Ervillers

Ervillers est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Ervillers

Le centre de la commune.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes du Sud-Artois
Maire
Mandat
Philippe Lefort
2020-2026
Code postal 62121
Code commune 62306
Démographie
Population
municipale
396 hab. (2018 )
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 09′ 42″ nord, 2° 49′ 28″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 115 m
Superficie 7,13 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Arras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bapaume
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Ervillers
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Ervillers
Géolocalisation sur la carte : France
Ervillers
Géolocalisation sur la carte : France
Ervillers

    Géographie

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Ervillers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94,6 %), zones urbanisées (5,4 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Iriviler (1119), Hirvileir (1135), Hirviler (1139), Ierviler (1154)[8].

    Histoire

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    On a trouvé fréquemment des fossiles à Ervillers, notamment des dents d'éléphant, mais aussi des objets romains, des monnaies, des vases, des squelettes, et des restes de construction. Ces éléments témoignent qu'Ervillers était déjà habité à l'époque romaine, en particulier au lieudit « Capieau ».

    La paroisse existait déjà au XIIe siècle.

    La seigneurie vicomtière d'Ervillers a appartenu aux familles La Viéville, Lalaing, d'Egmont, Luxembourg, et Diesbach Belleroche. Le titre de vicomte d'Ervillers est demeuré dans la famille suisse de Diesbach Belleroche.

    Le 28 août 1654, Ervillers eut la visite de Louis XIV et de la Reine-mère qui y prirent une collation alors qu'ils se rendaient de Péronne à Arras dont le siège avait été levé. Leurs majestés y avaient été rejointes par le Maréchal de Turenne

    Ervillers compte aussi plusieurs souterrains refuges. C'était probablement d'anciennes carrières qui ont été transformées en « muches ». L'un de ces souterrains se situait à environ 20 mètres sous terre et comptait 9 chambres, un couloir, une étable, et une bergerie. Des puits assuraient l'aération et permettaient l'alimentation en eau.

    Lors de la guerre franco-allemande de 1870, en décembre, les Prussiens pillent le village. Ervillers est aussi le théâtre d'opérations lors de la bataille de Bapaume (1871) .

    Texte tiré des registres paroissiaux concernant la bénédiction d'une croix et de fragments de la Sainte Croix (année 1738)

    François de Baglion Delasalle par la grâce de Dieu et du Saint-Siège apostolique évêque d'Arras nous avons « commis » commettons le sieur Docminy curé de Saint-Étienne de la ville d'Arras pour faire la cérémonie de la bénédiction d'une croix à Ervillers suivant le rite ordinaire de l'église dans laquelle il posera reliquaire de cristal contenant du bois de la rouge croix dont il enverra acte au secrétariat de notre évêché donné d'Arras sous notre seing, le second en nos armes, et le contreseing de notre secrétaire le 5 mai 1738. Étois signé François évêque d'Arras, plus bas par Mgr Fleus Secrétaire avec paraphe.

    L'an de Notre-Seigneur 1738 le 18 mai nous prêtre-curé de la paroisse de Saint-Étienne de cette ville d'Arras en vertu de la commission de l'autre part, nous nous sommes transporté au village d’Ervillers, où étant maître Jean-Baptiste Thibault prêtre curé dudit lieu nous a présenté une petite boëte de bois quarré, que nous avons ouvert et dans laquelle nous avons trouvé une petite croix de cristal ornée à l'entour de filigrane d'argent doré, liée de fil de soie rouge à laquelle était pendant le sceau de Mgr François de Baglion Delasalle évêque d'Arras [de 1725 à 1752] et dans ladite boîte nous avons trouvé pareillement les lettres authentiques par lesquelles il nous a confié que dans la petite croix de cristal de ci-dessus y étaient enfermé des particules du bois de la très Sainte-Croix de messire Notre Seigneur Jésus. Adressé du feu sieur Bernard Mullet prêtre du diocèse d'Arras et chanoine de saint Amé de Douai, donné au dit sieur Thibault par le sieur Jean-Baptiste Mullet frère du précédent, lesdites lettres datées de Rome hors la porte de Saint-Jean le 17 septembre 1715 signé Valérien évêque de Ferentin avec le sceau dudit seigneur évêque et de plus bas du l'approbation de Mgr évêque d'Arras et la permission d'exposer ladite relique à la vénération des fidèles en date du 11 février 1732 scellé du sceau et du seing de Mgr évêque que nous avons trouvé sains et envers et sur le champ ledit messire Jean-Baptiste Thibaut nous a présenté une grande croix de bois orné en différents endroits d'argent que nous avons béni et nous a requis de placer ladite croix de cristal ci-dessus avec les particules du bois de la très Sainte-Croix de messire J.-C. y enfermées dans la boîte grande croix de bois nous en vertu de la commission de l'autre part avons placé la susdite petite croix de cristal décemment dans le milieu de la grande croix fermée de côté et d'autre part des « brissaux » à ne pouvoir ouvrir que par main d'ouvriers et avons placé les lettres authentiques au côté droit de ladite croix de bois au-dessus des bras en présence de Me Nicolas Dupuis de serviteur dudit Ervillers, de M. François Joseph de la charité de Grévillers et plus leurs paroissiens dudit lieu qui ont signé avec nous ce présent acte les jour, mois et an susdit était signé M. Dupuis serviteur d’Ervillers, Thibaut curé d’Ervillers de la charité de « Groville ou Grévillers » le baron Laurent Proyant, Jean-Philippe Leleu, Pierre Ignace [Vemg ?], François Gay, Clément Delaine, Charles Robert Magnier, et Docminy curé de Saint-Étienne d'Arras avec paraphe. Nous prêtre curé de la paroisse de Saint-Étienne d'Arras certifions les extraits ci-dessus conformes aux originaux que nous remettrons au secrétaire de l'évêché d'Arras.

