Beauville (Lot-et-Garonne)

Beauville est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Beauville.

Beauville

Place Archambault-de-Vençay.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Agen
Intercommunalité Communauté de communes Porte d'Aquitaine en Pays de Serres
Maire
Mandat
Annie Reimherr
2020-2026
Code postal 47470
Code commune 47025
Démographie
Gentilé Beauvillois
Population
municipale
558 hab. (2018 )
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 16′ 39″ nord, 0° 52′ 59″ est
Altitude Min. 84 m
Max. 231 m
Superficie 23,17 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Agen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de Serres
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Beauville
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Beauville
Géolocalisation sur la carte : France
Beauville
Géolocalisation sur la carte : France
Beauville

    Géographie

    Localisation

    Situé sur un éperon rocheux en Pays de Serres, aux confins du Quercy, cet ancien bourg seigneurial surplombe la vallée de la Petite Séoune, à l'écart des grands axes de communication de la région. La commune est limitrophe du département de Tarn-et-Garonne.

    Les villes d'Agen et de Villeneuve-sur-Lot ne sont respectivement qu'à 25 et 30 km. De plus, l'aéroport Toulouse Blagnac est à seulement une heure.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 831 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sainte-Livrade-sur-Lot », sur la commune de Sainte-Livrade-sur-Lot, mise en service en 1989[8]et qui se trouve à 27 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,8 °C et la hauteur de précipitations de 757,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 29 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Beauville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,9 %), zones agricoles hétérogènes (38,3 %), forêts (15,4 %), prairies (4,3 %), zones urbanisées (1,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Bovisvilla en 1274[21],[22], parfois Bouville[Quand ?], Boville [Quand ?], Beauville[Quand ?][réf. nécessaire], Bauvila en occitan.

    Il s'agit d'une formation médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural », dont le premier élément Beau- est expliqué par l'anthroponyme germanique Bovo par Albert Dauzat et Charles Rostaing[23]. L'attraction graphique de l'adjectif français beau aurait ensuite joué.

    Héraldique

    Blason de Beauville sur le monument aux morts.
    Blason
    Parti : Au 1) d’or aux deux vaches au naturel l’une sur l’autre (Famille de Beauville ou Boville); au 2) de gueules à la croisettes d’or.
    Devise
    "Sul camin del pais" (Sur le chemin du pays)[24]
    Détails
    Officiel.

    Explication du blason : Selon une interprétation peu scientifique datant de la fin du XIXe siècle, Beauville viendrait du latin Bovis villa, ou littéralement la villa (grand domaine de l'époque romaine) des bœufs, Bòu étant le bœuf en languedocien (avant la diphtongaison du -ò- qui a donné buèu dont la prononciation actuelle est "bèu", mais de toute façon cette diphtongaison n'a pas lieu en position atone, qui est le cas dans le nom de l'agglomération).

    Histoire

    Beauville a été jusqu'au XVIe siècle le siège d'une importante baronnie de l'Agenais, possession de la famille féodale de Beauville puis Talleyrand-Périgord dont l’évêque d’Autun fut le dernier baron.

    François de Beauville a mené en 1574 la défense du château contre les protestants.

    Même si le plan du village, organisé autour d'une place à arcades a suggéré que Beauville pouvait être une bastide "oubliée", son existence était bien antérieure à la période de création des bastides à la fin du XIIe siècle. C'était typiquement un bourg seigneurial contre son château. Seule la partie centrale du village actuel a un plan proche de celui d'une bastide, alors que les maisons les plus proches du château ont disparu. Il est probable que le seigneur ait loti et mis à disposition le terrain aux habitants, avec la même disposition et des droits similaires à ceux d'une véritable bastide, tout simplement pour ne pas voir sa population partir vers les nombreuses bastides nouvellement créées dans les environs.

    Saint Roch est le saint protecteur du village. Né vers l'an 1200 à Montpellier, il mourut jeune dans des conditions misérables. Au XVIe siècle, son évocation écarta le fléau de la lèpre qui anéantissait le bétail de Beauville. Une chapelle fut construite en son honneur sur les hauts de Beauville. Elle s'écroula avec le temps. Une croix de pierre la rappelle encore aujourd'hui à côté de l'actuel château d'eau.

    Une caserne de gendarmerie était cantonnée à Beauville de 1831 à 1976.

