Hem-Lenglet

Hem-Lenglet est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Hem et Lenglet.

Hem-Lenglet

L'église Saint-Géry en 2018.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Cambrai
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Cambrai
Maire
Mandat
Yvette Blanchard Roussez
2020-2026
Code postal 59247
Code commune 59300
Démographie
Population
municipale
557 hab. (2018 )
Densité 113 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 15′ 31″ nord, 3° 13′ 45″ est
Altitude Min. 32 m
Max. 60 m
Superficie 4,94 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Féchain
(banlieue)
Aire d'attraction Cambrai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cambrai
Législatives Dix-huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Hem-Lenglet
Géolocalisation sur la carte : Nord
Hem-Lenglet
Géolocalisation sur la carte : France
Hem-Lenglet
Géolocalisation sur la carte : France
Hem-Lenglet

    Géographie

    Le canal de la Sensée à Hem-Lenglet.

    Commune située sur le canal de la Sensée, Hem-lenglet se situe au nord-ouest du Cambrésis. Au nord du village, au-delà de la Sensée commence l'Ostrevent. À l'ouest se trouvent les collines de l'Artois et les plateaux de Picardie. La commune fait partie de la région agricole de l'Artois-Cambrésis, de l'arrondissement de Cambrai, du canton de Cambrai Ouest. Elle se trouve à une dizaine de kilomètres de Cambrai. Les communes riveraines sont Féchain, Fressies, Wasnes-au-Bac, Paillencourt, Abancourt, Bantigny. La superficie d'Hem-Lenglet est de 494 ha.

    Infrastructures de communication

    La commune est reliée aux villages voisins par des routes départementales secondaires : CD 402, 71. Le canal de la Sensée traverse le nord du territoire. La route nationale 43, reliant Cambrai à Douai, est à 5 km d'Hem-Lenglet.

    La rivière de la Sensée, au nord du village, prend sa source à Rémy-Haulcourt, à l'altitude 47.00 (NGF), dans le Pas-de-Calais et se jette dans l'Escaut à Bouchain. La Sensée forme une frontière entre Hem-Lenglet et Féchain. Elle est mitoyenne entre les arrondissements de Douai, de Valenciennes et de Cambrai.

    À l'époque de Jules César, en 57 av. J.-C., il y avait un gué à l'emplacement actuel du petit pont de la Sensée. Un chemin reliait Cambrai à Tournai : c'est la voie romaine q, cette voie fut mise à jour lors de la construction de l'usine « la Salviam » et lors de la mise en place du pont, elle est actuellement remplacée par la D 402 entre le grand pont (canal de la Sensée) et le petit pont (rivière de la Sensée).

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Hem-Lenglet
    Féchain Wasnes-au-Bac
    Fressies Paillencourt
    Abancourt Bantigny

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 698 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pecquencourt », sur la commune de Pecquencourt, mise en service en 1962[7] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 743,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 38 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Hem-Lenglet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Féchain, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[17] et 2 882 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cambrai dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,4 %), zones humides intérieures (10 %), zones urbanisées (6,4 %), eaux continentales[Note 7] (4,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,7 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le village est mentionné dès 640, et à nouveau en 1307, sous le nom de Ham. On trouve également les noms Villa de Ham, Ham-en-Langlet ou Ham-en-Langlée, Hem-Lenglée, Hem-l'Engle, Enlangle[24]. Le mot germanique hem ou ham désigne une habitation. Lenglet viendrait selon Boniface[24] d'anglée, un « lieu terminé en pointe », une « portion de terre » (ou selon Mannier[25] un « lieu resserré et étroit », angulosus locus) et explique ce nom par la situation du village dans un méandre de la Sensée. Mannier y voit plutôt le nom d'un homme. Des seigneurs de L'Anglée sont mentionnés dans les annales du Cambrésis.

    Histoire

    1161 l'évêque Nicolas confirma un accord au sujet de la pêcherie, entre l'abbaye St-Aubert et le chapitre St Géry de Cambrai. Cet acte mentionne Gaubert, chevalier et maire d'Hem. La seigneurie appartint jusqu'à la Révolution au chapitre St Géry.

    Au XIIe siècle une partie de Féchain appartenait à Hem.

