers Michaélites, un ordre religieux militaire. Jashan Haldane, un prince royal, est même élu archevêque de Valoret et Primat de Gwynedd en 1044.

Histoire

Les débuts

Les territoires de l’actuelle Gwynedd sont conquises en 249 par les armées de Basile Ier, autocrate de Bysantyun. La domination byzantine s’arrête en 408, et la région est morcelée par les différents chefs locaux entre les états d’Haldane, de Carthane, de Lendour, de Molling et de Remuth. Durant les deux siècles qui suivent, les seigneurs locaux se livrent des guerres perpétuelles, jusqu’à ce que le comte Augarin II de Haldane fasse la conquête des terres voisines de Carthane, en 645. Augarin se proclame alors roi des deux terres sous le titre de HautRoi de Haldane, puis baptise le nouvel état du nom de Gwynedd en 647.

Bien que le royaume soit petit, les successeurs d'Augarin élargissent avec succès les frontières du royaume au cours des deux siècles suivants, aussi bien par les conquêtes que par des traités. Gwynedd subit plusieurs raids barbares pendant le VIIIe siècle, mais le roi Bearand Haldane remporte une victoire décisive en 755 et repousse définitivement les envahisseurs.

L'Interrègne Festillien

Le , le prince Festil Furstán, cadet de la famille royale de Torenth, attaque la cour par surprise et renverse le roi légitime. Ifor Haldane est tué pendant le coup d'état, et presque tous les membres de sa famille sont massacrés (le seul survivant est le prince Aidan Augarin Haldane, qu'un serviteur réussit à faire sortir du palais avant qu'il ne soit tué).

Aidé par les armées de son père, le roi Kálmán II Furstán de Torenth, Festil achève la conquête de Gwynedd et se proclame Festil Ier, roi de Gwynedd. Il remplace la plupart des nobles fidèles aux Haldane par ses propres partisans, établissant ainsi une nouvelle noblesse soutenant ses droits au trône. Durant huit décennies, Festil et ses descendants gouvernent Gwynedd qui devient vassal du royaume de Torenth.

La restauration Haldane

Imre Ier Furstán-Festil, arrière-petit-fils de Festil Ier, monte sur le trône en 900. Son arrogance et sa cruauté génère de nombreux ressentiments parmi des sujets, amplifiant l'opposition qui s'était construite depuis la mort du dernier roi Haldane. Curieusement, c'est un noble deryni, Camber MacRorie, comte de Culdi, qui met fin au règne d'Imre. Ayant découvert en 903 l’existence d'un héritier Haldane, il obtient le soutien de l'Ordre Michaélite et organise une attaque surprise du palais royal. Le , Imre est déposé, et Cinhil Haldane, arrière petit-fils du roi Ifor Haldane, monte sur le trône.

Bien qu'Imre soit tué, sa sœur, la princesse Ariella, s'échappe et se réfugie à Torenth. Elle tente de reprendre le trône l'année suivante par une invasion, à la tête d'une armée torenthienne, mais elle est tuée lors de la défaite de son armée, laissant son fils nouveau-né à la cour de Torenth. Pendant les deux siècles suivant, les descendants d'Ariella, nommés les prétendants festilliens envahissent régulièrement Gwynedd pour tenter de remonter sur le trône.

La réaction anti-Derynis

Après la Restauration Haldane, de nombreux descendants des nobles qui avaient perdu leurs titres pendant l'Interrègne Festillien récupèrent leurs terres. Toutefois, des décennies de colère et de ressentiment à l'égard des rois festilliens se mue en une haine générale contre tous les Deryni. Bien que plusieurs Deryni aient joué un rôle central dans la Restauration, le sentiment anti-Deryni ne cesse de croître dans le royaume. Peu de temps après la mort du roi Cinhil en 917, les régents du jeune roi Alroy écartent de force l'archevêque deryni de Valoret nouvellement élu, Alister Cullen, et engagent une vague de persécutions contre les Derynis. En 918, les statuts de Ramos sont votés et interdisent aux Derynis de détenir des titres, de posséder des terres ou de rentrer dans le clergé. En outre, l'Église commence à enseigner ce que les Derynis sont intrinsèquement mauvais et corrompus, et appuie activement la répression violente et sanglante des Derynis dans tout le royaume.

