Conseil de presse du Québec
Le Conseil de presse du Québec (CPQ), fondé en 1973, cherche à défendre la liberté de presse et le droit à l'information au Québec. Le conseil est un organisme privé qui ne relève pas du gouvernement québécois.
Pour les articles homonymes, voir CPQ.
Le Conseil de presse agit comme tribunal d'honneur des médias québécois et entend les plaintes de citoyens à leur encontre. Ses décisions sont publiques mais ne sont pas restrictives.
Il est financé à 60 % par les médias qui en sont membres.
Histoire
Le Conseil est établi à Montréal depuis 1997.
En mai 2009, son président et son vice-président ont remis leur démission à la suite de conflits avec les groupes représentés[1].
Le fonds d'archives du Conseil de presse du Québec est conservé au centre d'archives de Montréal de Bibliothèque et Archives nationales du Québec[2].
Constitution
- Assemblée
- Conseil d'administration
- Bureau de la direction
Il y a 22 membres dans le conseil d'administration. Les membres sont issus de la profession journalistique, du public et des entreprises de presse.
Le conseil peut juger les plaintes de journalistes qui se sentent lésés dans leur liberté d'expression et rendre une décision morale.
Notes et références
- Paul Cauchon, « La crise s'aggrave au Conseil de presse du Québec », Le Devoir, (lire en ligne, consulté le )
- Fonds Conseil de presse du Québec (P711) - Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ).