Zerreißet, zersprenget, zertrümmert die Gruft

Zerreißet, zersprenget, zertrümmert die Gruft (Rompez, pulvérisez, fracassez la caverne) (BWV 205), est une cantate de Johann Sebastian Bach composée à Leipzig en 1725 comme Dramma per Musica pour la célébration de l'anniversaire d'Auguste Frédéric Müller, professeur à l'université de Leipzig. Elle est également nommée Der Zufriedengestellte Äolus (Éole apaisé).

Cantate BWV 205
Zerreißet, zersprenget, zertrümmert die Gruft
Titre français Rompez, pulvérisez, fracassez la caverne
Date de composition 1725
Auteur(s) du texte
Christian Friedrich Henrici
Texte original
Traduction de J-P. Grivois, note à note

Traduction française interlinéaire

Traduction française de M. Seiler
Effectif instrumental
Soli : S A T B
chœur SATB
TrompetteI-III, timbales, cor d'harmonie I//II, flûte traversière I//II, hautbois I/II, hautbois d'amour,alto d'amour, viole de gambe, alto I/II, 8 violons, violoncelle I/II, violone, basson, basse continue (clavecin et orgue)
Partition complète [PDF]

Partition Piano/Voix [PDF]
Informations et discographie (en)
Informations en français (fr)

Commentaires (en)

La cantate fut donnée le vendredi .

Le texte est de Christian Friedrich Henrici (Picander).

Structure et instrumentation

La cantate est écrite pour trois trompettes, timbale, deux cors, deux flûtes traversières, deux hautbois, hautbois d'amour, alto d'amour, viole de gambe, violons, altos, violoncelles, violone, basson et basse continue, quatre solistes : Pallas (soprano), Pomona (alto), Zéphyr (ténor), Éole (basse) et chœur à quatre voix.

Il y a quinze mouvements :

  1. chœur : Zerreisset, zersprenget, zertrummert die Gruft
  2. récitatif (basse) : Ja! ja! die Stunden sind nummehro nah
  3. aria (basse) : Wie will ich lustig lachen
  4. récitatif (ténor) : Gefurcht'ter Aeolus
  5. aria (ténor) : Frische Schatten, mein Freude
  6. récitatif (basse) : Beinahe wirst du mich bewegen
  7. aria (alto) : Konnen nicht die roten Wangen
  8. récitatif (soprano, alto) : So willst du, grimm'ger Aeolus, gleich wie ein Fels
  9. aria (soprano) : Angenehmer Zephyrus
  10. récitatif (soprano, basse): Mein Aeolus, ach! store nicht die Frohlichkeiten
  11. aria (basse) : Zurucke zurucke, geflugelten Winde
  12. récitatif (soprano, alto, ténor)  : Was Lust! Was Freude! Welch Vergnugen!,
  13. aria (alto, ténor) : Zweig' und Aeste zollen dir
  14. récitatif (soprano) : Ja, ja! ich lad' euch selbst zu dieser Feier ein,
  15. chœur : Vivat! August, August vivat

Notes et références

  • Gilles Cantagrel, Les cantates de J.-S. Bach, Paris, Fayard, , 1665 p.  (ISBN 978-2-213-64434-9)

Voir aussi

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