Football Club de Versailles 78

Le Football Club de Versailles 78, couramment appelé FC Versailles, est un club de football français basé à Versailles issu de la fusion en 1989 du Racing Club de Versailles et des Compagnons Sportifs Versaillais, respectivement fondés en 1960 et 1958.

FC Versailles
Généralités
Nom complet Football Club de Versailles 78
Surnoms FCV
Les Bleus
Noms précédents Entente Sportive Versaillaise (1941-1960)
Racing Club de Versailles (1960-1989)
Fondation (fusion)[Note 1]
Couleurs Bleu roi et blanc
Stade Stade Montbauron
(7 545 places)
Siège 24 Allée Pierre de Coubertin
78000 Versailles
Championnat actuel National 2
Président Daniel Voisin
Entraîneur Youssef Chibhi
Site web fcversailles78.com

Maillots

Domicile
Extérieur

Actualités

Pour la saison en cours, voir :
National 2 2020-2021
0

Les origines du club remontent à 1941 lorsque l'Entente Sportive Versaillaise, club omnisports, est fondée à la suite de la fusion de quatre clubs affiliés à la FGSPF. En 1960, cette section football fusionne avec deux autres équipes de football pour devenir le Racing Club de Versailles. Longtemps plongé dans les divisions régionales, le RC Versailles parvient à atteindre la troisième division en 1986. À l'issue de la saison 1988-1989, le club prend son nom actuel : Football Club de Versailles 78. La première année sous son nouveau nom s'avère être fatale puisque le club versaillais descend en Division 4 à la fin de la saison. Le FC Versailles est alors sur la pente descendante et finit par être relégué en huitième division avec de lourdes dettes financières. Repris par Daniel Voisin en 2004, le club retrouve les championnats nationaux en 2017.

Le FC Versailles constitue un club majeur des Yvelines et d'Île-de-France, et fait partie des principaux clubs de la région parisienne. Le club joue ses matchs à domicile au stade Montbauron. Il évolue depuis la saison 2020-2021 en National 2.

Histoire

Genèse du club (avant 1941)

À Versailles, de nombreux clubs omnisports pratiquant le football sont créés dans la première moitié du XXe siècle. Parmi ces clubs, on trouve l'Espérance de Versailles, fondée en 1907[1], qui est l'un des premiers clubs à s'affilier à l'Union régionale de Seine-et-Oise de la Fédération gymnastique et sportive des patronages de France (FGSPF). L'Espérance prend place dans le Championnat de Seine-et-Oise FGSPF duquel elle se qualifie occasionnellement pour la Coupe de France FGSPF, qui réunie les vainqueurs de chaque Union régionale.

L'Escouade Versaillaise est un autre club omnisports fondé en 1911[2]. Mais c'est seulement après la Première Guerre mondiale que, sous l'impulsion d'un comité actif, l'Escouade commence peu à peu à se développer. L'association propose de nombreux sports comme le football, le basket-ball, l'athlétisme, le tennis, la gymnastique ou encore le cross-country. En plus de prendre part aux épreuves organisées par d'autres groupements, l'Escouade, affiliée à la FGSPF, à la FFFA et à la FFA, organise de nombreux tournois. Dès 1924, le club versaillais décide d'aménager un stade dans la ville du Chesnay. Ainsi, 200 000 francs sont affectés à la réalisation du stade Michaux. L'équipe première de football, arborant des maillots bleu marine et blancs, y joue l'intégralité de ses rencontres.

La Ludovicienne et le Sporting de Versailles-Porchefontaine, deux autres clubs affiliés à la FGSPF, voient le jour respectivement en 1917[3] et en 1936[4]. Mais c'est bien l'Escouade Versaillaise qui apparaît comme le principal club versaillais dans les années 1930.

Entente Sportive Versaillaise (1941-1960)

En pleine Seconde Guerre mondiale, Jean Borotra, commissaire général à l’Éducation physique et aux Sports sous le régime de Vichy, manifeste le désir de voir les différentes sociétés d'une même localité fusionner. Les sociétés versaillaises vont alors réaliser ces fusions, qui ont pour but de réduire le nombre de clubs et de rendre ceux-ci plus forts. Au début de l'année 1941, la municipalité versaillaise passe à l'action en créant l’Association Sportive Municipale Versaillaise qui groupe cinq clubs : l’Association Sportive Versaillaise (premier club versaillais à participer à la Coupe de France lors de la saison 1921-1922), le Racing Club Versaillais, la Société Versaillaise d'Encouragement à la Natation, le Cyclo Club Versaillais et la Société de Boxe Versaillaise[5]. L'Espérance de Versailles et l'Escouade Versaillaise déclarent alors vouloir conserver leur autonomie et se tenir en dehors du nouveau groupement[6]. Face à la pression de la municipalité et pour suivre les directives des autorités supérieures, M. Louis, conseiller municipal de Versailles chargé de la direction des sports, réussit à faire fusionner l'Espérance, l'Escouade, la Ludovicienne et le Sporting de Versailles-Porchefontaine[7]. Ainsi, toujours en 1941, le deuxième nouveau club versaillais groupant ces quatre clubs est créé sous le nom d’Entente Sportive Versaillaise[8],[9]. Cette nouvelle association est patronnée par de nombreuses personnalités comme l'ancienne reine du Portugal Amélie d'Orléans ou le préfet de Seine-et-Oise Marc Chevalier[10]. L'Entente, club omnisports, adopte les couleurs bleues et blanches, et hérite des installations sportives des anciens clubs avec notamment la récupération du stade Michaux au Chesnay.

