Dan Philips
Dan Philip ou Dan Philips né en 1939 à Sainte-Lucie, est président de la Ligue des Noirs du Québec.
Pour les articles homonymes, voir Philip et Philips (homonymie).
Chronologie
Il arrive au Québec et s'installe à Montréal[1] en 1972.
En 1974, il obtint un diplôme en éducation au collège Rhodes et devient entrepreneur en rénovation et en construction à la compagnie Dancor.
La même année, il devient membre de la Black Coalition of Canada et du Conseil de la communauté noire du Québec.
Il est secrétaire-trésorier à la FTQ entre 1977 et 1980.
En 1979, il obtient un diplôme en sciences politiques de l’Université Concordia et rejoint la Ligue des Noirs du Québec a la fin des années 1970,
En 1992, le journal à sensation Photo Police nomme Dan Philips le trou de cul de la semaine[2].
EN 1998, il réclame la censure du monologue Nigger Black d’Yvon Deschamps.
C'est en 2000 qu'il obtient le Prix Rosa Parks de la Commission des droits de la personne.
En 2001, il obtient le prix du bénévole de l’année au Québec.
En 2004, il soutient François Rebello candidat du Bloc québécois dans Outremont[3].
En 2005, la Ligue des Noirs du Québec porte plainte au CRTC et au Collège des médecins contre le psychiatre Pierre Mailloux[4].
Il donne son appui au Bloc québécois[5] en 2006 puis diffuse la vidéo du viol collectif présumé d'une jeune femme, dans le but de critiquer la partialité de l'enquête policière[6] dans une conférence de presse.
Notes et références
- (fr) Frédéric Denoncourt , « Dan Philip : une lutte à finir contre la discrimination raciale », Tolérance.ca
- (fr) Marie McAndrew et Maryse Potvin , « Le racisme dans les médias », Réseau Éducation-Médias
- (fr) Guillaume Bourgault-Côté , « Dan Philips se tourne vers le Bloc », Le Devoir, 7 juin 2004
- http://archive.wikiwix.com/cache/index2.php?url=https%3A%2F%2Fwww.ledevoir.com%2F2005%2F09%2F28%2F91372.html
- (fr) « Denis Coderre malmené », Radio-Canada,6 janvier 2006
- (fr) presse canadienne , « Viol collectif - Dan Philip admet avoir dérapé et pourrait démissionner », Le Devoir, 9 août 2006
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