Attalides

Les Attalides, nom issu d'Attale, père de Philétairos, sont une dynastie hellénistique qui règne sur la cité de Pergame, située en Éolide, après la mort de Lysimaque, l'un des diadoques d'Alexandre le Grand. Philétairos, l'un des généraux de Lysimaque, prend le contrôle de la cité en 282 av. J.-C. et fonde la dynastie qui règne sur le royaume de Pergame jusque 130 av. J.-C.[1]. Adversaires des Séleucides et des Antigonides, les Attalides deviennent les alliés de Rome durant les guerres de Macédoine et la Guerre antiochique auxquelles ils participent activement. Le royaume finit par être légué aux Romains en 133.

Le royaume attalide après la paix d'Apamée (188 av. J.-C.).

La cité de Pergame est située en Éolide, dans l'ancienne Mysie au nord-ouest de l'Asie Mineure. Elle dispose d'un bon accès maritime : Lesbos se trouve non loin à l'ouest et le golfe d'Adramytteion au nord[2]. Sous les Attalides, Pergame apparait avoir été une cité florissante, dont les vestiges sont parmi les mieux conservés de l'époque hellénistique.

Les Attalides, une nouvelle dynastie hellénistique

Maquette de la cité de Pergame.

De Lysimaque à Philétairos

À la mort d'Alexandre le Grand, au partage de Babylone de 323 av. J.-C., ses anciens généraux se disputent son empire aux frontières mal fixées. L'un d'eux, Lysimaque, hérite de la Thrace dont il dut défendre les frontières très instables et sans cesse attaquées. Après la bataille d'Ipsos (301 av. J.-C.) Lysimaque ajouta la majeure partie de l'Asie Mineure à ses possessions thraces, englobant ainsi la cité de Pergame. Allié des Lagides par son mariage avec la fille de Ptolémée et Bérénice, Arsinoé, il est également l'allié des Messéniens contre Sparte. Sa puissance atteint son apogée en 286/285. Son royaume possédait des territoires à la fois en Europe et en Asie et comprenait la Thrace jusqu'au Danube (sans Byzance), la Macédoine et la Thessalie (excepté Démétrias), plus l'Asie Mineure à l’exception des Royaumes du Pont, de la Bithynie et des principautés paphlagoniennes. Ce royaume, qui avait pour capitale la cité de Lysimacheia, occupait une position stratégique de premier plan. Mais des problèmes de succession dynastique viennent mettre un terme à cette prospérité. Arsinoé, son épouse, parvient à convaincre Lysimaque que son fils aîné Agathoclès de Thrace, petit-fils d'Antipater et futur héritier du royaume de Thrace, conspire contre lui. Arsinoé veut en effet protéger l'intérêt de ses trois fils. Marié à sa cousine Lysandra, fille de Ptolémée et d'Eurydice, cette dernière s'enfuit à la cour de Séleucos où elle crie vengeance. Lysimaque est battu et tué lors de la bataille de Couroupédion la plaine de Cyrus » à l'Ouest de Sardes) contre Séleucos en 281. Ce dernier s'empare de ses possessions asiatiques[1].

Du temps de Lysimaque, Pergame était déjà une cité très riche, comparable à Alexandrie, capitale lagide. La richesse de Pergame ne reposait pas seulement sur l'usurpation du trésor par Philétairos. De nombreux produits d'exportation était produit à Pergame, comme le vin, l'huile, les céréales, mais la cité possédait également des chevaux, des porcs, des moutons et des produits laitiers en abondance. Une pierre locale de couleur bleu-gris, l'andésite, était très recherchée car elle constituait un excellent matériaux de construction. La cité possédait aussi de l'argile, nécessaire à la production de céramique, et du bois en quantité destiné aux chantiers navals. L'industrie lainière était prospère. Pergame comptait également de nombreuses mines d'or, d'argent et de plomb. De plus, Pergame développait un commerce du parchemin florissant (le nom même dérive du lieu)[2].

Philétairos (343-263), ancien général de Lysimaque, prend le contrôle de la cité de Pergame en 283 et fonde la dynastie des Attalides.