Le onze-type versaillais en Coupe de France 1941-1942 : Le Viol, Le Bailly, Haut, Blouin, Tromas, Hélias, Juillerat, Vernon, Fourny, Moro, Dumont.

L'ES Versailles se structure très rapidement et possède, dès la saison 1941-1942, douze équipes de football. L'équipe première, qui est essentiellement constituée d'anciens joueurs versaillais de l'Escouade et de l'Espérance, prend place dans la première division du championnat de Paris[11] et décide de participer à la Coupe de France dès sa première saison. Elle dispute son premier match de coupe le contre l'Espérance Drouaise et s'impose trois buts à un[12]. Auteurs d'un beau parcours, les versaillais se qualifient ensuite pour les seizièmes de finale de la Coupe de France (zone occupée) en éliminant successivement l'AS Poissy (4-0), le CA XIVe (5-2) et le CA Vitry (2-1). Le , devant 2 000 spectateurs, l'équipe versaillaise succombe finalement au Red Star (10-0), futur vainqueur de la coupe, dans son stade Michaux[13],[14].

Décidée à promouvoir le football à Versailles, l'Entente invite des équipes de renommée à Versailles pour confronter l'équipe première à celles-ci. L'inauguration du parc des sports de Montbauron le permet l'organisation de ces rencontres. Cette saison 1943-1944 concrétise également la montée en puissance du club qui remporte pour la première et unique fois la Coupe de France UGSPF. En effet, l'ES Versailles, entraînée par l'international français Maurice Dupuis, élimine notamment l'Étoile Moulinoise (3-2) en quart de finale et l'Espérance de Saint-Lô (4-1, après prolongation) en demi-finale avant de vaincre la JA Saumur (4-1) en finale le .

La saison suivante, en 1944-1945, l'ESV, dont s'occupe désormais Pierre Favier, atteint les trente-deuxièmes de finale de la Coupe de France où elle est éliminée par l'AS Trouville-Deauville 3-0[15].

Le onze-type versaillais en Coupe de France 1947-1948 : Decottegnie, Truelle, Fritz, Perono, Robinot, Blouin, Azema, Crozatier, Fourny, Calmels, Dumont.

Pour la saison 1947-1948, l'ES Versailles, membre du championnat de promotion d'honneur de Paris, décide de nommer Roger Calmels, ancien joueur de l'US Le Mans, comme joueur-entraîneur de l'équipe fanion. Il fait ses débuts contre l'équipe amateur du Stade français (4-4) le [16]. Son équipe parvient par la suite en seizième de finale de la Coupe de France en dominant lors des trente-deuxièmes de finale le Gallia-Club Angoumoisin (7-2). Lors de cette rencontre, Jean Fourny marque les sept buts versaillais et réalise ainsi un des plus grands exploits personnels de la Coupe de France[17]. Le , les versaillais affrontent donc le FC Gueugnon à Orléans pour tenter de se qualifier en huitième de finale mais s'inclinent en prolongation quatre buts à un[18].

Par la suite, l'ES Versailles s'illustrera essentiellement dans le groupe B du championnat de promotion d'honneur de Paris (D5), effectuant même un court passage en Division d’Honneur (D4) lors de la saison 1951-1952[19].

Projet raté d'un grand club (1960-1985)

À la fin des années 1950, un grand projet sportif de la municipalité versaillaise voit le jour. Sous l'impulsion de Jacques Meissonnier, adjoint au maire chargé des sports, la municipalité décide de faire fleurir le sport dans la cité royale et plus particulièrement le football. Pour cela, il est décidé de construire un grand stade moderne de 20 000 places aux normes des championnats professionnels dans le parc des sports de Montbauron. Cependant, la ville de Versailles ne possède pas de grandes équipes de football qui pourraient remplir les nouvelles tribunes du stade Montbauron, ce qui a le don d'agacer Jacques Meissonnier. À l'époque, il n'existe que l'ES Versailles qui milite en première division du championnat de Paris (D6). Pour pallier le problème, l'adjoint au maire négocie la fusion des sections football de l'ES Versailles, du Stade Olympique de Versailles et du Football Athlétique Club de Versailles. En 1960, ces clubs s'unissent pour devenir le Racing Club de Versailles. Le RC Versailles doit devenir le nouveau club phare de la ville et Jacques Meissonnier déclare vouloir voir l'équipe monter en CFA (D3) dans un délai de quatre ans : « Sans me dissimuler la difficulté de l'entreprise, j'escompte que dans quatre ans Versailles accédera au championnat de France amateurs. Et après, qui sait si nous ne pourrons faire mieux... »[20].

Après plusieurs saisons jouées au stade Michaux du Chesnay, le club versaillais prend place dans ce qui deviendra son antre, le stade Montbauron, inauguré le . En présence du président de la FFFA Pierre Pochonet et du président de la LFP Antoine Chiarisoli, le stade est inauguré devant 17 000 spectateurs à l'occasion d'un match du RC Versailles contre une sélection parisienne, et d'une rencontre amicale entre le Stade de Reims et le Racing Club de Paris (victoire 2-1 de Reims)[21].

En 1963, le RCV devient un club omnisports avec l'incorporation de l'athlétisme, du handball et du volleyball. L'année suivante, en 1964, la dissolution d'une société versaillaise permet l'intégration du basketball. Dans la foulée, le rugby, le judo, le ski, l'aïkido, les boules, le triathlon et pleins d'autres sections intégreront le Racing Club de Versailles. Le colonel Poggi est désigné président général à ce moment. Il y reste un an avant de laisser sa place à Jacques Agnely, secondé par Robert Burlotte, Roger Zedet et Michel Robillard. L'association prend son véritable essor et le RC Versailles omnisports prend une place importante dans le sport versaillais[22].

