Caucalières
Caucalières est une commune française située dans le département du Tarn, en région Occitanie.
Ne doit pas être confondu avec Caucalières-Lavaur.
Caucalières | |||||
![]() La chapelle Notre-Dame-de-Sanguinou. | |||||
![]() Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | ![]() |
||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Tarn | ||||
Arrondissement | Castres | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Castres - Mazamet | ||||
Maire Mandat |
Yohan Ziegler 2020-2026 |
||||
Code postal | 81200 | ||||
Code commune | 81066 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Caucaliérois | ||||
Population municipale |
283 hab. (2018 ![]() |
||||
Densité | 22 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 31′ 23″ nord, 2° 18′ 45″ est | ||||
Altitude | 194 m Min. 178 m Max. 324 m |
||||
Superficie | 12,8 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Castres (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Mazamet-1 | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Tarn
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
| |||||
Ses habitants s'appellent les Caucaliérois et les Caucaliéroises. L'origine du nom de Caucalières vient de l'occitan caucala : « corneille ».
Géographie
Localisation
Commune située dans le Massif central au sud du département du Tarn, entre Mazamet et Castres au sud-est.

Communes limitrophes
Géologie et relief
Situé dans le causse de Caucalières la situation géographique de ce village orienté plein sud au pied de la falaise calcaire, semble avoir favorisé un habitat préhistorique, mais les témoignages de ces périodes sont peu nombreux.
Climat
|
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castres », sur la commune de Castres, mise en service en 1992[7]et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,4 °C et la hauteur de précipitations de 849,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, dans le département de l'Aude, mise en service en 1948 et à 35 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 14,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Caucalières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castres, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 55 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (92 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (69,6 %), forêts (22,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %), terres arables (2,4 %), prairies (1,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,1 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Attestée sous la forme Caucaleriis en 1358[20].
De l'occitan caucala (Corneille) et suffixe -ièras (terras) ; « terres à corneilles »[20].
Histoire
Les seigneurs de Pins ont administré et conduit ce bourg dès la seconde moitié du XIVe siècle et jusqu'à la Révolution. Caucalières-d'Albigeois, sur la rive droite, est alors distincte de Caucalières-de-Lavaur, sur la rive gauche mais rattaché au village d'Aiguefonde. Les deux entités ne se réunissent qu'en 1947. Une petite unité de filature, installée au bord de la rivière, occupait nombre de salariés dès l'extension des activités liées à l'industrie du textile. Bien que le causse ne soit pas trop fertile, les moutons trouvent leur nourriture sur les plateaux et les combes autorisent la culture du seigle et de l'avoine.
Petits faits d'histoires
Dans les registres paroissiaux de Saint-Jean-Baptiste de Caucalières, on trouve la relation de faits ou d'événements survenus sur le territoire de la paroisse.
- BMS 1722-1734 page 33
- Un impôt particulier qui perdurera jusqu'à la Révolution
- Arrêt du parlement de Toulouse du 18 mars 1619 qui condamne le ... des habitants de la paroisse à payer annuellement au curé quatre mesures de froment pour chaque paire de labourage en conséquence d'une transaction du 22 mai 1324 produite au procès.
- BMS 1754-1761 page 34 35
- Des relations difficiles entre le curé et sa hiérarchie
- Nous Prêtre et curé de Saint Jean de Caucalières certifions a quiconque il appartiendra de l'année 1758 assisté des marguiliers nous aurions fait une quête dans la paroisse pour acheter une hycharpe que le chapitre de Lautrec quoique fruit prenant pour les deux tiers ne voulut pas fournir et nous aurions ramassé la somme de vingt et une livre et quelque sol laquelle somme fut employée a l'achat de neuf pan ? daguet ? de soie à (suit une liste de fournitures et de prix).
- De plus nous mimes au fon de cette hycharpe une frange en argent fin qui couta environ 21 livre le tout .........
- .....
- Facon de l'hycharpe pour qu'on ne s'y méprenne pas.
- Elle est d'un droguet en soie blanc de neuf pans de longueur sur 2 pans de largeur avec surpiquet d'argent fin au bord et une belle frange d'argent fin aux deux bouts... Je susigné certifie que tout ce dessus contient vérité à Caucalière le 16 avril 1760.
- signé Boudes curé de Saint Jean de Caucalières
- Le surplus de 21 livre a été fourny aux fraix de nous dit curé sans que le chapitre ai rien donné pour cela
- signé Boudes Curé
- BMS 1769-1775 page 6
- Écroulement d'une tour
- L'an 1770 et le septième jour du mois de février la tour "dite de Monfalcout" de Caucalières Tomba à 9 heure du soir sans faire mal à personne.