L'affirmation des Attalides sous Philétairos puis Eumène Ier

Fils d'Attale de Tios et de Boa de Paphlagonie, Philétairos, alors qu'il est impliqué dans la guerre des diadoques qui se joue entre Lysimaque, Antigone le Borgne et Séleucos, quitte le service du stratège d'Antigone Docimos et fait ainsi défection pour rejoindre Lysimaque. Après la mort d'Antigone en 301 Lysimaque charge Philétairos d'assurer la sécurité de la cité de Pergame et de préserver son trésor de neuf mille talents sous le titre de « pzophylax » ou « préposé au trésor ».

Puis, profitant de la lutte des Épigones (descendants des Diadoques) Philétairos entreprend de faire de Pergame une cité autonome, et repousse les attaques des Galates par la même occasion. C'est alors qu'il fonde la dynastie attalide, même si elle reste encore assez floue ; par exemple lorsqu'il fait frapper des monnaies il laisse le visage de Séleucos et ne s'octroie pas encore le titre de basileus (roi).

Evergète comparable aux plus grands rois hellénistiques, Philétairos dota la cité d'un temple sur l'acropole dédié à Athéna, un premier palais, et un second temple en faveur de Déméter. Il fut également généreux envers les autres cités grecques notamment envers les sanctuaires de Delphes, Délos et Thespies auxquelles il fit des dons, et des cités d'Asie mineure comme Cyzique ou Cymé. Philétairos se posa ainsi en protecteur des arts et accueillit de nombreux artistes grecs à Pergame. De nature plutôt autonome, Pergame n'entretint pas, sous Philétairos, de relations étroites avec des cités grecques particulières[1].

À sa mort en 263, n'ayant jamais été marié et sans héritier, c'est son neveu et fils adoptif Eumène, qui deviendra par la suite Eumène Ier (263-241) qui lui succéda. Peu de temps après sa prise de pouvoir, Eumène Ier doit lutter contre les forces séleucide menée par Antiochos Ier. Le souverain séleucide est battu en 261 près de Sardes et permit au pouvoir attalide de se consolider. Il fait remplacer l'effigie de Séleucos par celui de Philétairos sur les monnaies mais ne prend toujours pas le titre de basileus, se contentant de celui de dynaste. Mais Eumène Ier perd les nouveaux territoires acquis au détriment des Séleucides à la suite d'un conflit mené contre Antiochos II entre 246 et 241.

Comme son prédécesseur Philétairos, Eumène Ier n'eut jamais de femme ni d'enfant, et c'est donc son cousin germain et fils adoptif Attale Ier (269-197) qui lui succéda[3].

L'affirmation des Attalides au IIe siècle av. J.-C.

Le royaume attalide à son apogée après la paix d'Apamée.

Attale Ier et la proclamation royale

Il fallut attendre Attale Ier pour voir les Attalides disposer du titre royal, notamment dû à sa spectaculaire victoire sur les Galates en 240/239. Néanmoins les conquêtes territoriales dans l'ouest de l'Asie Mineure (Ionie, Eolide, Hellespont) permises par les victoires sur les Galates et aussi par la crise du pouvoir séleucide furent mises à mal par les campagnes d'Antiochos III. Attale Ier tenta ensuite d'étendre ses possessions aux dépens des Séleucides ; mais le souverain séleucide mena une politique sans faille qui fit de lui le maître de l'Asie Mineure occidentale vers 222, réduisant le pouvoir attalide et le territoire attalide à un territoire ne dépassant pas la moyenne vallée du Caïque.

Attale Ier essaya alors de développer son influence dans l’Égée et en Grèce en s'alliant à la Ligue étolienne et à Rome, mais ne réussit qu'à s'attirer l'hostilité de la Macédoine (218-205). Pergame courait alors le risque d'être à la fois l'ennemi de la puissance macédonienne et de la puissance séleucide. Attale Ier fit appel à Rome, aidant la puissance romaine dans ses projets d'intervention en Orient. Pergame signe un traité d'amitié avec Rome en 209 avant de prendre part aux guerres macédoniennes contre Philippe V de Macédoine. Attale Ier dirige les opérations navales et remportent la cité d'Egine durant la première guerre macédonienne et Andros au cours de la deuxième.

Attale Ier mourut brutalement en 197, peu de temps avant la fin de la deuxième guerre macédonienne. C'est Eumène II, l'aîné de ses quatre fils qu'il eut avec sa femme Apollonis de Cyzique (Eumène II, Attale II, Philetairos et Athenaios) qui lui succéda[4].

