Dilara Aliyeva
Dilyara Alakbar qizi Aliyeva (azéri : Dilarə Əliyeva) ( à Tbilissi - à Qakh) était une philologue azerbaïdjanaise, traductrice, activiste des droits des femmes et membre du Conseil suprême de l’Azerbaïdjan en 1990-1991.
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Biographie
Dilyara Aliyeva est née dans la famille d'un forgeron à Tbilissi, en Géorgie.
Dilyara Aliyeva a fait ses études secondaires dans une école locale azérie. Elle a fait des études orientales à l'Université d'État de Bakou. Après avoir obtenu son baccalauréat, elle a été admise à un programme d'études supérieures à l'Institut de langue et de littérature Nizami de l'Académie nationale des sciences de la République d'Azerbaïdjan; elle a ensuite étudié à l'Institut de littérature Rustaveli de l'Académie nationale des sciences de Géorgie.
Dilyara Aliyeva a ensuite occupé divers postes au sein de l'Institut Nizami, étudiant la réception littéraire du poète médiéval Nizami et l'histoire comparée des littératures azérie et géorgienne. En 1988, elle a obtenu son doctorat en philologie et a rejoint le Front populaire d'Azerbaïdjan, dont elle est rapidement devenue l’un des dirigeants[1].
Dilara Aliyeva a fondé l'Association azerbaïdjanaise pour la protection des droits des femmes. Elle est décédée le dans un accident de voiture à la frontière entre la Géorgie et l'Azerbaïdjan et a été enterrée à Bakou[2]. Une rue de Bakou et l'association fondée par Dilyara Aliyeva portent son nom[3].
Références
- (az) Historical Personalities: Dilyara Sharipova. Parlaq.net
- (en) Joshua Cohen, ATTENTION : Dispatches from a Land of Distraction, Random House Publishing Group, , 576 p. (ISBN 978-0-399-59022-1, lire en ligne)
- Khalilova, Konul. A Limited Legacy. OneWomen.
Liens externes
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