Dorothée-Suzanne de Simmern

Dorothée-Suzanne de Simmern ( à Simmern à Weimar) était une princesse de l'électorat du Palatinat et par mariage duchesse de Saxe-Weimar.

Biographie

Dorothée-Suzanne était la fille de l'électeur palatin Frédéric III (1515-1576) de son mariage avec Marie de Brandebourg-Culmbach (1519-1567), fille du margrave Casimir de Brandebourg-Culmbach.

Elle a épousé le 15 juin 1560 à Heidelberg le duc Jean-Guillaume de Saxe-Weimar (1530-1573). Après leur mariage, le couple a vécu la plupart du temps à Weimar. Après la mort de son mari,  l'électeur Auguste, de Saxe a agi comme tuteur de ses enfants. Cette décision visait à isoler les enfants de l'influence politique et religieuse de leur mère. Elle a été dotée d'une nouvelle résidence à l'extérieur de Weimar, nommé Nouvelle Maison[1]. Le château rouge de Weimar a été bâti de 1574 à 1576. Elle l'a utilisé comme sa résidence après son achèvement[2] Son portail Renaissance est décoré avec une alliance blason de Dorothée-Suzanne et son mari.

En 1581, la duchesse écrivit à ses frères, Louis VI et Jean Casimir afin de marier son fils aîné avec une princesse de Wurtemberg[3].

Dorothée-Suzanne est morte en 1592, et a été enterrée dans l'église de Saint-Pierre et Paul à Weimar[4]; sa devise était: je Sais Que Mon Rédempteur est vivant[5].

Descendance

De son mariage, Dorothée-Suzanne eu les enfants suivants:

Ascendance

Bibliographie

  • Christoph Heinrich Gottlob: l'Histoire Saxonne, Volume 2, Weidmann, 1782, p. 146 ff.

Références

  1. Musées d'état de Berlin: restaurations d'Œuvres d'Art dans la République Démocratique allemande, de l'Association des Artistes de la RDA, 1979, p. 180
  2. http://www.dr-bernhard-peter.de/Heraldik/Galerien/galerie1101.htm
  3. Anne-Simone Knöfel: Dynastie et de Prestige: Le mariage de la politique de la Wettin, de la famille, Böhlau Verlag, Köln Weimar, 2009, p. 438 ff
  4. http://www.royaltyguide.nl/families/wittelsbach/pfalzsimmern1.htm
  5. Max Lobe: Appareils: slogans et des aphorismes, BiblioBazaar, LLC, 2009, p. 172
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