    1280 la pêcherie d'Hem-Lenglet est vendue par Mathieu, seigneur de Marque, à l'Abbaye de St Aubert. Le prévost de St Géry, Pierre de Neuvireuil, vend un domaine à l'Abbaye St Aubert. Ce domaine se serait nommé La Cense et aurait été situé à l'emplacement du vieux pont, alors qu'il n'y avait pas de canal. Mais là encore il n'y a pas de certitude. Ce domaine, La Cense, aurait été en bail à Claude Voisin, dit le Capitaine Lamour.

    1518 le village s'appelait Hem-En-Langhelee émergeant du mot germanique : ham, terre ou prairie le long d'une rivière.

    1596 Diégo Delcamp, nommé abbé de St Aubert par le pape Clément VIII, en opposition au vote des religieuses, vient prendre possession à l'autel d'Hem-En-Langhelee, n'ayant osé le faire dans l'Abbaye même (selon le manuscrit de la bibliothèque municipale de Cambrai).

    1789 la seigneurie appartenait au chapitre St Géry.

    Vers 1810 le canal de la Sensée fut creusé, il semblerait que des prisonniers anglais aient pris part à cette réalisation. À cette époque on remontait les terres à l'aide d'un panier porté sur le dos. Un pont fut construit en face de la source Jules César, il permettait aux habitants du marais Billoir et des Pintes de la Nation de rejoindre le village.

    1908 les anciens élèves d'Hem-Lenglet se réunirent pour lancer la fanfare dont le seul survivant à ce jour demeure Monsieur Léon Décarpigny (drapeau de la musique en 1908). La bicyclette faisant son apparition, les ouvriers l'utilisèrent pour aller à la verrerie d'Aniche et à Usinor.

    Depuis 1905 les salariés jouissaient du repos hebdomadaire, mais ils travaillaient encore 10 heures par jour et devenus vieux, ne touchaient qu'une très maigre retraite (à partir de 1911).

    Héraldique

    Les armes de Hem-Lenglet se blasonnent ainsi : D'azur à un écusson d'argent en abîme, et une bande engrêlé de gueules brochant en bande sur le tout.

    Les Armoiries d'Hem-Lenglet sont celles de "la famille de Wingles qui tenait la mairie héréditaire du village, possession du chapitre de St Géry de Cambrai". Elles sont d'azur à un écusson d'argent en abîme, et un bâton engrêlé de gueules brochant en bande sur le tout.

    abîme = centre, cœur de l'écu bâton = bande, barre engrêlé = bordé de petites dentelures dont les côtés s'arrondissent légèrement brochant = passant sur bande = diagonale

    Politique et administration

    Tombe de Joseph Sallée dans le cimetière communal.
    Titulaires de la fonction de maire de Hem-Lenglet
    IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
    DébutFin
    Joseph Sallée (d)
    Hugues Verriez (d)[26]7 ans
    Yvette Blanchard-Roussez (d)[27]
    (née le )
    En cours13 ans et 6 mois

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

    En 2018, la commune comptait 557 habitants[Note 8], en diminution de 3,63 % par rapport à 2013 (Nord : +0,41 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    541571678675682738773752704
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    700734800782731747760727702
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    685642634496505487470509520
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    555577556466462470505560576
    2018 - - - - - - - -
    557--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Hem-Lenglet en 2007 en pourcentage[32].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    0,0 
    6,3 
    75 à 89 ans
    9,5 
    12,9 
    60 à 74 ans
    11,7 
    23,3 
    45 à 59 ans
    19,0 
    19,5 
    30 à 44 ans
    23,4 
    16,7 
    15 à 29 ans
    15,0 
    21,3 
    0 à 14 ans
    21,2 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2007 en pourcentage[33].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,7 
    4,6 
    75 à 89 ans
    8,2 
    10,4 
    60 à 74 ans
    11,9 
    19,8 
    45 à 59 ans
    19,5 
    21,0 
    30 à 44 ans
    19,9 
    22,5 
    15 à 29 ans
    20,9 
    21,5 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Lieux et monuments

    Pigeonnier sur porche de la cense (ferme) du Marais, dit aussi cense du cabaret.

    La ferme du Marais apparaît pour la 1re fois sur le plan cadastral de 1825, on l'appelait également à cette époque ferme du "Cabaret" car il y avait autrefois un cabaret devant la ferme (plan cadastral de 1825). Elle est aussi imposante qu'une ferme picarde ; elle en diffère cependant par le fait qu'un des côtés est ouvert. Hem-Lenglet est à la limite de l'aire d'extension de la ferme picarde. Elle fut achetée en 1839 par la famille Tribou au comte Baudouin d'Alsace.

