Astérix et Obélix : Au service de Sa Majesté

Astérix et Obélix : Au service de Sa Majesté est un film franco-italo-hispano-hongrois réalisé par Laurent Tirard et sorti en 2012. Il s'agit de la quatrième adaptation cinématographique (dessins animés exclus) des aventures d'Astérix, après Astérix et Obélix contre César, Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre et Astérix aux Jeux olympiques. Le film est disponible en 3D et mélange les albums Astérix chez les Bretons et Astérix et les Normands.

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Astérix et Obélix : Au service de Sa Majesté
Logo du film
Réalisation Laurent Tirard
Scénario Laurent Tirard
Grégoire Vigneron
Musique Klaus Badelt
Acteurs principaux
Sociétés de production Fidélité Films
Pays d’origine France
Italie
Espagne
Hongrie
Genre comédie de péplum
Durée 109 minutes
Sortie 2012

Série Astérix et Obélix

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Le film est un succès et la réception de ce quatrième opus est meilleure que celle du précédent.

Synopsis

Vers 50 av. J.-C., Jules César lance une offensive contre la Bretagne et l’emporte facilement en attaquant, chaque jour, à dix-sept heures précises. La reine Cordelia se réfugie dans un petit village, assiégé par les Romains, avec tous les hommes libres de l’île. Voyant que la situation devient critique, elle envoie Jolitorax en Gaule, chercher un tonneau de potion magique, l’« arme secrète » qui permet au village d’Astérix et Obélix de tenir face à l’armée romaine. Au village, justement, les deux guerriers gaulois sont chargés de faire du neveu d’Abraracourcix, Goudurix, un homme. Mais celui-ci, caricature du jeune Français, considère qu’« être un homme » ne consiste pas nécessairement à se battre contre les Romains, faire la fête et « vivre à deux hommes avec un petit chien », mais plutôt à avoir une certaine sensibilité, se consacrer aux arts, vivre des aventures amoureuses… Malgré tout, en partant pour la Bretagne (pour escorter Jolitorax et le tonneau), ils forcent ce dernier à venir (en dépit d’Idéfix) et s’aperçoivent, au milieu de la Mare Britannicum, de la présence d'un passager clandestin, un « sans-papyrus » indien, Pindépis, qui a emporté une plante de son pays comme porte-chance.

En parallèle, César, pour mater le dernier village qui « résiste encore et toujours à l’envahisseur » songe à demander du renfort au Sénat, mais l’arrivée d’une délégation de contrôle des comptes dirigée par Lucius Fouinus l'amène plutôt à suivre l’idée de Mégacursus, un de ses conseillers, et à demander de l’aide aux Normands. Celui-ci part donc dans le Nord et convainc ces guerriers de venir aider César à battre les Bretons, qu’il présente comme le « peuple le plus peureux du monde » et qui pourront donc leur faire connaître la peur pour leur permettre de s’envoler, car « la peur donne des ailes ». Une fois arrivés en Bretagne, les quatre héros dînent dans une petite auberge, mais une gaffe d’Obélix les fait repérer par les Romains. Excédé, Astérix se dispute avec Obélix et annonce qu'il se lance à la recherche d’une compagne pour ne plus vivre avec son ami. Arrivés à Londinium, ils décident de cacher le tonneau de potion magique parmi des tonneaux de vin chez l’aubergiste Relax (Astérix en profite pour essayer maladroitement de séduire une cliente), mais César a la même idée et fait saisir tous les tonneaux. Pendant ce temps, les Gaulois se rendent chez la compagne de Jolitorax, Ophélia, et sa gouvernante, Miss Macintosh : Astérix et Goudurix tombent sous le charme d’Ophélia tandis qu’Obélix s’éprend de Miss Macintosh. Ils apprennent les règles de bienséance bretonne, notamment concernant les relations entre hommes et femmes, puis, prévenus par Relax des événements, les deux héros et le Breton retournent à Londinium, laissant Goudurix seul avec la charmante jeune femme.

