Convention sur la conservation de la faune et la flore marines de l'Antarctique

La Convention sur la conservation de la faune et la flore marines de l'Antarctique (Convention on the Conservation of Antarctic Marine Living Resources en anglais, communément appelée CCAMLR que l'on prononce « kammelar »[1]) est entrée en vigueur en 1982, dans le cadre du Système du traité sur l'Antarctique, en vertu de l'Article IX du Traité.

Objectif de la Convention

La convention a pour objectif la conservation des ressources marines vivantes de l'Antarctique[2]. Elle couvre une très grande zone qui comprend l'océan austral (voir carte).

Fonctionnement

Une Commission, définie par la Convention, gère les ressources marines vivantes de la région ; son siège est situé en Australie à Hobart (Tasmanie). Elle dispose d'un secrétariat et d'un comité scientifique.

États parties à la convention

32 États sont parties à la CCAMLR : Argentine, Australie, Belgique, Brésil, Chili, Communauté européenne, France, Allemagne, Inde, Italie, Japon, République de Corée, Namibie, Nouvelle-Zélande, Norvège, Pologne, Fédération de Russie, Afrique du Sud, Espagne, Suède, Ukraine, Uruguay, Royaume-Uni, États-Unis, Bulgarie, Canada, Finlande, Grèce, Maurice, Pays-Bas, Pérou, Vanuatu.

28 d'entre eux (indiqués en italiques) sont membres de la commission.

Liens externes

Notes et références

  1. Sur le site officiel. Consulté le 15 septembre 2010.
  2. dont le krill et les poissons s'en nourrissant.
  • Portail du monde maritime
  • Portail du droit
  • Portail de l’Antarctique
  • Portail des relations internationales
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.