Eumène II face à la menace séleucide

Eumène II, qui avait succédé à son père en 197, décida de poursuivre la politique que son père avait commencé et de préserver cette politique de bonne entente avec Rome, dans le but de se protéger de la menace séleucide. Cette manœuvre fut payante puisque le royaume de Pergame reçut, lors de la paix d'Apamée en 188 et après le soutien qu'Eumène II avait apporté à Rome lors de la guerre antiochique, la plupart des possessions séleucides au nord du Taurus. Cet accroissement de son territoire royal était tellement important que Pergame devint la principale puissance d'Asie Mineure Occidentale. Son royaume s'étendait alors de la Lydie à la Pamphylie et à la Phrygie. Tout le règne d'Eumène II s'attacha à conserver cette position privilégiée qu'il entretenait avec Rome. Le pouvoir attalide, qui avait hérité d'une grande partie des anciens territoires séleucides d'Asie Mineure Occidentale, maintint en place les structures administratives précédentes. Grâce à des textes administratifs on observe un territoire depuis Pergame par un maillage serré de districts administratifs placés sous l'autorité des stratèges. Si l'existence d'un culte royal d'État n'est pas attesté on sait qu'il existait cependant un culte royal propre à la cité de Pergame.

Mais la disparition de la menace séleucide ne fut pas la fin des problèmes pour la dynastie attalide. Eumène II dut faire face aux agressions de Prusias de Bithynie en Phrygie helléspontique entre 186 et 183 et surtout, entre 182 et 179, il dut lutter contre l'expansionnisme de Pharnace du Pont que Pergame sut finalement séduire. Enfin entre 168 et 166 les tribus galates, placées sous la domination attalide, se révoltèrent et Eumène II dut réunir une armée importante. Il rétablit son autorité dans la partie orientale de son royaume mais se sentit trahie par le Sénat lorsque ce dernier affirma l'autonomie des Galates en 166. Pergame endossa alors l'image du royaume par excellence qui défendait les valeurs de l’hellénisme aux yeux des Grecs.

À la mort d'Eumène II, c'est son frère Attale II (158-139) qui lui succéda[4].

Le royaume sous Eumène II et Attale II

À la mort de Eumène II son frère Attale II prit le pouvoir. S'inscrivant dans la continuité de l'action politique de son prédécesseur il sut développer son action évergétique afin de doter la cité de Pergame de structures politiques et artistiques admirées par tout le monde grec. Il eut, comme Eumène II, à lutter contre Prusias de Bithynie (159-154), à jongler entre les tentatives pisidiennes vers 150-145 et les rébellions des tribus galates. Attale II s'attache également à maintenir ses relations cordiales et privilégiées partagées avec Rome et y parvint, renforçant l'alliance entre les deux puissances. Attale II mourut en 138, à l'âge de 82 ans, et c'est son neveu Attale III, le fils d'Eumène II, qui prit sa suite[5].

La prospérité de Pergame

Tétradrachme à l'effigie d'Eumène II.

Pergame, une cité commerciale admirée

Capitale du royaume attalide dès le IIIe siècle, Pergame fut une des principales cités d'Asie Mineure à l'époque hellénistique puis à l'époque impériale. Il faut cependant se rappeler que la cité fut modeste à ses débuts. À l'époque elle ne représentait qu'une petite citadelle de Mysie surplombant le Caïque, à 350 mètres au-dessus de la vallée ce qui lui permettait de contrôler les routes entre le littoral et l'arrière-pays mysien lorsque, se détachant de Lysimaque, son général Philétairos s'y réfugia avec le trésor qu'il lui avait confié. La cité de Pergame devint véritablement la capitale attalide en même temps que le pouvoir attalide tendait à s'affirmer comme une puissance royale en Asie Mineure occidentale.

Sous Philétairos émergea l'autonomie de Pergame, puis son indépendance à partir d'Eumène Ier faisant de Pergame le centre politique majeur de cette nouvelle puissance. C'est surtout après la paix d'Apamée (188) que la ville fut l'objet d'extension extraordinaire permettant à Pergame de devenir le plus grand royaume d'Asie Mineure occidentale, notamment après l'acquisition de territoire appartenant aux Séleucides. L'augmentation du revenu royal permit également de conférer à Pergame un urbanisme remarquable[6].