Les footballeurs du RC Versailles vont alors petit à petit gravir les échelons jusqu'à atteindre la Division d'Honneur (D4) en 1966[23]. Ils alternent dès lors les saisons entre les quatrième et cinquième divisions nationales sans s'installer durablement au quatrième échelon français. À partir de 1976, le club, de nouveau relégué de la DH[24], connaît une « traversée du désert » qui verra le RC Versailles stagner en cinquième division pendant neuf ans. Cette période marque aussi la crise qui secoue de façon latente ce club omnisports. En 1979, le président général du RCV, Philippe-Georges Capelle, pensant qu'il existait une réelle volonté de la municipalité de démanteler le club, propose au maire de Versailles, André Damien, de dissoudre le RC Versailles. Le maire demande alors de renoncer à la dissolution, prenant l'engagement de reconnaître et soutenir le club. En 1981, Philippe-Georges Capelle démissionne de son poste de président, une place qu’il occupait depuis juin 1977. Il est en désaccord avec la politique sportive de la ville vis à vis du Racing et met en cause les faibles subventions municipales pour un grand club omnisports de plus de 2 000 licenciés[25].

Ascension rapide (1985-1989)

Après la démission du président Philippe-Georges Capelle, une assemblée générale convoquée pour le décide une réforme complète des statuts du club omnisports, ce qui permet au Racing de repartir sur des bases plus saines et connaître son heure de gloire dans les années 1980[25]. Lors de la saison 1984-1985, les versaillais remportent le championnat de Division d'Honneur de la Ligue de Paris Île-de-France de football (D5) et accèdent ainsi en Division 4[26]. Dès sa première saison à ce niveau, le club termine premier de son groupe et se hisse même en finale de la D4 où il s'incline deux buts à un face à l'ES La Rochelle, vainqueur du groupe G. Le RCV est donc promu pour la première fois de son histoire en Division 3 et connaît ainsi une deuxième accession en deux ans.

La saison 1986-1987 est une vraie réussite. Outre le maintient en D3, Versailles, dominant l'AC Cambrai 3-0 au 8e tour, se qualifie pour les trente-deuxièmes de finale de la Coupe de France et affronte l'Olympique de Marseille, pensionnaire de Division 1, au stade Léon-Bollée du Mans[27]. Devant 6 618 spectateurs, le RC Versailles s'incline face à l'OM avec les honneurs : défaite deux buts à un[28].

En 1988-1989, le Racing atteint une nouvelle fois les trente-deuxièmes de finale de la Coupe de France en éliminant difficilement l'AS Cherbourg au 8e tour (2-2, 4-3 aux tirs au but)[29]. En trente-deuxième de finale, le RCV rencontre cette fois-ci l'USL Dunkerque, club de Division 2, et s'incline sur le score de deux buts à zéro. En D3, le club se situe dans le ventre mou et termine, comme l'année précédente, à la 9e place de son groupe[30].

Chute du FC Versailles 78 (1989-2007)

En juin 1989, la section football du RC Versailles fusionne avec les Compagnons Sportifs Versaillais et change de nom pour devenir le Football Club de Versailles 78.

Pour sa première saison sous son nouveau nom, le FC Versailles 78 termine 14e de la D3-Nord et est donc relégué en Division 4. Pendant les trois années qui suivent cette descente, les versaillais stagnent au classement de D4 et terminent à deux reprises à la 8e place et une fois à la 6e place. En 1993, avec la restructuration des divisions amateurs nationales, le club descend administrativement en National 3 (D5). Néanmoins, dès l'année suivante, le FCV accède au National 2. Il y reste un an avant de redescendre en N3. Le club est alors sur la pente descendante et finit par retrouver la DH en 1999. Le club quitte ainsi les échelons nationaux qu'il fréquentait depuis quatorze ans. Cette descente dans les divisions régionales met le club en grande difficulté financière, ce qui va provoquer le départ de nombreux joueurs[31]. Mais malgré ces difficultés, le club parvient à se maintenir de 2000 à 2004, tout en effectuant des parcours honorables en Coupe de France (7e tour en 2002-2003, et 8e tour en 2000-2001 et 2003-2004).

En décembre 2003, après l'élimination du FC Versailles au 8e tour de la Coupe de France, Gérard Ancel, président du club versaillais depuis douze ans, démissionne de son poste[32]. Entre la baisse constante des subventions municipales et les fermetures de terrain prises souvent avant un rendez-vous important pour les joueurs versaillais, Gérard Ancel en a marre de se battre[33] et laisse la présidence du club à Alain Duigou[34]. En mai 2004, lors d'une assemblée générale, Jean-Baptiste Marvaud, l'adjoint au maire chargé de la jeunesse et des sports, demande et obtient la démission de l'intégralité du bureau directeur après la révélation des résultats de l'audit demandé par la mairie. Un déficit d'un montant de 255 000 euros a provoqué ce bouleversement à la direction du FCV[35].

Un gouffre financier fait alors fuir une bonne partie des dirigeants et des licenciés, et menace de faire disparaître l'association. Le club n'a plus les moyens d'avoir des éducateurs, du matériel, et les joueurs de l'équipe sont sollicités ailleurs. Après la démission d'Alain Duigou, Daniel Voisin, jusqu'ici membre du Comité Directeur, accepte de devenir président afin de poser les bases d'une reconstruction avec les dirigeants et éducateurs volontaires. La mairie effacera une partie de la dette (25 000 euros) pour aider le FCV[36].

