Franvillers
Franvillers est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.
Franvillers | |||||
La mairie | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Amiens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Val de Somme | ||||
Maire Mandat |
Delia Sanjuan 2020-2026 |
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Code postal | 80800 | ||||
Code commune | 80350 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Franvillois | ||||
Population municipale |
507 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 106 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 58′ 01″ nord, 2° 30′ 29″ est | ||||
Altitude | Min. 87 m Max. 121 m |
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Superficie | 4,77 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Corbie | ||||
Législatives | 4e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Description
Franvillers est un village picard de l'Amienois situé à 17 km au nord-est d'Amiens, 11 km au sud-ouest d'Albert (Somme) et 7 km nord de Corbie. Le sud du territoire communal est limité par l'ex-RN 29 (actuelle RD 929).
La commune est située sur un plateau qui domine les environs[1], dont le sol est à dominante argileuse et calcaire vers l'est de la commune[1].
En 2019, la localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France (ligne no 36)[2].
Communes limitrophes
Hydrographie
Aucun cours d'eau ne traverse la commune. La nappe phréatique était située à la fin du XIXe siècle à 100 m sous le niveau du sol[1]. Avant l'installation de l'eau courante de la commune, quatre puits alimentaient les habitants, dont l'un avait une profondeur de 110 m[3].
Climat
Le climat de la commune est tempéré océanique.
Urbanisme
Typologie
Franvillers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].
La commune de Franvillers présente un habitat groupé.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,2 %), zones urbanisées (6,8 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Toponymie
Le nom Franvillers est de formation est de formation germano-romane. « Villers » provient vraisemblablement du latin villare désignant une partie de villa gallo-romaine démembrée. Le préfixe « Fran » serait issu du nom germanique du propriétaire du domaine après les invasions barbares des Ve-VIe siècles[11].
Histoire
Préhistoire
On a retrouvé, au XIXe siècle, sur le territoire de la commune, vers Contay et Ribemont-sur-Ancre, des haches en silex et des flèches en corne de cerf[1].
Antiquité
Des traces d'une villa gallo-romaine ont été retrouvées sur le territoire de la commune. La route d'Amiens à Albert, qui limite au sud son territoire, est située sur le tracé d'une ancienne voie romaine reliant Amiens à Bavai[12].
Moyen Âge
En 856, sous le règne de Charles le Chauve, Franvillers est brûlé par les Vikings qui sont repoussés par Odon IV, abbé de Corbie.
En 884, le roi Carloman II, serait mort au cours d'une partie de chasse au sanglier au lieu-dit le Fossé Péricot[Note 3].
On a retrouvé sur le territoire de la commune, les vestiges d'une motte féodale.
Pendant la féodalité, la terre de Franvillers dépendait de l'abbaye de Corbie. « Antérieurement à 1198, un abbé en inféoda la moitié aux ancêtres d'Adam de Montdidier, dits la Rage, et ceux-ci usurpèrent le reste[12] »[13]. Franvillers dépendait également de la seigneurie d'Heilly[1].
Époque moderne
En 1536, Franvillers est ravagé par les troupes d'Henri III de Nassau-Breda au service de Charles Quint.
En 1552, ce sont les troupes d'Adrien de Croÿ, comte du Rœulx, qui brûlent Franvillers.
Pendant la Guerre de Trente Ans, en 1636, au cours du siège de Corbie, Franvillers est encore une fois dévasté par les troupes d'Ottavio Piccolomini.
Époque contemporaine
Franvilllers est situé à proximité de Contay, où une présence huguenote s'est maintenue à travers l'occupation espagnole puis la Révocation de l'Édit de Nantes et les persécutions qui s'ensuivirent. Après des lois de Charles X protégeant l'exercice de ce culte, des temples sont édifiés dans la Somme à partir de 1830. Une communauté protestante d'une trentaine de fidèles est mentionnée en 1840 à Franvillers[14], et un temple protestant y est édifié en 1854 sur un terrain acquis par les pasteurs Jacques Goulard de Contay et Théophile Guiral de Saint-Quentin, malgré l'opposition de la municipalité, du préfet et du ministre des cultes de l'époque. Il n'ouvre qu'en 1860 après de longues polémiques et sur l'insistance du consistoire local et du consistoire national[15],[16],[17].
