Impasse Sainte-Pétronille

L'impasse Sainte-Pétronille, qui s'appelait avant l'arrêté du , impasse des Roses, est une impasse bruxelloise qui commence son parcours entre les numéros 66 et 68 du Marché-aux-Herbes.

L'impasse Sainte-Pétronille, jadis impasse des Roses, à Bruxelles.

Historique

Elle date du XVIIIe siècle[1].

En 1866, selon le recensement, elle comptait encore 86 habitants, mais, près d'un siècle plus tard, en 1959, elle n'avait plus qu'un seul habitant le serrurier-poêlier Rouzeeuw, père et fils[2].

Anecdote folklorique

Jean d'Osta nous rapporte à son propos l'anecdote suivante, inscrite désormais dans le folklore bruxellois : « En 1968, lors du jumelage de la Commune Libre de l'Îlot Sacré avec la cité de Clochemerle (Vaux-en-Beaujolais), une "pissotière" avait été solennellement inaugurée dans l'impasse Sainte-Pétronille par le maire de Clochemerle et la Confrérie du Gosier Sec »[3].

Bibliographie

  • Annuaire du Commerce et de l'Industrie, Bruxelles, 1959.
  • Eugène Bochart, Dictionnaire historique des rues..., Bruxelles, 1857, p. 390.
  • Jean d'Osta, Dictionnaire historique et anecdotique des rues de Bruxelles, Bruxelles, 1986, p. 314.

Notes

  1. Jean d'Osta, Dictionnaire historique et anecdotique des rues de Bruxelles, Bruxelles, 1986, p. 314 : « Elle datait de XVIIIe siècle ».
  2. Annuaire du commerce et de l'industrie, Bruxelles, 1959.
  3. Jean d'Osta, op. cit., p. 314.

Voir aussi

Liens externes

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