Divination

La divination est la pratique occulte et métaphysique visant à découvrir ce qui est inconnu : l'avenir, le caché, le passé, les trésors, les maladies invisibles, les secrets, les mystères, etc. et cela par des moyens non rationnels. Qu'il s'agisse de la parole oraculaire ou de la voyance, ceux qui la pratiquent auraient accès à une connaissance paranormale de données normalement inconnues telles que l'avenir (précognition) ou le caché (cryptesthésie)[1].

Chamane devineresse de Krasnoïarsk.

Elle utilise des arts divinatoires : procédés spontanés ou codifiés (oniromancie, lécanomancie), traditionnels (géomancie, Ifa, Yi Jing) ou modernes (runes), populaires (cartomancie) ou savants (astrologie indienne), partie intégrante d'une religion (oracle grec, rishi).

Depuis Posidonios et Cicéron (qui a traité du sujet dans son ouvrage De divinatione[2]), on distingue deux formes de divination : la voyance et la mantique, toutes deux étant des arts du pronostic, mais par des moyens différents. La voyance est naturelle, intuitive, spontanée, et la mantique inductive, analytique[3].

En anthropologie, on considère la divination comme répandue et variée. Il peut s'agir d'objets, consacrés ou non, mais il peut également s'agir de processus corporels, par exemple dans le rêve ou en possession de l'esprit. Si certains érudits ont compris la divination en termes de « pensée magique », elle n’est généralement pas associée à la magie en soi. C'est une compétence qui doit être apprise et sanctionnée, et / ou incarnée d'une manière ou d'une autre, par exemple avec des sensitifs ou des médiums[4].

Étymologie

Le mot divination vient du latin divinare, qui signifie « accomplir des choses divines ».

Le nom mantique (μαντικὴ τέχνη / mantikê tékhnê] désigne ce qui, dans la Grèce antique, est l'art de la divination[5].

Définitions

Die Wahrsagerin
Michail Alexandrowitsch Wrubel (1895)

Le dictionnaire Littré, positiviste, la définit ainsi : « Art chimérique de savoir et de prédire l'avenir par des sortilèges ou de fausses sciences, telles que l'astrologie, la chiromancie, l'interprétation des songes, etc. »[6].

Balzac, évoquant un de ses personnages, Étienne, en donne une explication moins prosaïque : « il avait trouvé de mystérieuses correspondances entre ses émotions et les mouvements de l'Océan. La divination des pensées de la matière dont l'avait doué sa science occulte, rendait ce phénomène plus éloquent pour lui que pour tout autre »[7].

La divination peut être définie comme la « faculté, portée à un haut degré, de deviner, de découvrir quelque chose que l'on ne sait pas, et que l'on cherche à connaître le plus souvent, par des voies diverses (intuition, perspicacité, observation, comparaison, interprétation, supposition, conjecture, etc.) mais en dehors de raisons démonstratives, en ayant cependant le sentiment d'être dans le vrai »[8]. En ce sens elle se réfère par exemple à la voyance.

Distinctions

Divination intuitive/inductive

« Deux augures ne peuvent se regarder sans rire », 1861

Platon observe l'art divinatoire dans ses deux grandes formes, soit divine et délirante, soit humaine et raisonnée (teknikê) :

« [Divination intuitive, délire mantique] La prophétesse de Delphes, les prêtresses de Dodone ont, et justement quand elles sont en proie au délire (mania), rendu à la Grèce nombre de beaux services... Si nous devions parler de la Sibylle, de tous ceux qui, usant d'une divination inspirée, ont donné à nombre de gens, par nombre de prédictions, la droite direction en vue de leur avenir, nous allongerions inutilement notre propos... [Divination raisonnée] À preuve encore est cet autre art, qui est un art des gens ayant leur bon sens et l'employant à scruter l'avenir au moyen des oiseaux et des autres signes, les Anciens considérant qu'au moyen de la réflexion on procure ainsi à la croyance des hommes sagacité et information... Le délire, au témoignage de l'Antiquité, est une chose plus belle que le bon sens : le délire qui vient d'un dieu, qu'un bon sens dont l'origine est humaine. »

 Phèdre, 244

Cicéron donne le texte canonique sur la distinction entre divination intuitive et divination inductive :