Pergame, un urbanisme remarquable

La cité de Pergame se construisit au rythme du terrain et les terrasses naturelles furent utilisées de telle sorte que soient mis en évidence les bâtiments témoignant de la gloire et de la richesse des rois. Le théâtre, adossé au flanc de l'acropole et donnant sur la vallée, est au cœur de ce que représente la ville : les habitants s'y rassemblent et prennent conscience qu'ils forment une communauté unie par le culte à Dionysos. Et depuis ce théâtre dominant la plaine du Caïque, le peuple pouvait admirer l'ensemble de la cité.

Mais l'acropole, absolument différente de l'acropole d'Athènes, est la construction la plus impressionnante. Il s'agit en effet du cœur politique et idéologique du pouvoir attalide. Son plan et sa construction reviennent à Attale Ier mais c'est véritablement sous le règne d'Eumène II (197-158) que la politique urbanistique fut la plus développée et la plus fructueuse. La particularité de l'urbanisme de Pergame relève du fait que la ville est aménagée en terrasses superposées qui permettaient une meilleure adaptation au relief mais également une remarquable scénographie de l'ensemble de la cité. Les principaux sanctuaires et les palais royaux étaient situés sur la partie la plus élevée de l'acropole. À l'est de l'axe principal on trouvait les bâtiments relatifs au pouvoir : le groupe des palais, la bibliothèque monumentale qui aurait accueilli plus de 200 000 ouvrages et les bâtiments destinés aux activités militaires[7].

Bien que le plan des six palais royaux reprennent un schéma péristyle assez simple ils étaient décorés d'un luxe incomparable. À l'ouest étaient disposés les différents sanctuaires, surplombant le grand théâtre. Dominant le théâtre le Grand Autel de Pergame, construit vers 166 à l'apogée de la puissance attalide, et consacré aux Douze Dieux, démontrait une architecture singulière et monumentale.

Eumène II institua les fêtes en l'honneur d'Athéna Porte Victoire et pour l'occasion fit édifier au sommet de l'acropole un autel dédié à Zeus. Cet autel devait glorifier l'ensemble des victoires remportées par la dynastie attalide, avec l'aide de Rome, à l'apogée de sa puissance. Il était monté sur une plate-forme carrée, couvrant 1 250 m2. Il était constitué d'un escalier monumental menant à l'autel lui-même situé dans une cour intérieur à péristyle. Haut de 10,75 m le Grand Autel est prestigieux par la richesse et la finesse de ses décors et notamment la frise qui parcourait les côtés de la plateforme de part et d'autre de l'escalier. Cette frise, elle-même surplombée d'une colonnade ionique, représentait la geste de Télèphe, le héros fondateur de Pergame, ainsi qu'une Gigantomachie. La geste permettait de replacer l'histoire des Attalides dans le contexte mythologique local tandis que la Gigantomachie était une allégorie de la lutte des rois de Pergame contre les Galates et une démonstration de leur dévouement hellénistique[8].

L'agora du haut limitait la ville haute, ou l'ensemble royal. Cette agora abritait plusieurs bâtiments civiques et des sanctuaires poliades, marquant un lieu de rencontre symbolique et institutionnel entre le roi et son peuple. Les sanctuaires secondaires, les quartiers d'habitation et les gymnases s'étalaient en terrasse à flanc de colline jusqu'à la plaine où les activités commerciales étaient accueillis par l'agora du bas[9].

Le legs du royaume de Pergame à Rome

Après la mort d'Attale II, c'est Attale III (138-133), son neveu, qui devint roi de Pergame. Il fit du royaume prospère légué par son oncle un royaume déclinant. On sait très peu de choses de ce règne qui fut fort court en comparaison à celui de ses prédécesseurs. On sait seulement que lorsqu'il mourut en 133, encore jeune, il avait rédigé un testament qui stipulait que le royaume de Pergame devait être légué à Rome après sa mort et devenir libre par la même occasion. Rome accepta ce legs en 132, signant la fin de la dynastie attalide qui n'aura finalement connu que six souverains. On ignore encore la véritable raison qui poussa Attale III à rédiger ce testament même si l'on suppose que c'était probablement pour se prémunir contre les menaces extérieures. En effet Aristonicos, fils illégitime d'Eumène II et d'une de ses concubines éphésienne, envahit l'Asie à la mort d'Attale III et avait pour ambition de s'emparer de ce royaume qu'il percevait comme son héritage légitime. Après avoir remporté plusieurs victoires contre des cités il commençait ainsi à se légitimer. Le consul Licinius Crassus à qui l'Asie avait premièrement été confiée fut renversé et tué, mais son successeur le consul Perpenna vainquit Aristonicos et fit transférer à Rome les trésors d'Attale, héritage revenant de droit au peuple romain. Cet acte ultime marqua la fin définitive de la dynastie attalide régnant sur le royaume de Pergame[7].