Lors de la saison 2003-2004, le club se sauve in extremis de la relégation lors de la dernière journée du championnat de DH, grâce à une victoire sur la réserve du Paris FC (2-0)[37]. La reconstruction du club prend du temps et Versailles ne dispose plus de budget pour l'équipe première. Jean-Baptiste Marvaud évoque, dans un premier temps, le souhait de retirer l'équipe de la DH pour épurer la dette du club[35]. La saison suivante, le FC Versailles engage tout de même son équipe en DH mais est relégué cette fois-ci en DSR[38]. Thierry Bocquet, entraîneur depuis six ans, démissionne[31] et est remplacé par Lounès Hattab. Faute de moyens financiers, le club entame la saison suivante avec pour objectif de stopper l'hémorragie au niveau de la descente[39]. Les versaillais parviennent à se maintenir en 2006 mais finissent par chuter en DHR, la huitième division, à la suite d'une saison 2006-2007 désastreuse (3 victoires en 22 matchs)[40]. Lounès Hattab démissionne à son tour et le FC Versailles connaît son plus bas niveau depuis sa création.

Reconstruction du club et remontée (2007-2017)

Malgré une énième descente, les finances du club commencent à s'assainir[40] et le transfert de Thierry Henry, joueur du FCV de 1992 à 1993, au FC Barcelone en juin 2007 permet au FC Versailles de bénéficier de 60 000 euros du transfert[41]. Petit à petit, le FC Versailles comble le déficit et la situation sportive est en parallèle meilleure. À l'issue de la saison 2008-2009, le FC Versailles retrouve des couleurs en étant promu de DHR en DSR[42].

Lors de la saison 2009-2010, le club, qui évolue donc en DSR, crée l'exploit d'éliminer le Dijon FCO, pensionnaire de Ligue 2, au 8e tour de la Coupe de France. Les versaillais s'imposent un but à zéro effaçant ainsi les cinq divisions d'écart[43],[44].

L'équipe (en bleu) lors du match FC Versailles 78 - US Créteil du 22 mars 2015 au stade Montbauron.

Le club ne parvient pas à rééditer cette performance en trente-deuxième de finale : Versailles s'incline à domicile trois buts à zéro face à l'AS Beauvais, pensionnaire du National (D3). Ce parcours permet néanmoins au club de récolter 35 000 euros, le budget du FCV étant situé entre 280 000 et 300 000 euros à l'époque[45].

À l'issue de la saison 2009-2010, le FC Versailles termine premier de son groupe de DSR grâce à une victoire sur la réserve de l'AS Poissy 6-0 et est promu en Division d'Honneur, le plus haut niveau régional[46].

À la fin de l'exercice 2010-2011, le club termine 4e à huit points du leader, le FC Issy-les-Moulineaux[47].

La saison 2011-2012 est porteuse d'espoir. L'équipe réédite la performance de 2009 en effectuant un très bon parcours en Coupe de France. Elle élimine l'AS Poissy, le SO Romorantin, et l'UJA Alfortville. Elle est donc qualifiée pour les trente-deuxièmes de finale et affronte Dijon à domicile, dans un stade Montbauron plein. Versailles s'incline en prenant cinq buts face aux professionnels de Ligue 1, mais non sans avoir sauvé l'honneur grâce à un penalty de Gregory Lefort à la 93e minute. Grâce à ce parcours en Coupe de France, le club gagne 45 000 euros de gains, plus 6 000 euros de billetteries (Dijon a laissé le chiffre d'affaires à Versailles), alors que le budget de cette saison est de 350 000 euros.

En , David Giguet est nommé entraîneur du club[48]. Il reste à ce poste pendant une saison puis laisse sa place à Youssef Chibhi, qui est nommé entraîneur général du club en juin 2014[49].

Lors de la saison 2015-2016, le FCV finit deuxième à trois points du leader et manque de peu la montée en CFA 2.

Retour au niveau national (2017-)

À l'issue de la saison 2016-2017, trente-deux ans après son premier titre, le FC Versailles 78 est champion de Division d'Honneur et retrouve un championnat national pour la première fois depuis 1999. Il est promu en National 3 avec sept autres formations de son groupe en raison de la refonte des championnats nationaux amateurs[50].

Fraîchement promus, les versaillais réalisent de bonnes performances en championnat et terminent à une honorable quatrième place en 2017-2018, puis à une deuxième place à l'issue de la saison 2018-2019. Forts de leur ascension, les joueurs de la cité royale réalisent également des performances notables en Coupe de France. Le FCV atteint ainsi le 8e tour de la coupe en décembre 2018 (éliminé par le RC Lens[51]), puis les trente-deuxièmes de finale en janvier 2020 (éliminé par l'US Granville[52]).

Lors de la saison 2019-2020, le club est promu en National 2 huit journées avant la fin du championnat de National 3 à cause de la pandémie de Covid-19 qui oblige la FFF a stopper ses championnats[53]. Le FC Versailles, en tant que leader de son groupe avec un quotient de points par match supérieur à ses concurrents, est donc choisi pour monter à l'échelon supérieur. Au terme de cette saison, les versaillais terminent avec la meilleure attaque de leur groupe et la meilleure défense de National 3[54].

La saison 2020-2021 est de nouveau très perturbée par la pandémie de Covid-19, et le championnat de National 2 s'arrête définitivement après neuf journées, alors que le club est 10e.