- signé Boudes Curé
- BMS 1782-1788 page 51
- déménagement de l'église
- L'église paroissiale de la paroisse Saint Jean de Caucalières située depuis un temps immémorial sur une montagne de roche fort escarpée du côté du nord et à côté du village, a été transférée, dans une grande place près et sur le bord de la rivière de Thoret, et a été bénie le trois du mois d'août 1788
- Me André Plasolles curé de la dite paroisse.
Cahiers de doléances
Ci-dessous une transcription (perfectible) du cahier de doléance du tiers état établi par la communauté de Caucalières. Ces doléances seront ensuite reprises en partie dans le cahier de doléance du tiers état de la sénéchaussée de Castres.
Cahier de doléances, plaintes et remontrances de la communauté de Caucalières en Albigeois au diocèse et sénéchaussée de Castres.
Le tiers état de la communauté de Caucalières en Albigeois assemblé en conformité de l'article 28 du règlement fait par Roy pour l'exécution des lettres de convocation aux états généraux du royaume.
Considérant que les auspices sous lesquels la nation va être assemblée annoncent à la France quelle jouira bientôt du bonheur pour lequel Son Roy et ses peuples sont faits.
A unanimement reconnu et délibéré qu'il lui importe de s'adresser au Roy, environné des députés de la nation aux états généraux, pour lui demander par forme ses respectueuses doléances, plaintes et remontrances.
- D'assurer à la seule religion catholique apostolique et romaine le libre exercice de son culte public en accordant toutefois a ses sujets non catholiques l'état-civil et les prérogatives des citoyens français.
- De faire revivre et exécuter les anciens règlements civils et canoniques qui prohibent la plupart des bénéfices, prescrivent l'obligation de la résidence et détermine l'emploi et le partage des revenus ecclésiastiques
- Que les décimateurs soient tenus des réparations, constructions et reconstructions des églises et presbytères et de la fourniture des ornements, vases et nécessaires au service divin, et de tous les objets qui sont relatifs aux fonctions de leur ministère et que tout cazuel soit supprimé
- que la dîme ramenée à son institution primitive, ne puisse porter sur les objets qui servent à la nourriture du bétail indispensable à la culture des terres et à leur amélioration, de même sur les bestiaux à laine et que les décimateurs ne percevront pas la dîme sur la semence et que toutes les pailles restent aux propriétaires.
- de donner un règlement général sur l'abréviation des procès, la simplification des formes judiciaires, la réforme du code civil et criminel, le rapprochement des justiciables, non seulement des justices ordinaires mais encore des tribunaux de dernier ressort.
- de supprimer tous les tribunaux d'exception et l'impôt de la gabelle qu'il a lui-même jugée qui pèse extraordinairement sur son peuple et principalement sur la classe des cultivateurs qui ayant à peine les facilités de se fournir le sel dont ils ont besoin pour eux-mêmes sont dans l'impuissance d'en donner aux bestiaux a qui il est si nécessaire.
- De donner un nouveau tarif pour le contrôle, plus simple et moins onéreux au peuple, toujours vexé par une foule de lois fiscales amendées sur cette matière qui ne sont avantageuses qu'aux traitants qui les interprètent toujours à leur gré.
- Que le roi sera également supplié pour alléger le fardeau des impositions de toutes nature qui écrasent le cultivateur, d'ordonner que toutes sortes de privilèges y seront assujettis à hauteur de leur revenu.
- Que le roi prendra également en considération, que les taxations des receveurs et collecteur absorbent le neuvième des impositions réelles et personnelles et que le besoin du peuple exige que la perception de l'impôt soit simplifiée et moins onéreuse.
- De supprimer en conséquence les formalités ruineuses de décrets des biens qui écrasent le redevable qui ne peut pas souvent payer le collecteur qui a été obligé de le poursuivre tandis qu'une procédure sommaire et gratuite faite par les officiers municipaux obvierai à ce double inconvénient lorsque la dette serait relative au paiement des impositions.
- D'ordonner que pour l'avantage du commerce et l'agriculture l'argent prêté à terme pourra produire un intérêt réglé par une nouvelle loi.
- De dégager le commerce de toutes les entraves que les privilèges exclusifs de certains ports ou ville, et autres obstacles opposent a son activité et au progrès de l'industrie.
