Forces armées chiliennes
Les Forces armées du Chili (en espagnol : Fuerzas Armadas de Chile) dépendent du ministère de la Défense du Chili (ministerio de defensa de Chile), et sont composées des branches armées suivantes :
- Ejército, l'armée de terre chilienne,
- la Armada, la marine,
- et la Fuerza Aérea, la force aérienne.
Forces armées chiliennes | |
Branches | ![]() ![]() ![]() |
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Quartier-général | Santiago du Chili |
Commandement | |
Président de la République | Sebastián Piñera |
Ministre de la Défense | Alberto Espina Otero (es) |
Chef d'état-major | Vice Amiral Rodrigo Álvarez Aguirre |
Main-d'œuvre | |
Actifs | 73 860 (2013)[1] |
Déployés hors du pays | 455 (27 octobre 2014)[2] |
Réservistes | 40 000 (2013)[1] |
Paramilitaires | 44 712[1] |
Budgets | |
Budget | 5,31 milliards de dollars[1] (2013) |
La Constitución Política de Chile (la constitution) les charge de défendre le pays et établit son caractère essentiel dans la sécurité nationale. Après la cavale de l'ex-vice directeur de la DINA Raúl Iturriaga en 2007, l'armée chilienne a cessé de financer la défense juridique des militaires inculpés pour les crimes commis lors de la dictature de Pinochet[3].
Organisation générale

Structure de l'armée chilienne en 2006
Marine de guerre

Le Buque Escuela Esmeralda. Navire-école de la Armada de Chile, qui fut employé comme centre de détention et de torture sous Pinochet, de 1973 à 1980[4].
Références
- Benoist Bihan, « La meilleure force terrestre de l'Amérique latine ? » in Défense et sécurité internationale, n°109, décembre 2014, p. 76.
- Thomas Huchon, Fin de cavale pour le tortionnaire chilien Raul Iturriaga, Rue89, 21 août 2007
- Niegan libertad en crimen de sacerdote en la Esmeralda, La Nación, 3 May 2008 (es)
Liens externes
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