Les premières années de la Restauration Haldane voir également une large expansion des frontières du royaume. Les terres de Kheldour, de Cassan et les Marches de l'Est passent sous le contrôle de Gwynedd, durant cette époque, et le royaume double d'étendue. Toutes ces annexions sont garanties par plusieurs traités, sans que des conquêtes ou des guerres aient été nécessaires.

Les invasions festilliennes

En raison des liens de parenté étroits entre les prétendants festilliens et la famille royale de Torenth, les rois de Torenth sont toujours prêts à soutenir militairement et financièrement les invasions de Gwynedd. De plus la différence de traitements envers les Derynis dans les deux royaumes accroissent l'antagonisme et la méfiance réciproque. Alors que les Derynis sont ouvertement persécutés dans Gwynedd, la famille royale et la noblesse de Torenth sont Derynis.

En 983, Imre II Furstán-Festil, petit-fils de la princesse Ariella, lance la seconde invasion festillienne, à la tête d'une l'armée fournie par le roi Malachy II de Torenth. Les envahisseurs tuent le roi Nygel Haldane et conquièrent une partie des Marches de l'Est, mais leur avance est stoppée par l'hiver. Lorsque la guerre reprend l'année suivante, le roi Jasher Haldane inflige aux envahisseurs une défaite sévère, à la bataille de Grecotha, et les expulse des Marches de l'Est. La guerre se termine enfin en 985, lorsque l'armée de Gwynedd défait les dernières troupes torenthiennes à la bataille de Rengarth, bataille qui coûte la vie à la fois au roi Jascher et à Imre II.

La troisième invasion festillienne se déroule en 1025, durant laquelle Gwynedd temps est à la fois assaillie par les armées du roi Kyprian II Furstán de Torenth et du prétendant Marek II Furstán-Festil et par celles du prince Jolyon II Quinnell de Meara. le prince Cinhil Haldane vainc d'abord les Meariens puis se retourne contre les armées Torenthienne. La bataille décisive est livrée entre les armées de Gwynedd et de Torenth à Killingford le . Trois jours de carnages sanglants en résultent, coûtant la vie de milliers de soldats de chaque côté. Quand la bataille se termine enfin, le , les forces Gwyneddan en sortent triomphantes, bien que le bilan humains soit très lourd. Le prétendant festillien et son fils aîné sont tués, son fils cadet est capturé et exécuté une semaine plus tard, mais la famille royale de Gwynedd souffre aussi des nombreuses pertes : le roi Urien Haldane est tué à la bataille de Killingford, son héritier, le prince Cinhil II, meurt une semaine plus tard, laissant la couronne au prince Malcolm Haldane, âgé de seize ans.

Les conflits meariens

Dans l'espoir de renforcer la paix avec Meara, le prince Malcolm Haldane épouse Roisian Quinnell, héritière de Meara, peu de temps avant son couronnement, pour engendrer un héritier commun aux deux royaumes. Cependant, les séparatistes mearien refusent de reconnaître la princesse Roisian comme l'héritier légitime, et soutiennent Annalind Quinnell, sa sœur jumelle cadette, dans une tentative de maintenir l'indépendance de Meara. Après plusieurs tentatives infructueuses pour résoudre la question diplomatiquement, Malcolm est finalement obligé d'organiser une campagne militaire pour mater les rebelles et faire valoir les droits de sa femme. Il défait les Meariens en 1027, mais doit retourner de nouveau à Mearan en 1044 pour réprimer une autre tentative d'indépendance mearienne.