« Il y a deux sortes de divination, l'une relève d'un art qui a ses règles fixes, l'autre ne doit rien qu'à la nature. Mais quelle est la nation, quelle est la cité, dont la conduite n'a pas été influencée par les prédictions qu'autorisent l'examen des entrailles et l'interprétation raisonnée des prodiges ou celle des éclairs soudains, le vol et le cri des oiseaux, l'observation des astres, les sorts ? -- ce sont là, ou peu s'en faut, les procédés de l'art divinatoire -- quelle est celle que n'ont point émue les songes ou les inspirations prophétiques? -- on tient pour naturelles ces manifestations. Et j'estime qu'il faut considérer la façon dont les choses ont tourné plutôt que s'attacher à la recherche d'une explication. On ne peut méconnaître en effet l'existence d'une puissance naturelle annonciatrice de l'avenir, que de longues observations soient nécessaires pour comprendre ses avertissements ou qu'elle agisse en animant d'un souffle divin quelque homme doué à cet effet. »

 De la divination, I, 6

Divination naturelle/artificielle

Une autre opposition a son importance en matière de divination : est-ce que les signes sont naturels, spontanés ou artificiels, provoqués ? Un songe est naturel, mais battre les cartes est artificiel. H. Leclerc oppose les divini (devins), « qui font des prédictions au moyen de signes indépendants d'eux-mêmes et en dehors de leur volonté », et les sortilegi (faiseurs de sortilèges), qui opèrent « au moyen de signes qu'ils provoquent eux-mêmes »[9].

Divination licite/interdite

Une opposition, politique, juridique, sociale, revêt une importance vitale, celle du permis, du légal, du moral, ou non. Dès les Romains, il faut savoir si telle divination est licite ou pas, telle pratique divinatoire licite ou pas.

Histoire

En Chine, le Kouei tsang (Gui Zang), d’après la tradition, était le livre divinatoire des Yin[10]. La civilisation chinoise utilisait de nombreuses techniques de divination telles que l'achilléomancie, qui est à l'origine du Yi Jing.

La croyance des anciens Grecs en la possibilité de prédire l'avenir provient de l'idée que les dieux, de préférence quand on les priait, accordaient régulièrement des révélations par l'intermédiaire d'augures. Homère présente de grands voyants : Tirésias, Calchas, Cassandre. La Pythie de Delphes joue un rôle considérable dans la vie politique et religieuse. Dès Pythagore, les nombres servent à connaître le secret du monde. Artémidore de Daldis a laissé un traité sur la clef des songes demeuré classique : Onirocritique (IIe siècle).

Modèle pédagogique en argile d'un poumon d'agneau avec inscriptions de présages, utilisé par des prêtres spécialisés dans la divination sur les poumons et le foie (barû) pour l'enseigner à leurs élèves, Ninive (Assyrie), VIIe siècle av. J.-C.

Les croyances des Grecs furent partagées par les Romains et subsistèrent jusqu'à la fin du paganisme. Varron (Ier siècle av. J.-C.), le premier, et de façon trop systématique, distingue les divinations selon les Éléments : géomancie (Terre), hydromancie (Eau), aéromancie (Air), pyromancie (Feu). Toujours dans l'antiquité, en Grèce et à Rome, on utilisait les haruspices, prétendant lire l'avenir dans le comportement ou les entrailles des animaux (principalement le foie, voir hépatoscopie). Cette méthode de « prédiction » était d'un usage courant pour juger les crimes dans la Rome antique. L'auteur latin Cicéron, dans De divinatione, brosse autour de 44 av. J.-C. un tableau très complet des pratiques de son époque (augures, aruspices, astrologie, prophétie, oniromancie...) et se livre à une critique méthodique des arguments en faveur de la divination, sous forme d'un dialogue entre son frère Quintus et lui[11].

Avec le judaïsme, l'interdiction itérative apparaît dans la Bible hébraïque (Lév 19:26 (« ne vous livrez pas à la divination ni aux présages ») ; Deut 18:10-12 (« Qu'il ne se trouve personne, chez toi... qui pratique des enchantements, qui s'adonne aux augures, à la divination, à la magie ; qui emploie des charmes, qui ait recours aux évocations ou aux sortilèges ou qui interroge les morts. Car l'Éternel a horreur de quiconque fait pareilles choses ; et c'est à cause de telles abominations que l'Éternel, ton Dieu, dépossède ces peuples à ton profit ») ; I Sm 15:23, 28:3 ; Mi 5:11 ; Is 44:25 ; Jr 27:9...).