Liste des rois attalides

Généalogie

 
 
Attale
 
Boa
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
PhilétaireEumène
 
SatyraAttale
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Eumène IerPhilétaire (?)Antiochis
 
Attale
 
Eumène(?)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Attale Ier
 
Apollonis
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Stratonice
 
Eumène II
 
(?)
 
Attale II
 
Philétaire
 
Athénée
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Attale IIIEumène III

Références

  1. André Laronde, « « Pergame royaume de » », Encyclopædia Universalis, consulté le 20 avril 2015
  2. Peter Green, D'Alexandre à Actium, du partage de l'Empire au triomphe de Rome, Paris, Robert Laffont, , 1130 p.
  3. Jean-Marie Bertrand, L'hellénisme, 323-31 avant Jésus Christ, rois, cités et peuples, Paris, Armand Colin, , 255 p.
  4. Capdetrey Laurent, Carrez-Maratray Jean-Yves, Grandjean Catherine, Hoffman Geneviève, Le monde hellénistique, Paris, Armand Colin, , 350 p.
  5. Pierre Gros, Roland Martin, « Pergame », Encyclopedia Universalis, consulté le 20 avril 2015 (lire en ligne)
  6. Markus Khol, Pergame, histoire et archéologie d'un centre urbain depuis ses origines jusqu'à la fin de l'Antiquité, Paris, éditions du Conseil Scientifique de l'Université Charles-de-Gaulle, Lille 3, collection UL3 travaux et recherches,
  7. Jean-Marie Bertrand, L'hellénisme, 323-31 avant Jésus-Christ, Rois, cités et peuples, Paris, Armand Colin, , 255 p.
  8. François Queyrel, L'Autel de Pergame, images et pouvoir en Grèce d'Asie, Paris, éditions A. et J.Picard, , 206 p.
  9. Peter Green, D'Alexandre à Actium, un partage de l'Empire au triomphe de Rome, Paris, Robert Laffont, , 1130 p.

Voir aussi

Sources antiques

Bibliographie

  • Jean-Marie Bertrand, L'Hellénisme 323-31 avant J.C. Rois, cités et peuples, éditions Armand Colin, Paris, 1992
  • Laurent Capdetrey, Jean-Yves Carrez-Maratray, Catherine Grandjean, Geneviève Hoffman, Le monde hellénistique, éditions Armand Colin, Paris, 2008
  • Fabrice Delrieux, François Kayser, Isabelle Pimouguet-Pedarros, Philippe Rodriguez, L'Orient méditerranéen à l'époque hellénistique, Rois et cités du IVe au Ier siècle av. J.-C., éditions ellipses, Paris, 2003
  • Fabrice Delrieux, Isabelle Pimouguet-Pedarros, L'Anatolie, la Syrie, l'Égypte, de la mort d'Alexandre au règlement par Rome des affaires d'Orient (55 avant notre ère), éditions Hachette supérieur, collection Histoire Ancienne, Paris, 2003
  • Peter Green, D'Alexandre à Actium, du partage de l'empire au triomphe de Rome, éditions Robert Laffont, Paris, 1997
  • François Queyrel, L'Autel de Pergame, Images et pouvoir en Grèce d'Asie, éditions A. et J.Picard, Paris, 2005
  • Marcus Khol, Pergame, Histoire et archéologie d'un centre urbain depuis ses origines jusqu'à la fin de l'antiquité, éditions du Conseil Scientifique de l'Université Charles-de-Gaulle, Lille 3, collection UL3 travaux et recherches, Paris, 2008
  • Édouard Will, Histoire politique du monde hellénistique 323-, Paris, Seuil, coll. « Points Histoire », (ISBN 2-02-060387-X)
  • (en) Hansen Esther V. (1971). The Attalids of Pergamon. Ithaca, New York: Cornell University Press; London, Cornell University Press Ltd. (ISBN 0-8014-0615-3).
  • (en) Kathryn Gutzwiller, A Guide to Hellenistic Literature, Blackwell Publishing, 2007, (ISBN 0631233229), p. 12-13.
  • Portail de la Grèce antique
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