À Londinium, ils retrouvent sans difficultés l’entrepôt où César stocke les tonneaux de vin saisis et retrouvent la potion magique, mais Obélix se fait une fois de plus remarquer en buvant un tonneau entier de vin, et par la faute d'Obélix, un voleur s’empare de nouveau de l’arme secrète, et Astérix est assommé et capturé. Il se réveille dans une geôle romaine, sans même sa gourde de potion, en compagnie de Pindépis et est convoqué par César, qui lui propose un marché simple : l’aider à conquérir le monde et à civiliser la Bretagne ou être torturé. Le moustachu choisit évidemment la seconde solution, mais est sauvé in extremis par Obélix en échange d’excuses. Cependant, pendant que Goudurix embrasse Ophélia lors d'une promenade, ils se font capturer par les Normands. Ophélia s’enfuit en prenant Tetdepiaf en otage, mais Goudurix reste prisonnier et tente en vain d’effrayer les guerriers. Avec l’aide de Miss Macintosh, Ophélia parvient à faire de la brute qu’elle a capturée un parfait gentilhomme, et, une fois rentrés, Astérix, Obélix et Jolitorax prennent la décision de favoriser l’évasion de Tetdepiaf pour le suivre. Ils retrouvent les Normands au moment où ceux-ci sont sur le point de jeter Goudurix du haut d'une falaise pour voir s’il arrive à voler ; mais, entendant leur ami parler de manière civilisée, puis voyant une Miss Macintosh furieuse arriver, les guerriers prennent peur, essayent de s’enfuir en volant, n’y parviennent pas et tombent à l’eau. Puis, alors qu’Obélix vit une idylle avec la gouvernante, Jolitorax provoque en duel Goudurix, mais Ophélia lui fait clairement comprendre qu'il doit lui prouver son amour autrement qu’en lui accordant de « rares et brèves entrevues » et que tuer son concurrent inexpérimenté aux armes serait un acte de lâcheté. Prenant au pied de la lettre le conseil de Goudurix de se « foutre à poil », Jolitorax se fait chasser. Mais la reine s’impatiente, et les héros doivent se hâter. Le Breton réussit tout de même à retrouver la piste du voleur de charrette et apprend que le tonneau a été confié à une équipe à un match de calebasse. Il se rend donc avec ses camarades au stade, où il récupère la potion aux dépens des Romains et Mégacursus, venus eux aussi. Mais lors de la fuite de ceux-là sur la Tamise, les Romains tuent indirectement le conseiller de César et parviennent à couler l’embarcation: tout espoir de fournir encore de la potion aux Bretons est désormais perdu, et Obélix, encore fâché contre Astérix, part retrouver Miss Macintosh.

Mais César, dépressif et mégalomane, relance une attaque violente contre le village. Astérix arrive à temps et prépare une infusion avec la plante de Pindépis en faisant croire qu’il s’agit de la potion. Les Bretons, menés par Goudurix, s’élancent pour affronter la légion romaine, qui est effrayée parce qu'elle croit les assiégés gavés de potion magique. S’apercevant tout de même qu’il s’agit d’un bluff, l’armée s’élance vers le village… et se fait détruire par Obélix, qui, rongé par le remords, est revenu sauver ses amis en abandonnant sa compagne. César, sur une falaise, assiste à la débâcle et rentre à Rome en dictant à son biographe une fausse conclusion pour le chapitre sur l’invasion de la Bretagne. Finalement, Astérix, Obélix, Jolitorax, Goudurix et Pindépis sont décorés ; la reine, à qui Astérix a avoué que la potion était fausse, déclare l’infusion (que l’on appelle, dans le pays de Pindépis, le thé) boisson nationale ; Jolitorax déclare en public sa flamme à Ophélia et l’embrasse ; Miss Macintosh pardonne à Obélix de l’avoir laissée ; et le film se termine par un concert de bardes.

Fiche technique

Laurent Tirard, réalisateur du film.

 Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données d'Unifrance.