    Fait au dit Ervillers le 18 mai 1738, Docminy curé de Saint-Étienne d'Arras[9].

    Les BMS d'Ervillers débutent en 1737.

    Politique et administration

    Ervillers dans son canton et dans l'arrondissement d'Arras.
    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
      fin 2001[10] Germain Marquis   Décédé en fonction
    janvier 2002 13 septembre 2008[10] Jean-Louis Lebrun DVD Décédé en fonction
    décembre 2008[11] En cours
    (au 11 janvier 2015)
    Philippe Lefort DVD Retraité du secteur technico-commercial
    Réélu pour le mandat 2014-2020[12],[13],[14]

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[16].

    En 2018, la commune comptait 396 habitants[Note 3], en diminution de 1,49 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    602475508655751696768764784
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    802836828838810818774822827
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    819716711425486449444404427
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    402398386390434449407397406
    2018 - - - - - - - -
    396--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22,2 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,8 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,6 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 47,4 % d'hommes (0 à 14 ans = 16 %, 15 à 29 ans = 16 %, 30 à 44 ans = 21,8 %, 45 à 59 ans = 27,7 %, plus de 60 ans = 18,6 %) ;
    • 52,6 % de femmes (0 à 14 ans = 15,8 %, 15 à 29 ans = 19,1 %, 30 à 44 ans = 17,7 %, 45 à 59 ans = 22 %, plus de 60 ans = 25,4 %).
    Pyramide des âges à Ervillers en 2007 en pourcentage[19]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    0,5 
    9,0 
    75 à 89 ans
    11,0 
    9,6 
    60 à 74 ans
    13,9 
    27,7 
    45 à 59 ans
    22,0 
    21,8 
    30 à 44 ans
    17,7 
    16,0 
    15 à 29 ans
    19,1 
    16,0 
    0 à 14 ans
    15,8 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2007 en pourcentage[20]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    5,1 
    75 à 89 ans
    9,1 
    11,1 
    60 à 74 ans
    12,9 
    21,0 
    45 à 59 ans
    20,1 
    20,9 
    30 à 44 ans
    19,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Martin.

    Dédiée à saint Martin, l'ancienne église datant du XVIe siècle comportait trois nefs et était flanquée de quatre tourelles aux angles. Le clocher était une tour carrée fortifiée de quatre piliers et surmontée d'une flèche en bois avec quatre clochetons. Autour du monument à l'extérieur figuraient les armoiries des vicomtes d'Ervillers : Lalaing, Egmont et Diesbach. Sur le porche figurait les armoiries d'un chevalier de la Toison d'Or qui pourraient appartenir à Procope François (1664-1707), comte d'Egmont, prince de Gavre, fait chevalier de l'ordre de la Toison d'Or en 1706 par Philippe V. Détruite en 1917, elle a été reconstruite après la Première Guerre mondiale.

    Personnalités liées à la commune

    Les seigneurs vicomtes d'Ervillers

    - En 1569, la seigneurie appartenait pour une partie à Philippe, comte de Lalaing, grand bailli de Hainaut. Une autre partie appartenait à la famille de Gomiécourt qui la conserva au moins jusqu'en 1748.

    - Marguerite de Lalaing (1574-1650) (fille de Philippe), comtesse de Lalaing, vicomtesse d'Ervillers, baronne d'Escornaix, épousa François, comte de Berlaymont, gouverneur du Luxembourg.

