Charles Petitjean

Charles Petitjean, né le à Luttre, est un homme politique belge de langue française, membre de la Fédération des nationalistes wallons. Il est le fils de Raoul Petitjean, décédé au camp de concentration de Dora et de Julia Lecomte, résistante et Juste parmi les Justes tout comme son mari et sa mère. Il entre très vite en politique et à peine majeur il préside la régionale libérale de Luttre. Remarqué par le Président du Parti Libéral Roger Motz il est désigné comme secrétaire général des Jeunesses libérales de Belgique (1956). Par la suite il est élu président national des jeunesses PLP-PVV. En 1965 Il est élu conseiller provincial du Hainaut et désigné 1er Echevin de Luttre-Liberchies pour en prendre la mayorat en 1971. A la fusion des communes il devient Bourgmestre de Pont-à-Celles jusqu'en 1989. Aux élections communales de 1988 il en sort vainqueur et est proposé comme Bourgmestre au Roi. Une signataire de la proposition se désiste par la suit reniant sa signature. Après des appels au Conseil d'Etat la designation des échevins lors du premier conseil communal inverse la majorité 13/12 la dissidente libérale devant siéger comme indépendante. Charles Petitjean est élu comme députe fédéral en 1981 et en 1985 tandis qu'il est sénateur provincial de 1987 à 1981. Durant sa période libérale et surtout comme président national des jeunes libéraux il a créé de nouvelles associations comme Delipro-Jeunesse, la Confédération des Jeunesses Libérales, la Fédération des maisons de jeunes libérales, le Centre Social des Jeunesses Libérales.Il a été aussi été vice-président mondial de la WAY.

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Au congrès du PLP-PVV de 1962 il est appelé à la présidence du Centre d'Aide au Développement dans la Liberté et le Progrès qui réalisa de nombreux projets dans les pays en développement tant en Afrique, qu'en Amérique latine, qu'en Asie.

En 1981 le Président tunisien Habib Bourguiba le nomme Consul Hre de Tunisie poste qu'il quittera en 2004 au bénéfice de Didier Reynders.

En 2000 on ne sait pas trop pourquoi Louis Michel l'écarte brutalement sans aucune séance du bureau du part auquel il appartient depuis près de 40 ans.Il ne peut utiliser le sigle PRL lors des communales alors que les sondages le donnent vainqueur et à noueau bourgmestre de pont-à-Celles.

En 2004 à la suite d'entretiens avec Daniel Ferret qu'il a connu comme président de la Fédération PLP de Tournai-Ath Mouscron il accepte de conduire la liste FN aux élections régionales à la condition que le parti se démocratise , perde sa coloration facho pour être proche des citoyens. Il est élu Député Wallon de l'Arrondissement de Charleroi avec un score significatif.

Sa réélection en 2009 semble acquise quand à un mois des élections une plainte pour abus sexuel et moral est déposée contre lui. Le parti l'exclu de la première place qui lui était attribuée tant pour les régionales que pour les européennes. Ces accusations très rapidement s'avérèrent non fondées avec une lourde condamnation de la plaignante… mais le mal était fait!

Depuis, lors Charles Petitjean s'occupe très activement pour venir en aide aux pays africains les plus pauvres


de 40 ans.

Adhésion au Front National

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Il est élu député wallon de la circonscription de Charleroi en 2004, sur les listes du Front National. Il occupe jusque juin 2009 ce siège de député au Parlement wallon, et au Parlement de la Communauté française. En juillet 2004 il a l'honneur de présider l'installation de la nouvelle mandature tant au Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles qu'au Parlement Wallon. Une mission qu'il accomplit avec courage et discrétion. En mai 2009, il n'est pas repris sur la liste du FN tant comme tête de liste à la Chambre (arrondissement de Charleroi) ainsi que pour la liste européenne à la suite d'une accusation d'une attachée parlementaire de harcèlement sexuel et moral qui se révèlera par la suite fausse avec une condamnation de l'accusatrice.

Il est réélu conseiller communal, comme candidat Front National, en 2006. Il siège comme conseiller communal depuis 1965. En septembre 2007, il a été appelé à la présidence de la Fédération des nationalistes wallons(FNW à la suite de l'action de Marine Le Pen) qui interdit le sigle, la FNW devient FW (Front Wallon) la reprise du nom d'un mouvement de résistance et d'un parti politique qui a eu des élus et des ministres : Jean Gol, le professeur Perrin et Robert Moreau. Aujourd'hui[Quand ?] il préside le parti Front Wallon né de la fusion de Défi Libéral et de la FNW. Front Wallon sera présent aux élections de Mai 2014[réf. nécessaire]. Le Front Wallon se classe sur l'échiquier politique à droite.