Image et identité

Noms et fusions

Historique des fusions
Espérance de Versailles
(1907-1941)
Escouade Versaillaise
(1911-1941)
Sporting de Versailles-Porchefontaine
(1936-1941)
La Ludovicienne
(1917-1941)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Stade Olympique de VersaillesEntente Sportive Versaillaise
(1941-1960)
Football Athlétique Club de Versailles
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Compagnons Sportifs VersaillaisRacing Club de Versailles
(1960-1989)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Football Club de Versailles 78
(depuis 1989)

Le nom du club a subi des changements tout au long de son histoire. Les origines du club ont débuté bien avant la Seconde Guerre mondiale avec quatre équipes de patronage : l’Espérance de Versailles, l’Escouade Versaillaise, la Ludovicienne et le Sporting de Versailles-Porchefontaine. À la suite de la fusion des quatre clubs en 1941, les dirigeants optent pour le nom d’Entente Sportive Versaillaise (ESV). La section football de l'ES Versailles absorbera dix-neuf ans plus tard le Stade Olympique de Versailles et le Football Athlétique Club de Versailles pour former le Racing Club de Versailles (RCV).

Enfin, à l'issue de la saison 1988-1989, la fusion du Racing avec les Compagnons Sportifs Versaillais fait naître le Football Club de Versailles 78 (FCV). Le club prend ce nom officiellement le . Le FC Versailles récupère l'affiliation de ses prédécesseurs et est aujourd'hui affilié à la Fédération française de football depuis le sous le numéro d'affiliation 500650.

Couleurs et maillots

Escouade Versaillaise
Couleurs : bleu et blanc
ES Versailles (années 1940)
Couleurs : bleu et blanc
RC Versailles (années 1980)
Couleurs : bleu et blanc
FC Versailles (années 2010)
Couleurs : bleu et blanc

Logos

Palmarès et résultats

Palmarès

Palmarès du Football Club de Versailles 78
Compétitions nationales Compétitions régionales
Championnats
Coupes
Championnats

Bilan saison par saison

Championnats disputés

Le tableau suivant indique le championnat disputé par le club au cours des saisons depuis 1978.

Évolution du championnat disputé par le Football Club de Versailles 78[55]
Niveau I Niveau II Niveau III Niveau IV Niveau V Niveau VI Niveau VII Niveau VIII
1978-1985 DH Paris IDF
1985-1986 Division 4
1986-1990 Division 3
1990-1993 Division 4
1993-1994 National 3
1994-1995 National 2
1995-1999 National 3
1999-2005 DH Paris IDF
2005-2007 DSR Paris IDF
2007-2009 DHR Paris IDF
2009-2010 DSR Paris IDF
2010-2017 DH Paris IDF
2017-2020 National 3
2020- National 2
  • Championnat national professionnel
  • Championnat national professionnel et amateur
  • Championnat national amateur
  • Championnat régional amateur
  • Championnat de district amateur

Personnalités du club

Entraîneurs

  • 1992 - 1995 : Daniel Servais
  • 1996 - 1999 : Olivier Meurillon
  • 1999 - 2005 : Thierry Bocquet
  • 2005 - 2007 : Lounès Hattab
  • 2007 - 2012 : Hakli Dahmane
  • 2012 - 2013 : Franck Bentolila
  • 2013 - 2014 : David Giguet
  • Depuis 2014 : Youssef Chibhi

Présidents

RC Versailles (omnisports)

  • M. Petit
  • M. Pichereau
  • Colonel Poggi
  • Jacques Agnely
  • Philippe-Georges Capelle
  • Jean-Claude Séguier

FC Versailles 78

  • 1991 - date-|janvier 2004 : Gérard Ancel
  • Janvier 2004 - mai 2004 : Alain Duigou
  • Depuis mai 2004 : Daniel Voisin

Anciens joueurs

Effectif actuel

Effectif du FC Versailles 78 pour la saison 2020-2021[56]
Joueurs Encadrement technique
No  P. Nat.[Note 9] Nom Date de naissance Sélection[Note 10] Club précédent
1 G Caraux, NicolasNicolas Caraux 04/03/1991 (30 ans) Atlanta United FC
16 G El-Kharroubi, YassineYassine El-Kharroubi 29/03/1990 (31 ans) MarocWydad AC
30 G Ahyi, KévinKévin Ahyi 29/07/1996 (25 ans) Paris Saint-Germain rés.
2 D Delgado, JuniorJunior Delgado 30/07/1993 (28 ans) Racing CFF
3 D Boigny Alledji, WilfriedWilfried Boigny Alledji 23/10/1990 (30 ans) AC Boulogne-Billancourt
4 D Durand de Gevigney, MaëlMaël Durand de Gevigney 21/09/1999 (21 ans) Formé au club
5 D Gassama, MoroMoro Gassama 01/03/1987 (34 ans) AC Boulogne-Billancourt
7 D Goncalves, BryanBryan Goncalves 19/07/1996 (25 ans) Racing Besançon
18 D Lumon, DavyDavy Lumon 11/01/1990 (31 ans) Sainte-Geneviève Sports
21 D Sebastiao, ElvisElvis Sebastiao 26/06/1995 (26 ans) Formé au club
24 D Nziengui, BrimauBrimau Nziengui 24/01/2001 (20 ans) FC Bourget
26 D Viard, TomTom Viard 10/03/1995 (26 ans) France -19 ansVannes OC
28 D Gnahoré, MickaëlMickaël Gnahoré 19/03/1984 (37 ans) US Lusitanos Saint-Maur
- D Diouf, WalyWaly Diouf 05/05/1997 (24 ans) Sénégal -20 ansFC Vysočina Jihlava
- D Latron, EmmanuelEmmanuel Latron 19/04/2000 (21 ans) FC Rouen
6 M Lacen, MichaelMichael Lacen 18/05/1988 (33 ans) FC Mantois 78
8 M Berkak, OussamaOussama Berkak  01/06/1990 (31 ans) FC Mantois 78
11 M Hidasse, YoussefYoussef Hidasse 05/05/1997 (24 ans) Tours FC
12 M Camara, BakariBakari Camara 04/01/1994 (27 ans) JA Drancy
17 M Bouyer, MatthieuMatthieu Bouyer 05/10/1991 (29 ans) FC Chapelle-des-Marais
22 M Martins, NicolasNicolas Martins 27/06/1999 (22 ans) Formé au club
23 M Benaniba, AbdelhakAbdelhak Benaniba 10/06/1995 (26 ans) US Ivry football
27 M Zerfaoui, YassineYassine Zerfaoui 08/09/1995 (26 ans) Hyères FC
29 M Adel, AnthonyAnthony Adel 11/01/1998 (23 ans) Paris FC rés.
- M Grich, ZakariaZakaria Grich 09/06/1996 (25 ans) US Granville
- M Kerkour, KorenKoren Kerkour 26/08/1999 (22 ans) France -16 ansBergerac Périgord FC
9 A Thiaw, MamadouMamadou Thiaw 12/04/1996 (25 ans) SU 1° Dezembro
10 A Louvet, BenjaminBenjamin Louvet 15/07/1994 (27 ans) US Ivry football
20 A Koné, DramaneDramane Koné 11/04/1992 (29 ans) JA Drancy
33 A Kheche, AmineAmine Kheche 04/06/1998 (23 ans) Racing CFF
- A Arnaud, LorisLoris Arnaud 16/04/1987 (34 ans) TIRA-Persikabo
Entraîneur(s)
  • Youssef Chibhi
Entraîneur(s) adjoint(s)
Préparateur(s) physique(s)
  • Alexis Martielli
Entraîneur(s) des gardiens
  • Thierry Lepesqueux
Kinésithérapeute
  • Pierre Alinand

