Convention internationale OSPAR
La Convention pour la protection du milieu marin de l'Atlantique du Nord-Est ou Convention OSPAR (OSPAR pour « Oslo-Paris ») définit les modalités de la coopération internationale pour la protection du milieu marin de l'Atlantique du nord-est. Elle est entrée en vigueur le , et remplace les Conventions d'Oslo et de Paris.
OSPAR intègre un groupe « biodiversité » qui a notamment travaillé sur le problème des séquelles maritimes de guerre, et en particulier les problèmes posés par les nombreux sites de munitions immergées. Il a aussi fixé pour les parties prenantes un objectif pour 2010 qui est l'établissement d'un « réseau cohérent d'aires marines protégées » (AMP).
Parties contractantes
Sont parties à la convention OSPAR :
Munitions en mer
En France, SECOIA est chargé de détruire les anciennes munitions. La plupart d'entre elles ont été immergées.
Rejets en mer
Radioélements
Selon l'association pour le contrôle de la radioactivité dans l'Ouest, si les rejets en tritium et en iode 129 de l'usine de la Hague dans le Raz Blanchard ne baissent pas significativement, l'objectif de voir les concentrations en radioéléments tendre vers zéro dans l’Atlantique Nord d’ici 2020 sera difficilement tenable [1].
Notes et références
- Les rejets de substances radioactives en mer site web acro.eu.org
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- (fr) [PDF] Texte de la Convention OSPAR
- (fr) (en) Site de la Commission OSPAR
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