Eduardo Valfierno

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En 1932, le journaliste Karl Decker^[Lequel ?] a publié un article dans le Saturday Evening Post affirmant que Valfierno avait payé plusieurs hommes pour voler l'œuvre d'art du Louvre^{[Laquelle ?]}, dont l'employé du musée Vincenzo Peruggia. Le 21 août 1911, Peruggia cacha la Joconde sous son manteau et sortit tout simplement. Avant le cambriolage, Valfierno aurait chargé le restaurateur d'art et faussaire français Yves Chaudron de faire six copies de la Joconde. Les contrefaçons ont ensuite été expédiées dans le monde entier, les préparant pour les acheteurs qu'il avait alignés. Valfierno savait qu'une fois la Joconde volée, il serait plus difficile d'en faire passer des copies en contrebande. Après le cambriolage, les copies ont été livrées à leurs acheteurs, chacun pensant qu'ils avaient l'original qui avait été volé pour eux. Parce que Valfierno voulait vendre des contrefaçons, il n'avait besoin que de la Mona Lisa originale pour disparaître et n'a plus jamais contacté Peruggia après le crime^[Lequel ?]. Finalement, Peruggia a été surpris en train d'essayer de vendre le tableau. Il a été rendu au Louvre en 1913.^{[réf. nécessaire]}

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Peruggia a nié avoir jamais connu Valfierno autre qu'une rencontre fortuite au Louvre.

L'article de Decker est la seule source de cette histoire ou même de l'existence de Valfierno et Chaudron^{[source secondaire nécessaire]}. Il était célèbre pour avoir pris des libertés avec ses articles, et de nombreux faits et détails qu'il fournit dans l'article sont incorrects, notamment la taille et le poids de la Joconde et le type de bois sur lequel elle a été peinte^{[réf. nécessaire]}. Cela et le fait qu'un siècle plus tard aucune des copies présumées n'ait été retrouvée jette de sérieux doutes sur l'exactitude de l'histoire et l'existence d'Eduardo de Valfierno^{[source secondaire nécessaire]}.

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