Bien que Gwynedd conserve la suzeraineté nominal sur Meara, les séparatistes tentent à plusieurs reprises de proclamer l'indépendance de Meara durant les décennies suivantes. Le roi Donal Haldane, le fils de Malcolm, dut mener deux campagnes contre Meara en 1076 et en 1089, mais échoue à s'emparer des prétendants meariens. Durant cette période, plusieurs conflits frontaliers opposent Gwynedd et Torenth à la frontière orientale, mais ne dégénèrent pas plus loin que des raids ou des escarmouches.

Histoire récente

Au cours du XIIe siècle, les conflits contre Meara ou Torenth continuent d'éclater, entrecoupé de brèves périodes de paix fragile. En 1105, Hogan Gwernach Furstán-Festil, le prétendant festillien, attaque de nouveau Gwynedd, mais est finalement vaincu par le roi Brion Haldane. L'année suivante, Brion doit mater une révolte mearienne soutenue par le prétendant Judhael II Quinnell.

Dans son propre royaume, Brion est ouvertement tolérant envers les Derynis, refusant souvent d'appliquer les lois les plus répressives envers les Derynis. Bien que les Derynis soient toujours craint et méprisé par le plus grand nombre, très peu de gens approuvent encore les persécutions violentes et brutales qui avaient cours deux siècles plus tôt.

Kelson Haldane, fils et héritier de Brion, doit également face à ces questions. Le jour même de son couronnement en 1120, il est contesté et défié par Charissa, la fille de Hogan, mais le jeune roi parvient à vaincre la sorcière Deryni. L'année suivante, Gwynedd est envahi par Wencit Furstán roi de Torenth et Kelson réussit à le vaincre au cours d'un duel d'arcanes, et étend sa suzeraineté sur Torenth par sa victoire. Plusieurs années plus tard, Catrin Quinnel, prétendante mearienne tente une nouvelle révolte, mais Kelson monte une campagne militaire en 1124 et écrase la rébellion.


Une nouvelle ère de relations pacifiques entre Gwynedd et Torenth débute en 1128, lorsque le roi Liam Lajos II revient à Torenth pour y être couronné. Non seulement Kelson protège le jeune monarque de la trahison de ses oncles, mais il renonce ensuite à sa suzeraineté sur Torenth. Plusieurs mois plus tard, deux mariages sont conclus pour resserrer la paix entre les deux royaumes.

Rois de Gwynedd

Dynastie Haldane
645 – 673 Augarin Alexander Haldane
673 – 698 Aidan Alexander Haldane
698 – 719 Llarik Broccan Haldane
719 – 736 Ryons Gospatric Haldane
736 – 794 Bearand Llarik Donal Haldane
794 – 822 Ifor Augarin Niall Haldane
Le coup d'Etat festillien ()
Héritiers Haldane Dynastie de Festil
822 – 903 Aidan Augarin Ifor Haldane (Daniel Draper) 822 – 839 Festil Ier Ferencz Furstán
839 – 851 Festil II Avgust Fyodor Furstán-Festil
851 – 885 Festil III Istvan Furstán-Festil
885 – 900 Blaine Godomar Radislaus Furstán-Festil

900 – 904

Imre Ier Istvan Ingwar Furstán-Festil

903 – 904 Cinhil Donal Ifor Haldane (Nicholas Draper)
La restauration Haldane ()
Dynastie Haldane Prétendants festilliens

904 – 917

Cinhil Ier Donal Ifor Haldane

904 – 905 Ariella Ire Festila Nimura Furstána-Festila

905 – 975

Marek Ier Imre Usbert Furstán-Festil

917 – 921 Alroy Bearand Brion Haldane
921 – 922 Javan Jashan Urien Haldane
922 – 928 Rhys Michael Alister Haldane
928 – 948 Owain Javan Cinhil Haldane
948 – 980 Uthyr Michael Richard Haldane
975 – 985 Imre II Nimur Tamás Furstán-Festil
980 – 983 Nygel Rhys Owain Haldane
983 – 985 Jasher Owain Cinhil Haldane
985 – 994 Cluim Michael Reginaud Haldane