    Politique et administration

    Liste des maires de 1968 à aujourd'hui
    Période Identité Étiquette Qualité
    octobre 1947 mars 1965 Henry Archambault De Vencay    
    mars 1965 1968 Louis Boucard    
    1968 mars 1971 Abel Lautié    
    mars 1971 1987 Claude Archambault De Vencay    
    1987 mars 2001 Raymond Desplat    
    mars 2001 En cours Annie Reimherr DVD  

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

    En 2018, la commune comptait 558 habitants[Note 6], en augmentation de 0,36 % par rapport à 2013 (Lot-et-Garonne : −0,36 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 5001 4291 6801 6371 7031 5781 5671 5661 434
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3501 3171 2741 2411 2031 1751 1421 1281 044
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    962915872764795756741764674
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    657579462545548553583573570
    2018 - - - - - - - -
    558--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Rue partant de la place.

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre Marraud (1861-1958) préfet en 1900, conseiller d’État, commissaire du gouvernement à la fin de la Première Guerre mondiale, sénateur en 1920, ministre de l’Intérieur en 1921. Ministre de l’Instruction publique et des Beaux-arts (1928-1930), il fait voter, le 16 avril 1930, la loi de finances sur la gratuité de l’enseignement secondaire. conseiller général de Beauville et président du conseil général de Lot-et-Garonne (1921-1933).
    • Olivier Damaisin (1966 -), député de la 3e circonscription de Lot-et-Garonne.

    Fêtes et événements principaux

    Premier grand rendez-vous de l'année à Beauville. Cette course, associée à la petite fête foraine, marque le début des beaux jours. Cette épreuve du calendrier régional du Guidon Agenais n'est pas des plus faciles. Légèrement fluctuant d'une année à l'autre, le circuit d'une douzaine de kilomètres, fait toujours passer les coureurs par les deux côtes de Beauville et donc au cœur du village.

    Organisé par "l'écol'in" (association des parents d'élèves de l'école de Beauville), cette soirée d'été est aussi l'occasion de la fête de l'école.

    • France-Angleterre de pétanque (14 juillet) :

    Inventé par Nick Twilett, un citoyen anglais installé à Beauville, ce concours amical de pétanque est assez original. Depuis 1994 et sa première édition, le concours regroupe chaque année au boulodrome ombragé de Beauville sur la place du Carré, des personnes des deux nationalités désireuses de se divertir. Chaque doublette est composée d'un Français et d'un Anglais (Britanniques, Irlandais, Américains ou autres nationalités sont aussi les bienvenus). Ces derniers se doivent de communiquer au mieux pour essayer d'atteindre la finale du concours. Arrivés à celle-ci, ils disputeront deux matchs. Le premier sera pour déterminer la doublette vainqueur du tournoi, mais surtout le deuxième, permettra de savoir qui des Français ou des Anglais l'emportent cette année. Pour ce dernier match, les doublettes finalistes sont donc recomposées par nationalités. L'après-midi se termine toujours par un traditionnel banquet permettant s'il le faut encore de resserrer les liens entre les deux nations. Côté palmarès, les Français du Boulevardier Beauvillois restent maîtres. En 16 éditions, ils ont remporté 14 fois le coquetier, n'en laissant que 2 à leurs amis anglais "the goods eggs" (Les bons œufs se traduisant par : Les bons gars).

    • Moto-cross de Beauville (dernier week-end de juillet) :

    Organisé par le Moto Club de Beauville sur le beau terrain de "Gary", cet événement est aussi une tradition. Durant deux jours, se succèdent les essais et les épreuves, de niveau départemental, dans différentes catégories, sur un circuit à l'esprit "supercross". Il attire jusqu'à 2000 spectateurs et plus de 150 compétiteurs.

    • Grande Brocante-vide grenier (2e dimanche d'août) :

    La grande brocante-vide grenier de Beauville est un événement majeur pour le village. Toujours sur la place ombragée du Carré (près d'un hectare), ce sont près de 200 exposants qui viennent une fois l'an proposer leurs articles durant toute la journée.

    • Fête de la Saint-Roch (1er dimanche après la Saint-Roch, 16 août) :

    Depuis presque 500 ans, chaque année un hommage particulier est rendu à saint Roch. Appelée aussi Bénédiction des animaux, cet fête consiste comme ce nom l'indique, à bénir religieusement les animaux afin de les protéger des maladies. D'abord réservée aux bovins, tous types d'animaux peuvent maintenant être amenés par leurs propriétaires soucieux de leur santé. C'est d'ailleurs l'occasion d'en découvrir ou d'en redécouvrir, de nombreux animaux de diverses espèces étant exposés sur le carré durant cette journée.

    • Marché nocturne de Noël (vendredi soir avant Noël) :

    Mis en place il y a un peu moins de 10 ans, il a lieu sur la place à arcades du village.