L'interdiction est reprise ensuite par le christianisme ; l'empereur romain Constance II, en 341, condamne à la peine capitale les devins, comme en 357 (« Nul ne doit avoir recours à un haruspice, à un astrologue, ni à un devin... Quiconque désobéira à ces ordres subira la peine capitale »)[12].

Le concile d'Agde, en 506, a regroupé dans la science divinatoire (divinationis scientia) les augures, les sorts, les songes[13]. L'évêque Isidore de Séville, dans ses Etymologies (VIII, 9) assimile divination et magie, et il énumère les spécialistes : haruspices (par les entrailles des victimes), augures (par les éclairs, les oiseaux), pythonisses, astrologues, jeteurs de sorts. Le IVe concile de Tolède, présidé par Isidore de Séville en 633, distingue quand même les magiciens des devins (aruspices, arioli, augures, sortilegi)[14].

Divination de Noël, K. Makovsky, v. 1905

Dès le Xe siècle ou dès le VIIIe avec Bède le Vénérable, la divination par pronostics, d'après le jour des calendes de janvier ou d'après le jour où tombe Noël. Il existe des pronostics d'après le jour du mois lunaire, indiquant quoi faire ou ne pas faire tel jour (astrologie hémérologique) ou quel est le destin et le caractère de la personne, homme ou femme, née ce jour-là (astrologie physiognomonique). Plus chrétiens sont les sortes sanctorum (les sorts des saints), livres comportant une liste de 56 réponses dont chacune est précédée de chiffres.

La physiognomonie se développe surtout avec Michel Scot (Physionomia, avant 1230), Pietro d'Abano (Liber compilationis phisionomie, 1295), Michel Savonarole (Speculum phisionomie, vers 1450) mais le grand auteur reste Johann Kaspar Lavater (La physiognomonie, 1775-1778).

Hugues de Saint-Victor, vers 1135, dans son Didascalicon, distingue cinq types de magie, dont deux divinations : la mantique, les mathématiques. La mantique regroupe la nécromancie, la géomancie, l'hydromancie, l'aéromancie, la pyromancie ; les mathématiques regroupent l'haruspicine, les augures, les horoscopes.

La géomancie, venue de chez les Arabes au XIIe siècle, et qui consiste à interpréter les figures formées de quatre échelons de points pairs ou impairs et placés dans des cases, commence avec Hugues de Santalla (Ars geomancie), se développe grâce à Pietro d'Abano à la fin du XIIIe siècle (Geomantia), à Gérard de Crémone (Géomancie astronomique). Un manuscrit arabe des 14e et 15e siècles, contenant des sections sur la divination, est le Kitab al-Bulhan[15].

En 1238, le concile de Trèves parle des procédés divinatoires, dont ceux du feu, du glaive[16].

Annonces publicitaires de plusieurs « somnambules », parues dans Le Petit Journal du 1er octobre 1894.

Rabelais (1532) fait pratiquer à son héros Panurge les sorts homériques et virgiliens (Pantagruel, III, chap. X et XII), l'oniromancie (chap. XIII).

En 1555, Nostradamus publie ses très célèbres Vraies centuries et prophéties.

Le pape Sixte V, en 1586, par la bulle Coeli et terrae condamne l'astrologie judiciaire, la géomancie, l'hydromancie (divination par l'eau), la pyromancie, l'onomancie (noms), la chiromancie et la nécromancie (morts)[17].

« La divination par la boule de cristal semble dater seulement du XVIe siècle » (Gérard Chandès)[réf. souhaitée].

L'usage du tarot dans la divination (taromancie et tarologie) semble commencer seulement à la fin du XVIIIe siècle (à partir d'Antoine Court de Gébelin, dans son Monde primitif, t. VIII, 1781). Cependant, l'emploi de cartes à jouer à des fins divinatoires (cartomancie) est jugé plus précoce, peut-être dès le XVe siècle en Espagne[18] et dès le XVIe siècle en Italie[19]. L'art de lire dans les taches d'encre (l'encromancie) commence tard, avec Luce Vidi (Les taches d'encre, 1937).

Pratiques

Fig. 2475 - Pyromanteia, Consultation par le feu à Delphes.

