Filles de la Vierge (Benebikira)

Les Filles de la Vierge (Benebikira en Kinyarwanda) forment une congrégation religieuse féminine enseignante et hospitalière de droit pontifical. C'est le 1er institut religieux autochtone féminin du Rwanda[1].

Filles de la Vierge
Ordre de droit pontifical
Approbation pontificale 25 juin 1935
par Pie XI
Institut congrégation religieuse
Type apostolique
But formation des catéchumènes, enseignement,
soins des malades et des personnes âgées
Structure et histoire
Fondation 25 mars 1919
Rwaza
Fondateur Jean-Joseph Hirth
Abréviation B.B
Site web site internet
Liste des ordres religieux

Historique

L'institut est fondé le 25 mars 1919 par Jean-Joseph Hirth (1854-1931) vicaire apostolique du Kivu et membre des missionnaires d'Afrique, avec l'aide des sœurs missionnaires de Notre-Dame d'Afrique, dans le but de créer une congrégation religieuse autochtone[2].

le 25 juin 1935, le successeur de Hirth, Léon-Paul Classe, obtient l'autorisation de la congrégation pour la propagation de la foi, au nom du pape Pie XI, d'élever la pieuse union en congrégation religieuse[3].

Le 24 janvier 1953, les sœurs benebikira élisent leur première supérieure, devenant définitivement indépendantes des sœurs de Notre-Dame d'Afrique[2].

Activités et diffusion

Les Filles de la Vierge se consacrent à la formation des catéchumènes et à la préparation des enfants aux sacrements, à l'enseignement, à la gestion de jardins d'enfants, de maison de retraite et de dispensaires.

Elles sont présentes au Rwanda, Burundi, République démocratique du Congo, Kenya et Ouganda[4].

La maison-mère est à Butare au Rwanda.

En 2017, la congrégation comptait 382 sœurs dans 60 maisons[5].

Notes et références

(it) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en italien intitulé « Suore figlie della Vergine » (voir la liste des auteurs).
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