    Un concours d'épouvantails est organisé par l' association culturelle de RUAT CARGUESSAC dans le cadre d'un vide jardin brocante.

    Animations estivales

    • Marché nocturne gourmand avec animation musicale. Sur la place devant la mairie. Tous les vendredis en juillet-août.
    • Soirée concert les lundis de l'été au camping "Les 2 lacs". En juillet-août, sauf la première semaine de juillet.

    Lieux et monuments

    Arcades de la place.

    Patrimoine religieux

    Patrimoine civil

    Cette butte, considérée d'abord comme un tumulus, a été réinterprétée comme étant un vestige de motte castrale. Un tumulus aurait contenu une sépulture de l'âge de fer, ce qui n'est pas le cas. La partie supérieure de la butte est en terre rapportée, elle contenait une excavation et des débris charbonneux.

    • Silos funéraires à Marcoux.
    • Tête sculptée en calcaire blanc, de 15 cm de haut, non datée, découverte en 1955 au lieu-dit Moulin à Vent.
    • Substructions et sols gardant des restes de mosaïque à Pau, laissant penser à la présence d'une villa romaine.
    • Restes de voie romaine près du château de Massanès et entre Beauville et la Petite Séoune.
    • Le château de Beauville construit au XIIIe siècle et XVIe siècle est classé monument historique par arrêté du 11 décembre 1925[31].
    • Le château de Massanès, disposé autour d'une cour. C'était d'abord une grange (ferme monastique fortifiée) ou un prieuré de l'abbaye de Saint-Maurin, attaquée comme celle-ci par les troupes de Simon IV de Montfort lors de la guerre des Albigeois pendant l'été 2012. Il contenait au XIXe siècle, dans ses caves, un sarcophage en marbre blanc sculpté de type aquitain, maintenant dans une collection privée en Grande Bretagne.
    • Maisons à colombages.
    • Place à arcades.
    • Place du Carré plantée de tilleuls.
    • Chemin de ronde.
    • L'éperon.
    • Vieux lavoir.

    Patrimoine environnemental

    Associations Sportives

    • AS La Griffe Noire Taekwondo-Hapkido
    • Stade Beauvillois Basket : Club historique du village, né au début du XXe siècle. De l'après guerre aux années 1960, il s'appela la Revanche Beauvilloise. Puis, il prit le nom d'Amicale Laïque de Beauville quand il fut repris en main par l'instituteur de l'époque. Il reprit enfin son nom de départ dans les années 1970. À la fin de la saison 1982, le club fut mis en sommeil, faute de salle couverte. Le terrain du Carré ne suffisait plus ; il fallait maintenant jouer dedans. La municipalité de l'époque n'avait pas jugé nécessaire de construire une salle pour le seul club sportif cher aux Beauvillois. Il fallut attendre 15 ans et l'action de la communauté des communes du canton de Beauville, avec à sa tête le regretté M. Bissières, qui acheva en 1997 une salle des sports à usage intercommunal, pour enfin voir le club fonctionner de nouveau. Il compta jusqu'à 60 licenciés en 2004, répartis en 5 équipes (de baby à seniors), dont 2 engagées en Championnat fédéral de Lot-et-Garonne et 3 autres en Championnat UFOLEP. Cependant, avec le temps, par manque de bénévoles, de soutien et surtout à cause d'une fusion manquée avec le club voisin de Puymirol, le Stade Beauvillois fut remis en sommeil à l'aube de la saison 2006/2007.

    Côté palmarès, le club peut quand même s'enorgueillir de quelques titres, si les mémoires sont bonnes : Champion de Lot-et-Garonne en 1944, Champion UFOLEP de Lot-et-Garonne en 1963, Champion UFOLEP¨Benjamins de Lot-et-Garonne en 1999, Champion UFOLEP Poussins de Lot-et-Garonne en 2002.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    • Le souvenir de la première croisade documentation
    • Registres de la Mairie de Beauville.

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Sainte-Livrade-sur-Lot - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Beauville et Sainte-Livrade-sur-Lot », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Sainte-Livrade-sur-Lot - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Beauville et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des Noms de Lieux en France, Librairie Guénégaud, réédition 1984, p. 66a.
    22. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, Genève, Volume 2, page 959.
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
    24. Armorial de France
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. « Église Saint-Jacques », sur www.patrimoine-de-france.org (consulté le ).
    30. « Église Saint-Caprais de Marcoux », sur www.patrimoine-de-france.org (consulté le ).
    31. « Château ancien », sur www.patrimoine-de-france.org (consulté le ).
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