En Grèce, lorsque l'on se lançait dans des entreprises importantes, en particulier lors de la guerre, on pratiquait la divination au moyen de sacrifices d'animaux comme des moutons. Le point prioritaire était la nature normale ou anormale des viscères, en particulier du foie, avec la vésicule biliaire et aussi le cœur et les poumons. De ces examens pouvaient résulter la décision de différer une attaque ou la mobilisation d'une armée mais parfois, l'expérience était répétée jusqu'à ce qu'elle donne des résultats favorables aux projets des décideurs. Entrait en compte également la manière dont les animaux étaient allés docilement vers la table de sacrifice, comme aussi la manière dont avait brûlé le sacrifice sur l'autel, le comportement de la flamme, la montée ou la descente de la fumée, etc. Les présages - pouvant également être appelés « augures » par extension - sont lus par les devins. Les devins, pour prendre les présages, se tournaient vers le nord, de manière à avoir l'orient à droite et l'occident à gauche ; si le vol, l'animal ou l'éclair passait à droite de l'observateur (en latin dexter), les dieux étaient favorables ; s'il passait à sa gauche, (en latin sinister, qui a donné le mot « sinistre »), les dieux étaient défavorables.

Fig. 2479 - Klêromanteía Divination par les sorts en présence d'Athéna Skiras - en l'occurrence, jet de pierres.

Il y avait effectivement une tendance générale à considérer tous événements frappants et inhabituels comme une indication des dieux ; il y avait d'autres variantes de cet art dont quelques-unes très étranges furent, plus tard, vulgarisées. Ainsi en est-il de la chiromancie mentionnée par Aristote et de la croyance à l'inspiration divine dans les rêves mentionnée entre autres par Plutarque, croyance très ancienne mais qui chez les Grecs fut progressivement codifiée. Le pouvoir de voir plus ou moins clairement la signification d'un rêve en situation d'éveil a été considéré par les Grecs comme un don spécial d'Apollon.

La cléromancie [κληρομαντεία / klèromanteia], quant à elle, tirait parti d'un mouvement déclenché par l'homme et dirigé par le hasard, lequel était censé traduire une volonté divine. Ainsi peut-on voir, sur une coupe de Douris, des guerriers recourir, en présence de la déesse Athéna, à une « lithobolie », littéralement « jet de pierres » en guise de divination[20]; les dés ont été utilisés pour les pronostics[21].

Fig. 2470 - Présage tiré du vol d'un oiseau (ornithomanteía).

Depuis l'aube des temps, les augures se sont préoccupés du vol des oiseaux ; les oiseaux les plus observés étaient les rapaces : aigles, vautours, faucons.

Les phénomènes célestes aussi étaient considérés comme pouvant avoir une valeur prémonitoire. À Sparte, on croyait que les étoiles filantes montraient le mécontentement des dieux au sujet des rois spartiates.

Théories

La première théorie célèbre est celle de Platon, qui explique la divination, du moins celle qui est intuitive, inspirée, par le « délire » (mania), l'inspiration divine, cela dans le Phèdre. Plutarque critique et relativise : selon lui, croire qu'un dieu entre dans le corps des devins ou dans celui des ventriloques, appelés autrefois « Euryçlès » et de son temps « Pythons » se serve de la voix, et de leur bouche pour rendre ses oracles[22]. Les stoïciens développent une théorie panpsychiste, panthéiste. 1) Le monde est un tout traversé par un Souffle, un organisme traversé par le Logos, le Feu, l'Esprit. Tout est en sympathie avec tout. 2) Le Tout est régi par le Destin, « qui est une chaîne de causes ». Ce Destin est aussi Providence.

« Les stoïciens démontrent que la connaissance de l'avenir est possible... Les dieux sont, donc ils nous communiquent l'avenir. Et s'ils nous le communiquent, ils ne peuvent pas ne pas nous donner quelques moyens pour fonder une science pour le comprendre (sinon cette communication serait inutile), et s'ils nous donnent ces moyens il ne peut pas ne pas y avoir une science de la divination. Il y a donc une science de la divination. C'est là l'argument qu'utilisent Chrysippe, Diogène et Antipatros »

 Cicéron, De la divination, I, chap. 38

La théorie la plus répandue chez les théologiens chrétiens est la théorie démonologique. Tout ou partie de la divination est expliqué par les démons, un pacte avec le Diable (saint Augustin, De la doctrine chrétienne, II), des invocations d'esprits mauvais. Saint Augustin parle de pacte avec les démons (De la doctrine chrétienne, II, chap. 24). Même tard, on retrouve cette explication.

