Inhibition (psychanalyse)

L'inhibition est une notion conceptualisée par Freud dès 1895 dans ses premiers écrits et en particulier depuis 1926 dans son étude Inhibition, symptôme et angoisse. Ce mécanisme complexe est à la fois un processus dynamique organisateur de l'activité psychique et processus défensif déclenchant le développement de symptômes et de formations pathologiques.

Définition

Freud définit la première fois l'inhibition dans son ouvrage Inhibition, symptôme et angoisse paru en 1926[1]^,[2].

Bibliographie

Sigmund Freud, Inhibition, symptôme et angoisse, 1926, Puf, 2005 (ISBN 2-13-054980-2)
Dictionnaire international de la psychanalyse (dir.: Alain De Mijolla), entrée: « Inhibition », Paris, Calmann-Lévy (2002), Hachette Littérature, 2005.

Références

« Premières notes de lecture d’Inhibition, symptôme et angoisse - Le goût de la psychanalyse », Le goût de la psychanalyse,‎ 12 septembre 2013 (lire en ligne, consulté le 29 mars 2018)
Sigmund Freud, Inhibition, symptôme et angoisse, Éditions Payot, 5 février 2014, 235 p. (ISBN 978-2-228-91035-4, lire en ligne)

Voir aussi

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[1] « Premières notes de lecture d’Inhibition, symptôme et angoisse - Le goût de la psychanalyse », Le goût de la psychanalyse,‎ 12 septembre 2013 (lire en ligne, consulté le 29 mars 2018)

[2] Sigmund Freud, Inhibition, symptôme et angoisse, Éditions Payot, 5 février 2014, 235 p. (ISBN 978-2-228-91035-4, lire en ligne)