Légende

Structure du club

Stades

Dans les années 1930, de nombreuses critiques fusent quant à la non-présence de stade municipal dans une ville comme Versailles. L'Escouade Versaillaise et l'Espérance de Versailles, principaux clubs versaillais de l'époque, sont ainsi obligées de trouver des terrains dans des communes voisines. Les deux clubs versaillais disposent alors de deux stades privés, celui du stade Michaux, au Chesnay et celui de Glatigny[57]. En 1941, le problème se poursuit lors de la création de l'ES Versailles qui hérite du stade Michaux, une enceinte sportive sur-utilisée n'ayant aucune tribune et ayant des dimensions de terrain tout juste réglementaires[58]. En avril 1941, le conseil municipal de Versailles règle ce problème en décidant de construire un complexe sportif sur le plateau Montbauron[59]. Mais malgré l'inauguration du parc de sports de Montbauron le , l'ES Versailles joue encore la majorité de ses rencontres dans son stade du Chesnay.

Par la suite, la municipalité décide de construire un nouveau stade Montbauron de 20 000 places pour que le RC Versailles, fondé en 1960, puisse devenir un grand club avec des infrastructures modernes. Le temps de la construction du stade, le RC Versailles joua ses matchs à domicile au stade Michaux. Le stade Montbauron, inauguré le , est depuis son ouverture le stade principal du club. Les meilleures affluences du FC Versailles au stade Montbauron sont enregistrées lors des matchs à prestige de la Coupe de France, à l'image des matchs contre le Dijon FCO en 2012 (4 100 spectateurs) ou face au RC Lens en 2018 (2 800 spectateurs).

Centres d'entraînement

Les entraînements des équipes du club versaillais se font habituellement dans le complexe sportif Porchefontaine, une installation sportive de 40 000 m2 avec plusieurs terrains de football située dans le quartier de Porchefontaine, au sud-est de Versailles.

Le complexe sportif Sans-Souci, constitué d'un terrain synthétique et d'un terrain stabilisé, accueille également certains entraînements du club[60].

Centre de formation

Grande école de football, le FC Versailles possède actuellement plus de 1 100 licenciés, ce qui en fait le douzième plus gros club de France et le deuxième des Yvelines derrière le Houilles AC. À l'image de Thierry Henry, Jérôme Rothen ou encore Hatem Ben Arfa, de nombreux joueurs professionnels sont passés par le club. L'association, qui compte 40 équipes de toutes catégories, s'est vu remettre le Label Jeunes Excellence par le District des Yvelines en 2017, puis le Label Jeunes Élite en 2020[61].

Le , le FC Versailles et l'AS Monaco signent un partenariat, ce qui permet au club versaillais d'envoyer des joueurs faire des essais dans les structures professionnelles monégasques.

Statut juridique et légal

Le Football Club de Versailles 78 est créé en 1989 en tant que club sportif, régi par la loi sur les associations établie en 1901. Le club est actuellement affilié depuis 1933 sous le numéro 500650 à la Fédération française de football. Il appartient à la Ligue de Paris Île-de-France de football et au district des Yvelines.