Les et , se déroula la bataille de l'Hallue entre Prussiens et Français durant la Guerre franco-allemande de 1870 sur le territoire de la commune de Pont-Noyelles. Les combats s'étendirent à d'autres communes du secteur dont Franvillers, ce qui explique la présence d'un monument à la mémoire des soldats morts au cours des affrontements.
- Franvillers à la fin du XIXe siècle
À la fin du XIXe siècle, plusieurs activités industrielles contribuent à la prospérité de Franvillers[1] :
- une carrière de silex employait une trentaine d'ouvriers en hiver ;
- une vingtaine de métiers à tisser des gilets de laine et des bas subsistaient dans la commune ;
- une cinquantaine d'ouvriers fabriquaient des chaussures de cuir.
En plus de l'agriculture, un pressoir à cidre, une entreprise de battage et un alambic complètent alors la vie économique de la commune[1].
À la même époque, on relève de nombreux lieu-dits : La Maladrerie, Saint-Cyr, Jeanlieu, les Urnes, La Follye, Sous la Chaussée (romaine), le Clichet, l'Arbre de la Vierge, le Casse-Nécot, Rues du Bourg, du Sac[12].
Pendant la Première Guerre mondiale, Franvillers est un village de l'arrière, néanmoins à proximité du front, notamment pendant la bataille de la Somme.
En 1917, le 31e bataillon d'infanterie australienne passa la nuit du et la matinée du à Franvillers alors qu'ils se rendaient à Cardonnette[18].
Politique et administration
De 1790 à 1801, la commune relève de l'administration et de la justice de paix du canton de Querrieu.
En l'an VII et jusqu'au 10 germinal de l'an VIII (), tous les mariages civils du canton sont prononcés au chef-lieu, conformément à l'article IV de la Loy du 13 fructidor de l'an VI ().
- Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Corbie[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
- Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Corbie
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de la Somme.
Intercommunalité
Franvillers est membre de la communauté de communes du Val de Somme, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1993 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].
En 2018, la commune comptait 507 habitants[Note 4], en diminution de 4,52 % par rapport à 2013 (Somme : −0,18 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Principaux équipements
En 2020, les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal rassemblant Bonnay, Lahoussoye et Franvillers[26].
Économie
L'activité économique de la commune est dominée par l'agriculture mais une petite activité commerciale et artisanale subsiste[Quand ?].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L’église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte, du XVIIIe siècle, dotée de deux nefs[27],[12] doit son nom à saint Cyr et à sa mère sainte Julitte, deux martyrs chrétiens du IVe siècle.
- Porte latérale de l'église en 1914...
- ... et en 2020
- Ancien temple protestant[28], vendu en 1905. La partie aux doubles fenêtres est le temple initial de 1854, la partie de droite est l'ancien presbytère[15].
- Oratoire du bois d'Heilly[27]. Bâti par Mme Lavoix de Corbie en 1863, il abrite une Vierge en plâtre[29].
- Le monument aux morts de 1914-1918 se dresse, dans le cimetière, à droite d'un autre dédié aux victimes de la guerre de 1870[30],[31],[32].
- Cimetière militaire[33], prolongeant le cimetière communal. Une croix du Sacrifice y est dressée, comme dans la plupart des cimetières du Commonwealth de la région.
- L'ancien temple protestant.
- Cimetière militaire britannique
- Une des croix de fer forgé subsistant au cimetière.
- Une des tombes militaires du cimetière communal (D. Callaghan, Royal Field Artillery).
- Détail de la tombe Hanquet-Mulot.
Personnalités liées à la commune
- Augustin Crampon (1826-1894), chanoine du chapitre cathédral d'Amiens, traducteur et exégète de la Bible, natif de Franvillers.
