Banque nationale des États sardes

La Banque nationale des États sardes naît de la fusion entre la Banque de Turin et la Banque de Gênes, comme société privée en 1849. Grâce aux pressions de Cavour, elle se trouve affectée à des travaux de trésorerie d'État.

Banque nationale des États sardes
Création 1849
Disparition 1861
Fondateurs Royaume de Sardaigne
Forme juridique Société par actions
Siège social Turin
 Italie
Filiales Nice et Verceil
Société suivante National Bank in the Kingdom of Italy (d)

Elle a un siège à Turin et un autre à Gênes. Le siège de Turin est très actif, car il est proche du siège du gouvernement. La banque devient le bras financier de Cavour, étant la seule banque autorisée à émettre des billets de banque.

Le , Cavour présente un projet de loi, qui autorise la Banque à porter son capital de huit à seize millions[De quoi ?], en imposant en même temps l'obligation d'ouvrir deux succursales à Nice et Verceil et d'assumer les fonctions de caisse de l'État.

Avec la naissance du Royaume d'Italie, elle prend la nouvelle dénomination de Banque nationale du Royaume d'Italie.

En 1893, elle s'unit à la Banque nationale toscane, à la Banque nationale du Crédit et à l'ancienne Banque Romaine pour devenir la Banque d'Italie.

Source

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