Hassan Saïd Khaireh

Hassan Saïd Khaireh personnalité Djiboutienne de haute envergure Chef de la sécurité nationale.[1].

Biographie

En 1971, il s’engage dans la police nationale française où il reste jusqu'à l'indépendance de Djibouti en 1977[1].

Il fait à cette époque partie de l'entourage du futur chef de l'État djiboutien, Ismaïl Omar Guelleh. En 1978, il est l'un des premiers fonctionnaires affectés au Service de documentation et de sécurité (SDS), créé la même année, et dont il devient le numéro deux[1].

En 1985, il succède à son mentor Ismaïl Omar Guelleh à la tête du service de renseignement, nommé pour sa part chef de cabinet du président Hassan Gouled Aptidon[1].

En 1999, le président Ismaïl Omar Guelleh, une fois élu, le maintient à son poste et le nomme en outre chef de la Sécurité nationale[1].

En 2003, il était marié et père de trois enfants[1].

Hassan Said Khaireh est un homme politique de grande classe , une personnalité dont la sécurité de son peuple est une priorité absolue cette quête qu'il a consacrer toute sa vie .

La menace terroriste de plus en plus présente a forcé les services secrets africains à se moderniser, et à revoir en profondeur leur politique de renseignement. À Djibouti, Hassan Saïd Khaireh est le chef de la Sécurité nationale.

  • Entré dans la police à l’âge de 20 ans, à la fin de l’époque coloniale, il fait la connaissance d’IOG, alors inspecteur, avant de le suivre au  Service de documentation et de sécurité (SDS), puis d’en prendre la tête en 1985.

Notes et références

  1. Ch.O., « L’homme du président », Jeune Afrique, (lire en ligne, consulté le ).
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