El Karimia

El Karimia est située entre les communes d'Oued Fodda, Harchoun, Sendjas et Beni Bouateb ; sur l'oued Fodda à l'entrée des portes de fer où il pénètre dans le massif de l'Ouarsenis par des gorges où est construit le premier barrage ou «petit barrage».

Il y a aussi d’autres espaces administratifs comme la commune, la daïra, la police, les gendarmes, etc.

Le barrage de Beni Bouateb est appelé aussi barrage Steeg, du nom d’un des gouverneurs de l'Algérie française. La construction du barrage débute en 1926 et se termine en 1932[2].

Il est le premier des grands barrages construits en Algérie.^{[réf. souhaitée]}

Ce barrage est considéré comme une richesse car sa capacité de 225 millions de mètres carrés couvre la demande d’irrigation de 18 hectares sur la rive gauche de la vallée de Chlef.^{[Passage à actualiser]}

La commune de El Karimia contient de nombreux endroits publics tels que :

• la mosquée de l'émir Abdelkader.
• la mosquée de Ali Ibn Abi Taleb
• la mosquée d'El Massoudi.

[3]

• École Mohamed Belacen.
• École Ibn Badiss.
• École Ahmed Mekraz.
• CEM de Hassiba Ben Bouali.
• CEM de Nahdj El Djamhouria.
• CEM Chafaa Elarbi.
• CEM de Ali Elachachi.
• Lycée de Hassiba Ben Bouali.
• Lycée d'Eldjadida.

Cette commune était appelée anciennement Lamartine en l’honneur d’Alphonse Lamartine, politicien et poète français. ^{[réf. souhaitée]}

Cette commune a connu deux périodes historiques difficiles.

D’abord, du côté de l'armée coloniale ou elle fut maintes fois bombardée au napalm.

Sa population, perchée dans une montagne, faisait face au prestigieux^{[précision nécessaire]} Ouersanis, fief de l'armée de libération nationale,

Ensuite, durant la décennie noire où la population était forcée à l'exil par les groupes terroristes^{[Lesquels ?]} car pour ces derniers, elle représentait un passage vers les autres wilayas comme Tissemssilet, Ain Defla, Relizane, etc.

• Portail de l’Algérie