    Lieudit la "Fontaine Jules César". Selon la légende, le sabot du cheval de Jules César aurait fait jaillir une source.

    Un monastère se trouvait à l'Anglet, l'évangélisation du village fut prêchée par les moines.

    L'église d'Hem-Lenglet fut bâtie en 1601, rénovée en 1752 et réparée en 1813. La partie la plus ancienne est constituée par les fonts baptismaux en pierre noire qui datent de 1601. Elle fut placée sous la protection de saint Géry.

    Le clocher : En août 1858 la réparation du clocher est à l'ordre du jour au conseil municipal. En 1907, le 7 avril, la foudre tomba sur le clocher et le détruisit complètement. Une photographie de l'église avant 1914 ou peut-être même 1907 montre un clocher élancé à six ou huit faces. Le cimetière qui daterait de 1794, était attenant à l'église, il fut également endommagé par la foudre ; son portail se trouvait au milieu, il paraît étroit et haut. Le clocher fut reconstruit entre 1914 et 1916. Une série de photographies allemandes de 1916 le montrent également modifié, avec 4 facettes, il est plus massif et moins élancé que par le passé. Chacune des facettes comporte une lucarne avec vitraux appelée clocheton. Une autre photographie de 1915 indique le nouveau clocher.

    Le cimetière : il existe à l'emplacement actuel depuis au moins 1916 : photos allemandes 1916 : Französischer-Leichenzug → Funérailles de Melle Catherine Dufour. Sa création daterait de 1902 avec Melle Massin comme 1re enterrée. C’est lors de son inauguration qu’un cortège fut organisé dans les rues du village : des groupes d’hommes déguisés sur des chevaux (2 photos ont pu être retrouvées : des Gaulois et des Allemands avec le casque pointu, on a parlé de 1907).

    Pendant l'occupation allemande l'église servait d'infirmerie, un document montre une croix sur le toit de l'édifice versant nord. Les opérations chirurgicales étaient réalisées dans l'école des filles.

    En 1918 l'église fut bombardée lors du recul des armées allemandes ; les dégâts furent importants comme le témoignent les photos prises à l'époque. Les reliques furent égarées.

    Après la Première Guerre mondiale l'église a été reconstruite dans le même style. Les cloches furent remplacées après la tourmente:

    • la première du poids de douze cents kilos s'appelle Flora-Gustave- Joseph ;
    • la seconde: Marie-Josèphe-Albertine-Françoise.
    • la troisième du poids de deux cents kilos fut offerte par les Anglais à Mr Lebbe alors curé de la paroisse. Par ce cadeau, ils ont voulu payer leur dette de reconnaissance à notre ancien pasteur qui avait sauvé sept soldats anglais. Venant de Craydon-London, elle n'a jamais pu être accordée avec les autres.

    Entre les deux guerres le cimetière autour de l'église laisse place à une sorte de jardin, la grille est plus massive et a changé de place. La croix a été remplacée au sommet du clocher par une girouette.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Louis Boniface, Etude sur la signification des noms topographiques de l'arrondissement de Cambrai, Valenciennes, Impr. Louis Henry, (lire en ligne).
    • Eugène Mannier, Études étymologiques, historiques et comparatives sur les noms des villes, bourgs et villages du département du Nord, Paris, Auguste Aubry, Libraire-Éditeur, (lire en ligne).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Pecquencourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Hem-Lenglet et Pecquencourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Pecquencourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Hem-Lenglet et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Féchain », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cambrai », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Boniface 1866, p. 164.
    25. Mannier 1861, p. 286.
    26. Bérangère Flament, « Hem-Lenglet : « J’ai heureusement une très bonne équipe pour m’épauler » », La Voix du Nord,  : « Lorsqu’en 2001, le maire d’alors, Hugues Verriez, lui a demandé de figurer sur sa liste, Yvette Blanchard a accepté. Et, de première adjointe pendant un mandat, c’est tout aussi naturellement qu’elle est devenue, depuis deux mandats, maire. »
    27. « Hem-Lenglet : Yvette blanchard, maire d’Hem-Lenglet a présenté ses vœux à la population », La Voix du Nord,  : « Yvette Blanchard, maire, déclara pour sa part  : « C’est avec infiniment de plaisir que je vous présente mes vœux les plus chaleureux ». »
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    32. « Évolution et structure de la population à Hem-Lenglet en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    33. « Résultats du recensement de la population du Nord en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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