    - Marguerite (1594-1654), comtesse de Berlaymont (fille de François et Marguerite), vicomtesse d'Ervillers, comtesse de Berlaymont et baronne d'Escornaix, épousa 1°) Antoine de Lalaing (1588-1614), comte d'Hooschstrate, et 2°) Louis, comte d'Egmont (1600-1654), prince de Gavre.

    - 1701 : le prince d'Egmont, vicomte d'Ervillers.

    - 1757/1770 : prince d'Egmont-Pignatelli, vicomte d’Ervillers.

    - 1757 : Marie Thérèse Dominique, comtesse de Diesbach Belleroche, née de Mullet de La Lague, vicomtesse d'Ervillers (par acquisition d'une partie vers 1757 puis d'une autre par son mari Romain de Diesbach en 1772), née et baptisée à Arras le 31 mars 1713, décédée au château de La Poya à Fribourg et inhumée dans le caveau Diesbach de Givisiez le 24 juillet 1798, dame de Wanquetin, Achiet le Châtelain (Achiet-le-Petit), Achiet-le-Village (Achiet-le-Grand), Ervillers, etc. Elle épousa, à Arras par contrat du 3 décembre 1746 et religieusement à Achiet le Châtelain dit le Petit le 6 décembre 1746, François Joseph Romain, 1er comte et 3e baron de Diesbach Belleroche, né à Fribourg le 30 mars 1716, décédé au château d’Achiet le Châtelain le 9 août 1786 et inhumé dans l’église, seigneur de Cournillens et La Cour de Cugy, propriétaire du château de La Poya à Fribourg (1753), enseigne au régiment de Diesbach au service de France (1731), sous-lieutenant (1732), capitaine au régiment de Besenval (1734) puis au régiment de Diesbach (1738), major au régiment de Diesbach (1743), bourgeois de Fribourg (1749), lieutenant-colonel (1747), colonel au Régiment de Diesbach (1757), brigadier (15 août 1758), maréchal de camp (20 février 1761), gouverneur de Cassel (1762), colonel propriétaire du régiment de Diesbach (1764), lieutenant général des armées du Roy (1er mars 1780), chevalier (30 mars 1746), commandeur (1er janvier 1763) puis grand-croix (25 août 1779) de l’Ordre de St-Louis.

    - 1770 : François-Joseph Briois, premier président du Conseil d'Artois achète la plus grande partie de la seigneurie vicomtière d'Ervillers au prince d'Egmont-Pignatelli le 27 janvier 1770 puis la revend en 1772 à Romain de Diesbach Belleroche (ci-dessus).

    - 1798 : François Philippe Ladislas, 2e comte et 4e baron de Diesbach Belleroche, vicomte d'Ervillers, né à Arras le 5 octobre 1747, décédé à Saint-Germain-en-Laye le 10 mars 1822 et y inhumé, seigneur d'Achiet, Wanquetin, La Cour de Cugy, propriétaire du château de La Poya (1786), etc., fut sous-lieutenant au régiment de Diesbach (1764), bourgeois de Fribourg (1769), second-lieutenant (1770), des CC de Fribourg (1771-1798), aide-major (1778), major (1780), chevalier de Saint-Louis (1783), lieutenant-colonel (1783), colonel, colonel-propriétaire du régiment de Diesbach (1785-1792), otage-prisonnier au château de Chillon (1798), député au Grand-Conseil de Fribourg (1814-1817), puis lieutenant-général en France (1816).

    Héraldique

    Les armes du village se blasonnent ainsi :

    d'or à la fasce d'azur de trois chiens braques assis d'argent, accompagnée de six fermaux cousus du même, ordonnés trois en chef et trois en pointe.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur insee.fr (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre
    9. « Registres paroissiaux d'Ervillers, 1737-1789, 5 Mi R 306/1 (vues en ligne 10-11/373) », sur Archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).
    10. « Jean-Louis Lebrun, maire, est décédé subitement », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    11. Laurent Boucher, « Le bilan des maires à Ervillers - Philippe Lefort : « On a poursuivi l’entretien du patrimoine avec du bénévolat » : Entré à la mairie comme conseiller municipal en mars 2008, Philippe Lefort est devenu maire en décembre de la même année après le décès brutal de Jean-Louis Lebrun. Il dresse un bilan au bout de cinq ans de mandat. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    12. « Ervillers: Philippe Lefort, réélu pour un deuxième mandat », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    13. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    14. A. D. (CLP), « Ervillers (les projets des maires): « il faut absolument sécuriser la départementale 917 » : Philippe Lefort, 65 ans, est un retraité du secteur technico-commercial. Né dans son village, il est devenu maire en mars 2008 à la suite du décès du maire sortant Jean-Louis Lebrun. Il a été réélu en mars. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    19. « Évolution et structure de la population à Ervillers en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    20. « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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