Organigramme

Organigramme du FC Versailles 78[62]
Comité directeur Administratif Équipe chargée du sportif

Daniel Voisin
Bruno Chabanne
Michel Hourcelle
Willie Hourcelle
Frédéric Pruvost
Filipe Pires
Orlando de Araujo
Joao de Barros
Gilles Denuault
Damien Hue

Président : Daniel Voisin
Vice-président : Bruno Chabanne
Président d'honneur : Michel Hourcelle
Secrétaire général : Bruno Chabanne
Trésorier : Bruno Chabanne
Responsable vétérans : Orlando de Araujo
Responsable arbitres : Orlando de Araujo
Référent adjoint programme éducatif fédéral : Frédéric Pruvost
Entraîneur : Youssef Chibhi
Entraîneur adjoint : Philippe Fraboulet
Entraîneur adjoint : Charles Itandje
Entraîneur des gardiens : Thierry Lepesqueux
Préparateur physique : Alexis Martielli
Kinésithérapeute : Pierre Alinand

Éléments comptables

Chaque saison, le FC Versailles 78 publie son budget prévisionnel de fonctionnement après validation auprès de la DNCG, l'instance qui contrôle l'état des finances des clubs français de football. Le budget prévisionnel d'un club s'établit en amont de l'exercice à venir et correspond à une estimation de l'ensemble des recettes et des dépenses prévues par l'entité. Le tableau ci-dessous résume les différents budgets prévisionnels du club versaillais saison après saison.

Historique du budget prévisionnel du FC Versailles 78
Saison 2017-2018 2018-2019 2019-2020 2020-2021 2021-2022 2022-2023
Budget N.C N.C N.C
Légende : M€ = millions d'euros, k€ = milliers d'euros.

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Plusieurs dates de fondation peuvent être retenues. Le FC Versailles porte la date d'affiliation () d'un de ses prédécesseurs du début du XXème siècle. Malgré cette affiliation, les dates de fondation les plus souvent retenues sont 1941 (année de création de l'ES Versailles) ou 1989 (année durant laquelle le club prend le nom de FC Versailles 78).
  2. Le club atteint également les 16es de finale de la Coupe de France sous un autre format lors de la saison 1941-1942. Lors de la Coupe de France 1941-1942, la France est découpée en plusieurs zones en raison de la Seconde Guerre mondiale (zone occupée, zone interdite et zone libre). Chaque zone organise sa « coupe » et envoie son vainqueur disputer une finale interzones. L'ES Versailles atteint alors les 16es de finale de la zone occupée.
  3. À la fin de la saison 1961-1962 apparait un nouvel échelon dans la hiérarchie du football parisien : la Division d'Honneur Régionale (DHR). La PH est reléguée au rang de D6.
  4. À la fin de la saison 1977-1978 apparait un nouvel échelon amateur dans la hiérarchie du football français : la Division 4, composée des meilleures équipes de Division d'Honneur. La DH est reléguée au rang de D5.
  5. À la fin de la saison 1992-1993, les divisions amateurs nationales sont restructurées : les Divisions 3 et 4 sont remplacées par le National 1, 2 et 3. Ainsi voit-on la création d'un nouvel étage dans la pyramide du football français.
  6. À la fin de la saison 1996-1997, les championnats de National 1, National 2 et National 3 changent de nom. Ils sont remplacés respectivement par le National, le CFA et le CFA 2 (jusqu'en 2017).
  7. Le championnat de National 3 est marqué par la pandémie de Covid-19 en France et dans le monde. Il s'est arrêté le 8 mars 2020 après la 18e journée. À ce moment là, le FC Versailles 78 est premier avec 42 points. Le 16 avril 2020, la FFF indique que le classement final prenait en compte le classement des quotients entre le nombre de points obtenus et le nombre de matchs joués. Avec un quotient de 2,33 points par match, le FC Versailles 78 conserve sa première place au classement et peut intégrer, l'année suivante, le championnat de National 2.
  8. Le championnat de National 2 est de nouveau marqué par la pandémie de Covid-19 en France et dans le monde. Il s'est arrêté en octobre 2020 après la 9e journée. À ce moment là, le FC Versailles est 10e avec 10 points. Le 23 avril 2021, faute de matchs suffisamment joués, la FFF décrète une « saison blanche » : il n'y aura pas de montée et descente. Le FC Versailles 78 reste donc dans le même championnat pour la saison 2021-2022.
  9. Seule la nationalité sportive est indiquée. Un joueur peut avoir plusieurs nationalités mais n'a le droit de jouer que pour une seule sélection nationale.
  10. Seule la sélection la plus importante est indiquée.