985 – 1024

Imre III Festil Nimur Furstán-Festil

994 – 1025 Urien Owain Rhys Michael Haldane
1024–1025 Marek II Malachy Moyslav Furstán-Festil
1025 Cinhil II Aymeric Nygel Haldane 1025 Marek III Furstán-Festil
1025–1074 Malcolm Congal Aidan Julian Haldane 1025 Ariella II Athénodóra Amaranda Furstána-Festila
1025–1038 Imriella Elizabeth Furstána-Festila
1038–1050 AriElinora Imrietta Furstána-Festila-Mór
1050–1061 Chriselle Carola Carmina Furstána-Festila-Mór

1061–1105

Hogan Zimri Marek Gwernach Furstán-Festil mac Tadhg

1074–1095 Donal Blaine Haldane Aidan Cinhil Haldane
1095–1120 Brion Donal Cinhil Urien Haldane
1105–1120 Charissa Aymarine Festiliana Furstána-Festila-mac-Tadhg
1120–1130+ Kelson Cinhil Rhys Anthony Haldane
1120–1121 Wenzel II "Wencit" Zsubit Kyprian Nimur Furstán
1121–1128 Morag Máriah Khadijah Furstána
1129–1130+ Teymuraz Tivadar Termöd Theodorik Furstán d'Arjenol-Brustarkia

Sources

  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Guy Abadia), Roi de folie [« Camber of Culdi »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1976), 316 p. (ISBN 2-266-06350-2)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), Roi de douleur [« Saint Camber »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1979), 372 p. (ISBN 2-266-06653-6)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), Roi de mort [« Camber the Heretic »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1981), 441 p. (ISBN 2-266-06654-4)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), Le calvaire de Gwynedd [« The Harrowing of Gwynedd »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1989), 380 p. (ISBN 2-266-06658-7)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), L'année du roi Javan [« King Javan's Year »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1992), 442 p. (ISBN 2-266-06659-5)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), Le prince félon [« The Bastard Prince »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1994), 443 p. (ISBN 2-266-08534-4)
  • (en) Katherine Kurtz, In the King's Service, , 359 p. (ISBN 0-441-01060-1)
  • (en) Katherine Kurtz, Childe Morgan, , 279 p. (ISBN 0-441-01282-5)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Guy Abadia), Le réveil des magiciens [« Deryni Rising »], Paris, Presse Pocket, 1994a (1re éd. 1970), 281 p. (ISBN 978-2-266-05648-9 et 2-266-05648-4)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Guy Abadia), La chasse aux magiciens [« Deryni Checkmate »], Paris, Presse Pocket, 1994b (1re éd. 1973), 318 p. (ISBN 978-2-266-05649-6 et 2-266-05649-2)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Guy Abadia), Le triomphe des magiciens [« High Deryni »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1973), 374 p. (ISBN 2-266-06349-9)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), Le bâtard de l'évêque [« The Bishop's Heir »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1984), 275 p. (ISBN 2-266-06655-2)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), La justice du roi [« The King's Justice »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1985), 316 p. (ISBN 2-266-06656-0)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), La quête de Saint Camber [« The Quest for Saint Camber »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1986), 379 p. (ISBN 2-266-06657-9)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), Une femme pour le roi [« King Kelson's Bride »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 2000), 477 p. (ISBN 2-266-12504-4)
  • (en) Katherine Kurtz, The Deryni Archives, , 325 p. (ISBN 0-345-32678-4)
  • (en) Katherine Kurtz et Robert Reginald, Codex Derynianus (second edition), (1re éd. 1997), 353 p. (ISBN 1-887424-96-2)

Références

  1. « Il y a trois choses qui défient toute prédiction : les caprices d'une femme, le contact du doigt du diabre, et le climat de Gwynedd en mars », Triades de saint Veneric (Kurtz 1994b, p. 9)
  2. (en)Héraldic Devices in the Kelson era
  3. (en) B. Fraser, « About Our Cover: A Crash Course on Deryni Heraldry », Deryni Archives, no 1, (lire en ligne, consulté le )


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