Soupçonné d'utilisation illégale de l'image du Parlement wallon

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Durant l'été 2006, il a utilisé l'image du Parlement wallon, dont il était membre, dans le cadre de sa campagne électorale en vue des élections communales du mois d'octobre de la même année[1]. Le bureau du Parlement wallon a estimé que le député Petitjean avait respecté les règles. Il n'a jamais été sanctionné. D'autres députés ont utilisé le même système.[réf. souhaitée]

Soupçonné de mariage blanc

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Depuis août 2009, les autorités communales de Pont-à-Celles le soupçonnent de vouloir organiser un mariage blanc. Charles Petitjean tente en effet d'obtenir, auprès de l'office des étrangers de sa commune, qu'une citoyenne marocaine le rejoigne sur le territoire belge. L'affaire a été transmise par le bourgmestre de Pont-à-Celles au Parquet de Charleroi[2]. Il n'a jamais été inculpé car cette information ne repose sur aucun document probant et jamais aucune demande n'a été diligentée vers l'Office des étrangers.[réf. nécessaire] d'autant que cette dame avait un visa de trois ans car elle travaillait pour une firme belge soutenue par la Région Wallonne.

Poursuivi et acquitté en 1re instance et en appel pour harcèlement sexuel et infractions à la législation sur le travail

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Fin octobre 2009, il avait été inculpé pour diverses infractions à la législation sur le travail (mises à disposition illégales de personnes, non-respect de la loi relative au bien-être des travailleurs et de la loi concernant la sécurité sociale des travailleurs), harcèlement moral et sexuel. L'auditorat du travail réclamait son renvoi devant le tribunal correctionnel[3],[4].

Début octobre 2010, la chambre du conseil de Charleroi avait estimé qu'il y avait des charges suffisantes à l'encontre de Charles Petitjean et Patrick Sessler pour justifier leur renvoi devant le tribunal correctionnel. Tous deux avaient été inculpés pour infractions à la législation du travail et l’inculpation pour harcèlement moral et sexuel avait également été retenue à l’encontre de Charles Petitjean[5]. Charles Petitjean a été blanchi de ces accusations le par la 7e Chambre du Tribunal de 1re instance de Charleroi qui l'a acquitté, de même que Patrick Sessler[6],[7].

L'auditorat du travail ayant néanmoins interjeté appel, ainsi que la partie civile, l'affaire a été ré-examinée cette fois par la Cour d'appel de Mons. Fin 2014, cette juridiction a confirmé le jugement du tribunal correctionnel de Charleroi. Charles Petitjean est totalement blanchi des accusations qui avaient été portées contre lui[8] et désormais est ouverte une plainte contre l'accusatrice pour dénonciation calomnieuse dans l'intention de nuire[réf. nécessaire].

Le 8 novembre 2016 la 10ème Chambre Correctionnelle du Tribunal de Charleroi a condamné son accusatrice Brigitte Beudot pour avoir mis en cause Charles Petitjean dans l'intention de lui nuire méchamment à lui verser 108.000 euros.[réf. nécessaire]

Mis en cause à la suite d'une plainte de son épouse, à laquelle il aurait porté des coups

Il a été déféré au parquet le 26 décembre 2010 à la suite d'une plainte de son épouse, sur laquelle il aurait porté des coups ayant nécessité son hospitalisation, à leur domicile conjugal de Pont-à-Celles, durant la nuit de Noël 2010[9]. La Cour d'Appel de Mons par jugement du 2 octobre 2017 acquitte Charles Petitjean (DH 4 novembre 2017). Par arrêt de la Cour d'Appel de Mons du 2 octobre 2017, Charles Petitjean a été blanchi et la plaignante condamnée aux frais de justice.[réf. nécessaire]

Conversion à l'Islam ?

Selon Nouvelle Gazette du 4 mai 2012 et la mise à jour de cet article en ligne le dimanche 6, Charles Petitjean (FN), ex-député et conseiller communal de Pont-à-Celles, aurait embrassé la religion islamique - empruntant au passage le prénom Houcine - en 2009 pour pouvoir épouser Fatima en 2010[10].

, l'intéressé dément insistant sur le caractère douteux du document diffusé en mai 2011 car sa signature ne figure pas sur l'acte tandis que son entourage parle de mariage gris. Les différents jugements déterminent qu'il n'a au grand jamais adhéré à l'Islam étant profondément catholique. Que cette fausse information a été diffusée pour le nuire au moment des élections communales de 2012.[réf. nécessaire]

Parcours politique

Conseiller communal réélu en octobre 2006.

Il siégea pendant la 47e législature de la Chambre des représentants.

Notes et références

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