Références

  1. « DÉCLARATIONS D'ASSOCIATIONS », Journal officiel de la République française, , p. 7060 (lire en ligne)
  2. « DÉCLARATIONS D'ASSOCIATIONS », Journal officiel de la République française, , p. 972 (lire en ligne)
  3. « DÉCLARATIONS D'ASSOCIATIONS », Journal officiel de la République française, , p. 1405 (lire en ligne)
  4. « DÉCLARATIONS D'ASSOCIATIONS », Journal officiel de la République française, , p. 6367 (lire en ligne)
  5. « La fusion des Sports versaillais », Les Nouvelles de Versailles, , p. 1 (lire en ligne)
  6. « À Versailles, les sociétés ont fusionné et fondé l'Association Sportive Municipale Versaillaise », L'Auto, no 14613, (lire en ligne)
  7. « Entente Sportive Versaillaise », Les Nouvelles de Versailles, , p. 4 (lire en ligne)
  8. « À Versailles, l'Entente Sportive réunit les clubs de la F.G.S.P.F.  », L'Auto, no 14718, (lire en ligne)
  9. G. Dauge, « L'Entente Sportive Versaillaise », Les Jeunes, no 2056, , p. 10 (lire en ligne)
  10. « Entente Sportive Versaillaise », Les Nouvelles de Versailles, , p. 6 (lire en ligne)
  11. « Entente Sportive Versaillaise », Les Nouvelles de Versailles, , p. 6 (lire en ligne)
  12. « Entente Sportive Versaillaise - Résulats du dimanche 21 septembre », Les Nouvelles de Versailles, , p. 6 (lire en ligne)
  13. Victor Denis, « Une belle leçon du Red Star », Le Miroir des sports, (lire en ligne)
  14. René Cotteaux, « La victoire du Red Star sur Versailles ou l'art de se démarquer », L'Auto, no 14990, (lire en ligne)
  15. « La saison 1944 - 1945 » (version du 25 décembre 2004 sur l'Internet Archive), sur fff.fr
  16. « Calmels débute mal », France-Soir, no 963, , p. 4 (lire en ligne)
  17. « Si l'Entente Sportive de Versailles triomphait des forgerons il y aurait du pain sans ticket à Viroflay ! », Ce soir, no 1953, , p. 4 (lire en ligne)
  18. « La saison 1947 - 1948 » (version du 25 décembre 2004 sur l'Internet Archive), sur fff.fr
  19. « DH Paris - 1952 » (version du 1 juin 2012 sur l'Internet Archive), sur footballenfrance.fr
  20. Robert Ichah, « Versailles a de grands projets dont un stade ultra-moderne », L'Aurore, no 4906, , p. 16
  21. « 60 ans du stade Montbauron », sur www.versailles.fr (consulté le )
  22. « Le Racing Club de Versailles : 1965-1970 », sur rugby-versailles.org (consulté le )
  23. « DH Paris - 1967 » (version du 4 juin 2012 sur l'Internet Archive), sur footballenfrance.fr
  24. « DH Paris - 1976 » (version du 1 juin 2012 sur l'Internet Archive), sur footballenfrance.fr
  25. « Le Racing Club de Versailles : 1980-1992 », sur rugby-versailles.org (consulté le )
  26. « DH Paris - 1985 » (version du 4 juin 2012 sur l'Internet Archive), sur footballenfrance.fr
  27. « Coupe de France 1986-1987 » (version du 1 février 2013 sur l'Internet Archive), sur footballenfrance.fr
  28. Laurent Mansart, « Aux portes de la gloire », sur leparisien.fr,
  29. « Coupe de France 1988-1989 » (version du 1 février 2013 sur l'Internet Archive), sur footballenfrance.fr
  30. « Division 3 Gr. Centre 1989 » (version du 28 avril 2012 sur l'Internet Archive), sur footballenfrance.fr
  31. Laurent Mansart, « Thierry Bocquet : « Je ne suis pas aigri » », sur leparisien.fr,
  32. « Gérard Ancel démissionne », sur leparisien.fr,
  33. « Gérard Ancel jette l'éponge », sur leparisien.fr,
  34. « Alain Duigou succède à Gérard Ancel », sur leparisien.fr,
  35. Franck Gineste, « Le FC Versailles en état de crise », sur leparisien.fr,
  36. « Voisin : Un coup de projecteur », sur leparisien.fr,
  37. Cyril Graziani, « Versailles sauve sa tête », sur leparisien.fr,
  38. « DH Paris - 2005 » (version du 21 juillet 2013 sur l'Internet Archive), sur footballenfrance.fr
  39. « Sept candidats, un prétendant », sur leparisien.fr,
  40. « Football Club de Versailles 78 en DHR ! », sur yvelinesradio.com,
  41. « Thierry Henry fait des heureux à Versailles », sur yvelinesradio.com,
  42. Emmanuel Bojan, « Versailles, place au soleil », L'Équipe, samedi 12 décembre 2009, no 20244, page 7.
  43. « Coupe de France : Versailles dans la légende », sur leparisien.fr,
  44. Emmanuel Bojan, « Versailles, c'est royal », L'Équipe, dimanche 13 décembre 2009, no 20245, page 11.
  45. Laurent Mansart, « La parenthèse est refermée », Le Parisien, édition des Yvelines, mardi 12 janvier 2010, no 20323, page VII du cahier central.
  46. Laurent Mansart, « Versailles, cinq ans après », Le Parisien, édition des Yvelines, lundi 7 juin 2010, no 20446, page VII du cahier central.
  47. « DH Paris - 2011 » (version du 4 juin 2012 sur l'Internet Archive), sur footballenfrance.fr
  48. « David Giguet, nouvel entraîneur de Versailles (DH) », sur actu.fr,
  49. « Pottier, de l'ACBB à la Slovaquie », sur leparisien.fr, (consulté le )
  50. Cyrille Legendre, « Le sacre de Versailles ! », sur paris-idf.fff.fr, (consulté le )
  51. Arnaud Detout, « Coupe de France : Versailles a craqué contre Lens », sur leparisien.fr, (consulté le )
  52. « Coupe de France : Nantes, Caen, le Paris FC et Granville qualifiés pour les 16es de finale », sur L'Équipe (consulté le )
  53. Cyrille Legendre, « Youssef Chibhi : Versailles va retrouver son statut », sur paris-idf.fff.fr,
  54. « Les meilleures attaques et défenses de National 3 cette saison », sur actufoot.com,
  55. « FC Versailles 78 », sur statfootballclubfrance.fr
  56. « Effectif 2020-2021 », sur fcversailles78.com
  57. « Le scandale des terrains de sports à Versailles », Le Populaire, no 4343, , p. 4 (lire en ligne)
  58. « Un terrain étroit, bosselé : celui de l'Entente Versaillaise où évoluent 11 équipes ! », L'Auto, no 14991, (lire en ligne)
  59. Jean Courtenay, « Versailles rajeunit », Le Journal, no 17696, , p. 1 (lire en ligne)
  60. « Infrastructures », sur fcversailles78.com
  61. « Le FC Versailles 78 couronné par la FFF », sur actufoot.com,
  62. « Staff », sur fcversailles78.com
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