- De supprimer entièrement les droits de péage sur les rivières, les chemins les propriétaires toutes fois indemnisés et de rendre les douanes aux barrières du royaume.
- D'assurer la liberté civile et individuelle de chaque citoyen et de soumettre à l'assemblé générale des états du royaume l'examen de la grande question qui est élevée sur les lettres de cachet ainsi que sa majesté a daigné l'annoncer elle-même par la voix de son ministre.
- Que le roi sera instamment supplié de faire connaître à la nation assemblée la somme de la dette nationale.
- De fixer a une somme déterminée le montant des pensions et d'arrêter avec la nation assemblée l'état des dépenses à faire dans les différents départements et d'ordonner la responsabilité des ministres.
- De consulter la nation assemblée sur la culture du tabac et la marque des cuirs.
- De considérer que la milice pesant infiniment sur les campagnes dont elle tyrannise les habitants, et les force à abandonner les lieux qui les ont vus naître pour embrasser une profession qui leur répugne et qui prive l'agriculture d'une foule de bras nécessaire, il serait utile d'adopter une forme moins onéreuse pour cet objet.
- D'assurer à la nation le retour des états généraux du royaume a des époques fixés et périodiques dans lesquels dits états généraux on votera par tette et non par ordre.
- Que le roi sera supplié de supprimer absolument la commission dite États de la province de la langue d'oc, et d'accorder à la dite province une administration représentative des trois ordres ou les députés qui la compose seront tous élus librement par leur pairs, et que la présidence y soit alternative entre les deux premiers ordres.
- Que les administrations secondaires des diocèses ou des municipalités soient modelées sur les mêmes principes.
- Que sa majesté sera suppliée de confier a l'administration diocésaine la répartition des sommes que sa munificence destine aux indemnités.
- Le présent lieu se trouvant assis sur un causse très aride, pierreux et sans presque aucun arbuste ne pouvant produire aucun fourrage ni récolte est si chargé de tailles que biens reviennent très onéreux aux particuliers c'est pourquoi sa majesté est humblement suppliée de vouloir modérer cet impôt de même que les capitations et industries qui sont très excessives.
- De décharger la communauté des habitants du droit appelé promesse qu'ils payent au curé à raison de quatre mesures de blé par labourage comme ce droit étant excessif le onéreux.
- De vouloir bien accorder aux habitants du présent lieu de Caucalières un pont sur la rivière le Thoret tel qu'il était autrefois pour pouvoir aller commodément travailler commodément travailler les possessions qu'ils ont au-delà de la rivière.
Tel est le cahier de doléances de la susdite communauté de Caucalières qu'elle a composé de vingt cinq articles entendre toutefois se borner aux objets qui y sont compris pour qu'elle autorise au contraire ces députés a adopter tous ceux qui pourront mériter leur approbation dans l'assemblée générale de la sénéchaussée.
Fait et arrêté dans le lieu de Caucalières dans l'assemblé générale de tiers état dont les membres lettrés ont signé ce cinquième mars mil sept cent quatre vingt-neuf.
- Albert député Azam
- Jacques Salbagés
- Jean Pouzenc Hicher
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24]. En 2018, la commune comptait 283 habitants[Note 5], en diminution de 6,91 % par rapport à 2013 (Tarn : +1,75 %, France hors Mayotte : +1,78 %). |
Économie
Une partie de l'aéroport de Castres-Mazamet se trouve sur le territoire de la commune.
Lieux et monuments
Chapelle Notre-Dame-de-Sanguinou.
Cette primitive église romane figure sur les chartes de la fondation du prieuré de l'Ardorel, dès 1124. L'étymologie de Sanguinou rappelle l'existence de saint Guy et de son assassinat en ces lieux.
Passerelle
Emportée par les inondations de 1930, la passerelle primitive est construite en bois maintenue par des fils de fer. Après le désastre, elle est reconstruite en poutrelles d'acier.
Vie pratique
Activités sportives
Le village possède un club de football, le Caucalières Football 7 (CF7), il évolue en championnat de football à 7 UFOLEP.
Personnalités liées à la commune
- Cécile de Provence : fondatrice en 1124 de l'abbaye de Sainte-Marie d'Ardorel, pillée et incendiée en 1586.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Castres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Caucalières et Castres », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météofrance Castres - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Caucalières et Carcassonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Castres », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Toponymie, générale de la France - Volume 2 - Page 1275
- Démission en cours de mandat
- Le Tarn libre, 26 février 2016, p. 46.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Portail du Tarn
- Portail des communes de France