Héraldique
Blason | De sable fretté d'or entre-semé de fleurs de lis du même. |
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Détails | Ce blason s'inspire des armoiries de la famille de Belleforière seigneurs de Franvillers. Les armoiries de Franvillers ont été légèrement modifiées, elles sont d'or au lieu d'argent[34]. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- M. Boulan, Notice géographique et historique sur la commune de Franvillers, Archives départementales de la Somme, .
- Robert-Henri Bautier et Annie Renoux (dir.), Palais royaux et princiers au Moyen Âge : actes du colloque international tenu au Mans les 6-7 et 8 octobre 1994, Le Mans, Université du Maine, , 217 p. (ISBN 978-2-904037-22-1), « Les itinéraires des souverains et les palais royaux en « France occidentale » ».
Articles connexes
Liens externes
- Franvillers sur le site de l'Institut géographique national
- Page spécifique du site de la communauté de communes
- « Dossier complet : Commune de Franvilers (80350) », Recensement général de la population de 2017, INSEE, (consulté le ).
- « Franvillers », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 12 SE, Amiens[Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Robert-Henri Bautier indique néanmoins qu'il mourut dans la forêt de Lyons en Normandie, à la limite des communes de Franvillers, Baisieux et Ribemont-sur-Ancre.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Boulan 1899.
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- « Franvillers (80) Un puits de 80 mètres qui fait trembler la commune : Un puits d’avant-guerre, recouvert d’une simple dalle, est réapparu après un glissement de terrain. Une voiture a failli être avalée par ce trou d’une profondeur de 80 mètres », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Charles Rostaing, Les noms de lieux, Paris, P.U.F., 1969.
- Hector Josse, Dictionnaire historique et archéologique de la Picardie, t. II : Arrondissement d'Amiens : cantons de Corbie, Hornoy et Molliens-Vidame, Amiens, Yvert & Tellier, coll. « Société des antiquaires de Picardie », , 458 p. (lire en ligne), p. 37-39, lire en ligne sur Gallica.
- Michel de La Torre, Guide de l'art et de la nature en Somme, Paris, Nathan, (ISBN 978-2-09-286380-0).
- Athanase Coquerel, Lettre à un pasteur sur le projet d'ordonnance portant règlement d'administration pour les églises réformées, Paris, Cherbuliez, , 72 p. (lire en ligne), p. 8, sur Google Books.
- « L'ex-temple de Franvillers (80-France) », Église réformée de la Somme (consulté le ).
- Nicole Vernet, « Les temples du consistoire Hainaut Picardie du 19e au 20e siècle » [PDF], sur http://www.erf-hainaut.net, (consulté le ).
- André Encrevé, Protestants français au milieu du XIXe siècle : les réformés de 1848 à 1870, Labor et Fides, , 1121 p. (ISBN 2830900286, lire en ligne), p. 874-875, sur Google Books.
- collection de Springfield College, représentant australien YMCA WWI Lantern.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Le casse-tête de la reprise scolaire dans le Nord et le Sud Amiénois : Entre les maires ayant déjà pris un arrêté refusant la rentrée scolaire la semaine prochaine, ceux qui hésitent encore et ceux qui se font un devoir de rouvrir les classes, la situation est très inégale d’une commune à l’autre. Une chose est sûre : cette rentrée fait mal à la tête ! », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Oswald Macqueron, « Aquarelle : A) Chapelle Notre-Dame-du-Bois d'Heilly près de Franvillers, canton de Corbie, d'après nature. B) Eglise de Franvillers (canton de Corbie), d'après nature », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville, (consulté le ).
- Oswald Macqueron, « Aquarelle : A) Chapelle près de Franvillers (canton de Corbie), d'après nature, . B) Temple protestant à Franvillers (canton de Corbies), d'après nature », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville, (consulté le ).
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 190 (ASIN B000WR15W8).
- MemorialGenWeb.org, pour les tués de 1914-1918 (avec photo) et ceux de 1870-1871.
- Les Morts pour la France - Somme.
- Photo + article dédié aux Monuments aux Morts de la Somme.
- (en) Site avec photos et mention du nombre de combattants inhumés, et 2 autres sites donnant les noms des 8 soldats inhumés dans le cimetière communal avec photo et sans photo.
- http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=5006
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