Colette Tshomba Ntundu
Colette Tshomba Ntundu est une figure médiatique et politique de la République Démocratique du Congo.
Colette Tshomba Ntundu | |
Fonctions | |
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vice-ministre chargée des Congolais de l’étranger | |
En fonction depuis le | |
Président | Joseph Kabila |
Premier ministre | Antoine Gizenga |
Gouvernement | gouvernement Gizenga |
Biographie | |
Nom de naissance | Colette Tshomba Ntundu |
Nationalité | Congolaise |
Parti politique | Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) |
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Biographie
Enfance, formation débuts
Colette Tshomba Ntundu est originaire de la province du Lomami et réside à Kinshasa. Elle est diplômée en sciences de l'information et de la communication. Après une carrière dans le journalisme, elle fonde le journal UHURU en 2002 et le magazine AWA en 2004.
Civile
Colette Tshomba Ntundu, est au début de sa carrière speakerine pour la télévision nationale Zaïroise (OZRT) ensuite présentatrice du journal télé.
Elle est chercheure/enseignante à l'institut facultaire des sciences de l'information et de la communication[Où ?].
Politique
En 2004 elle se lance en politique. Elle est élue à quatre reprises députée nationale.
Elle est membre du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) un des parti politique majeure de la République démocratique du Congo. Elle fait campagne aux élections présidentielles de 2006 et 2011 en faveur de l'ex président de la république Joseph Kabila et en 2018 elle fait campagne en faveur d'Emmanuel Shadary pour la Présidence de la république.
Colette Tshomba Ntundu a été élue députée nationale de la circonscription de la FUNA (Kinshasa-2), sur la liste des Forces du renouveau (2006).
Elle fut nommée vice-ministre chargée des Congolais de l’étranger (Ministère en charge de la diaspora) dans le gouvernement Gizenga du elle sera en fonction jusqu'au gouvernement Muzito en 2010.
Suite aux actions de mobilisation qu'elle mène, la Maison des Congolais de l'étranger et des Migrants (MCDEM) est créée en février 2009[1], des établissements de fonds de solidarité pour Congolais sont ouverts dans plusieurs pays africains[2], et des prestations d'assurances santé et obsèques sont mises en place avec la Sonas[3]. En 2007, elle ne s'oppose cependant pas à l'expulsion par les autorités françaises de quelque 6 000 Congolais[4].
Vie privée
Colette Tshomba est la fille ainée de Jean Marie Tshomba (décédé[Quand ?]) et de Kaseka Kayembe. Elle est sœur, de par sa mère, avec le célèbre[Quoi ?] chroniqueur culturel congolais et ancien Député National Serge Kayembe Mwadianvita; et par son père avec le chirurgien italien Yamume Tshomba du centre hospitalier universitaire Gemelli à Rome.
Colette Tshomba est mère de trois enfants.
Notes et références
- « La Maison des Congolais de l’étranger a soufflé sur sa première bougie », sur Digitalcongo.net,
- Saint Augustin Kinienzi, « Congo-Brazzaville: Colette Tshomba crée un Fonds de solidarité pour Congolais de Pointe-Noire », sur Allafrica.com,
- Freddy Mulumba Kabuayi, « Colette Tshomba Ntundu : « La diaspora est considérée comme la douzième province de la RDC » », sur ReliefWeb,
- « Colette Tshomba d'accord pour l'expulsion de 6.000 Congolais en situation irrégulière en France », sur 2007, décembre
Voir aussi
Bibliographie
- Reconstruire la République Démocratique du Congo, Avec les Congolais de l’Étranger - Axes stratégiques et principaux défis, L'Harmattan, 2009, (ISBN 2296070612)
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