Grigol Mgaloblichvili
Grigol Mgaloblichvili, (en géorgien : გრიგოლ მგალობლიშვილი)[Note 1], né le à Tbilissi, parfois surnommé Guega ou Guegoua Mgaloblichvil, est un homme politique géorgien, sans étiquette, Premier ministre du jusqu'au .
Grigol Mgaloblichvili გრიგოლ მგალობლიშვილი | |
Fonctions | |
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Premier ministre de Géorgie | |
– (3 mois et 5 jours) |
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Gouvernement | Mgaloblichvili |
Législature | IVe République |
Prédécesseur | Vladimer Gourguenidze |
Successeur | Nikoloz Guilaouri |
Ambassadeur de Géorgie à Ankara | |
– | |
Président | Mikheil Saakachvili |
Premier ministre | Zourab Jvania Zourab Noghaïdeli Vladimer Gourguenidze |
Prédécesseur | Tariel Lebanidze |
Biographie | |
Nom de naissance | Grigol Mgaloblichvili |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Tbilissi (RSS de Géorgie) |
Nationalité | géorgienne |
Parti politique | Indépendant |
Diplômé de | Université d'Istanbul Université de Tbilissi Université d'Oxford |
Profession | Politicien Diplomate |
Religion | orthodoxe |
Résidence | Site diplomatique d'Oran |
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Premiers ministres de Géorgie | |
Biographie
Né en 1973 à Tbilissi, il est ambassadeur de Géorgie en Turquie de 2004 jusqu'au . Le , Mikheil Saakachvili limoge le Premier ministre Vladimer Gourguenidze, suite aux critiques du gouvernement de celui-ci par le peuple géorgien. Le président géorgien nomme alors Grigol Mgaloblichvili Premier ministre. Il est le 8e à accéder à ce poste depuis l'indépendance géorgienne de 1991, si l'on ne compte pas les deux chefs de gouvernement de la Géorgie indépendante de 1918 à 1921.
Il parle couramment l'anglais, le turc, le russe et l'allemand. Il est marié et père de deux enfants.
Le , il tient une conférence de presse pour annoncer sa démission à cause de problèmes de santé. Le président Saakachvili nomme Nikoloz Guilaouri, alors premier vice-Premier ministre et ministre des Finances, pour lui succéder.
Notes et références
Notes
- La transcription en langue française des patronymes géorgiens a été stable jusqu’à la fin du XXe siècle : les règles constituées par l’intermédiation de la langue russe, confirmées par la Légation de la République démocratique de Géorgie en France (1921-1933) et proches de la prononciation en langue géorgienne, étaient utilisées sans exception ; elles le sont encore aujourd’hui par le ministère français des Affaires étrangères et par la plupart des universitaires français s’intéressant à la Géorgie. L’usage a progressivement changé avec l’intermédiation de la langue anglaise et la définition d’une translittération latine proche de la transcription anglaise (2002). Ainsi გრიგოლ მგალობლიშვილი donne Grigol Mgaloblichvili en transcription française et Grigol Mgaloblishvili en transcription anglaise (et en translittération latine).
Références
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