Avenue de Stalingrad (Stains)

L'avenue de Stalingrad est une voie de communication de Stains. Elle suit la route départementale 39.

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Avenue de Stalingrad
Situation
Coordonnées 48° 57′ 16″ nord, 2° 23′ 33″ est
Pays France
Région Île-de-France
Ville Stains
Début Avenue de Stalingrad à Saint-Denis
Fin Avenue de Stalingrad à Garges-les-Gonesse
Morphologie
Type Avenue
Histoire
Anciens noms Route de Gonesse
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Géolocalisation sur la carte : Paris et la petite couronne

Situation et accès

Plaque émaillée de l'avenue de Stalingrad à Stains, en 2020.

Cette avenue est desservie par la gare de Stains-La Cerisaie. Elle croise notamment l'avenue Paul-Vaillant-Couturier (anciennement avenue Hainguerlot) , l'avenue de la Division-Leclerc (anciennement avenue Solon) puis le boulevard Maxime-Gorki (anciennement route d'Aubervilliers).

Origine du nom

Carriole sur la route de Gonesse.

Le nom de cette avenue commémore la bataille de Stalingrad remportée par l'Union Soviétique sur les armées allemandes du 19 septembre 1942 au 2 février 1943.

Historique

Lieudit Le Globe de Stains. Ce nom, inscrit sur l'atlas cadastral dès 1839, est d'origine inconnue.

Cet axe, autrefois appelé chaussée de Gonesse puis route de Gonesse, était le principal accés vers Saint-Denis.

Au sud de cette route commençait la seigneurie de l’abbaye de Saint-Denis[1].

Les arbres qui la longeaient faisaient partie du domaine du château de Stains, mis en vente en juin 1801, au sortir de la Révolution.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

  • Cité-jardin de Stains[2].
  • Gare de Stains-La Cerisaie.
  • Parc Georges-Valbon.
  • À la limite de Saint-Denis, la Ferme Ouverte[3].
  • Quartier du Clos Saint-Lazare.
  • Emplacement d'une ancienne église, administrée par le vicaire de l'église des Trois-Patrons, et rattachée en 1697 à la paroisse de Saint-Rémy à Saint-Denis[4].
  • Sur l'allée des Guionnes, monument à la mémoire des aéronautes Ottokar-Théodore-Arno de Bradsky et Paul Morin, victimes d'un terrible accident d'aéronef le 13 octobre 1902[5].

Notes et références

  • Portail de la Seine-Saint-Denis
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