Pour Jean Bodin, à la fin du XVIe siècle, la rhabdomancie et les incantations, « tout cela ne vaut rien » et ces choses « ne se peuvent faire sans l'assistance de Satan » (Démonomancie, II, 1, p. 170).

Notes et références

  1. Pierre A. Riffard, Dictionnaire de l'ésotérisme, Payot, 1983, p. 106.
  2. De divinatione, Marcus Tullius Cicero, F. l'Honoré & fils, 1741.
  3. Pierre A. Riffard, Nouveau dictionnaire de l'ésotérisme, Payot, , p. 81.
  4. (en) Diana Espírito Santo, « Divination », Cambridge Encyclopedia of Anthropology, (lire en ligne, consulté le )
  5. Seyffert, Dictionary of Classical Antiquities, Londres, 1894, p. 374-375.
  6. Littré, Dictionnaire de la langue française, 1863-1872.
  7. L'Enfant maudit, 1836, p. 386.
  8. Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales.
  9. H. Leclerc, Histoire des Conciles, t. III, 2, p. 839.
  10. Marcel Granet, La pensée chinoise, édition numérique, (lire en ligne), p. 175.
  11. Cicéron (traduction de Jos.-Vict. Le Clerc), De divinatione, Œuvres complètes de M. T. Cicéron, tome 31, Werdet et Lequien fils, 1826 .
  12. Theodosius II, Constantius II, « Codex Theodosianus [9.16.4] : Code Théodosien », sur www.cn-telma.fr (consulté le )
  13. Mansi, Amplissima collectio conciliorum, t. VIII, col. 332.
  14. Mansi, Amplissima collectio conciliorum, 1901-1927, t. X, col. 627.
  15. (en) « Kitab al-Bulhan or Book of Wonders (late 14thC.) », sur Public Domain Review (consulté le )
  16. Mansi, Amplissima collection conciliorum, 1901-1927, t. XXIII, col. 483.
  17. Magnum Bullarium Romanum (M.B.R.), Luxembourg, 1742, t. II, p. 555.
  18. Spanish single trump game sur Ludus Triomphorum par Ross G. Caldwell.
  19. Pic de la Mirandole dans De rerum praenotione : sortium..in figuris chartaceo ludo pictis.
  20. Dictionnaire des Antiquités grecques et romaines, de Daremberg et Saglio, article de A. Bouché-Leclercq, Paris, 1892 p. 301.
  21. Version en ligne du dictionnaire Daremberg-Saglio, Université de Toulouse - Le Mirail.
  22. Sur les sanctuaires dont les oracles ont cessé (9).

Bibliographie

  • R. Alleau (dir.), Encyclopédie de la divination, Tchou, 1965, 549 p.
  • Divination et Rationalité / J.-P. Vernant, L. Vandermeersch, J. Gernet, J. Bottéro (etc.), Ed. du Seuil, 1974
  • Auguste Bouché-Leclercq, Histoire de la divination dans l'Antiquité : Divination hellénique et Divination italique, Paris, Jérôme Millon, , 1 p. (ISBN 978-2-84137-127-3, présentation en ligne)
  • Édouard Brasey, Stéphanie Brasey, Traité des arts divinatoires, 2012.
  • A. Caquot et M. Leibovici, La divination, PUF, 1968, 2 vol.
  • Jacqueline Champeaux, « "Sorts" antiques et médiévaux : les lettres et les chiffres », in Au miroir de la culture antique. Mélanges offerts au président René Marache, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 1992.
  • Daremberg et Saglio (éds.), Dictionnaire des Antiquités grecques et romaines, articles de A. Bouché-Leclercq, Paris, 1877-1919, Hachette, 10 vol.
  • Serge Dufoulon, Femmes de parole. Une ethnologie de la voyance, Paris, éd. Métailié, 1997, 308 p. (ISBN 2-86424-234-6)
  • Serge Dufoulon, « Le prix de la voyance » Revue du MAUSS, no 10, 2e semestre 1997, p. 290-307.
  • Robert Flacelière, Devins et oracles grecs, PUF, coll. « Que sais-je ? », 1961, 128 p.
  • Georges Minois, Histoire de l'avenir, 1996.
  • Jean Servier (dir.), Dictionnaire critique de l'ésotérisme, PUF, 1998, p. 410-434.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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