Distribution

Gaulois

Bretons

Romains

Normands

Pirates

Indien

Production

Développement et genèse

À l'origine, le producteur Thomas Langmann et sa société La Petite Reine voulaient adapter l'album Le Tour de Gaule d'Astérix avec Éric Toledano et Olivier Nakache à l'écriture et Christophe Barratier à la réalisation. Aussitôt, les producteurs Marc Missonnier et Olivier Delbosc avec la société Fidélité ont proposé d'adapter l'album Astérix chez les Bretons avec Laurent Tirard à la réalisation[5]. Laurent Tirard avait déjà transposé au cinéma une œuvre de René Goscinny, Le Petit Nicolas, dont l'adaptation a convaincu tant Albert Uderzo qu'Anne Goscinny de lui confier la réalisation du quatrième opus d'Astérix en film live[6]. Luc Besson a également été approché pour réaliser cet opus[5].

En février 2010, Thomas Langmann perd les droits d'adaptation. Marc Missonnier et Olivier Delbosc annoncent alors que Laurent Tirard réalisera bien le prochain film d'Astérix, toujours inspiré de l'album Astérix chez les Bretons[7].

Distribution des rôles

Initialement, Gérard Depardieu et Clovis Cornillac ne pouvaient pas participer à ce quatrième film, étant liés par des contrats d'exclusivité à la société de production La Petite Reine et à son producteur Thomas Langmann. Plusieurs acteurs ont alors été approchés pour tenir le rôle d'Obélix, dont Kad Merad, Dany Boon, François-Xavier Demaison et Jean Reno[8]. Dany Boon était le favori pour jouer ce rôle, mais il l'a refusé. Finalement, après la cérémonie des Césars, Gérard Depardieu annonce dans une interview pour Le Journal du dimanche qu'il reprendra son rôle, information ensuite confirmée par Fidélité Films[9]. Dany Boon apparaît bien dans le film, mais dans le rôle, plus secondaire, du guerrier normand Tetedepiaf.

Deux acteurs ont d'abord été approchés pour tenir le rôle d'Astérix : Franck Dubosc et Lorànt Deutsch[8](respectivement, Assurancetourix dans Astérix aux Jeux Olympiques et Goudurix dans Astérix et les Vikings). Édouard Baer est finalement choisi - il était déjà apparu dans une adaptation d'Astérix au cinéma, Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, dans laquelle il interprétait le rôle d'Otis le scribe. Il est le troisième acteur à tenir le rôle d'Astérix après Christian Clavier dans les deux premiers films et Clovis Cornillac dans le troisième. Fabrice Luchini est le quatrième acteur à incarner Jules César, après Gottfried John dans le premier, Alain Chabat dans le deuxième et Alain Delon dans le troisième. Michel Duchaussoy, reprend quant à lui le rôle d'Abraracourcix, après Michel Galabru dans le premier et Éric Thomas dans le troisième (il s'agit par ailleurs de sa dernière apparition cinématographique). De son côté, Gérard Jugnot remplace Bernard Farcy dans le rôle du pirate Barbe-Rouge, qui apparaissait dans Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre. À noter d'ailleurs que si Gérard Jugnot apparaît ici dans un film Astérix, il aurait dû rejoindre cet univers bien plus tôt, devant initialement réaliser le troisième film qui aurait dû sortir en 2005, Astérix et Obélix en Hispanie ; mais ce projet n'avait pu aboutir en raison du refus d'Albert Uderzo. C'est à la suite de cette annulation que Thomas Langmann développa le projet d'Astérix aux Jeux olympiques. Autre pirate, Jacques Herlin remplace Michel Crémadès dans le rôle de Triple-Patte. Michel Crémadès incarne maintenant Facederax. Enfin, pour le troisième pirate principal, Christophe Denis remplace Mouss Diouf dans le rôle de Baba.

Yves Jacques a affirmé que Laurent Tirard lui avait proposé le rôle de Jolitorax, mais tient finalement celui du psy de César[10]. Bouli Lanners, présent dans Astérix aux Jeux olympiques dans le rôle du grec Samagas, incarne cette fois le chef normand Grossebaf. Les personnages de Panoramix (mentionné par Abraracourcix), d'Assurancetourix (on voit sa maison), de Cétautomatix, d'Ordralfabétix (on voit sa maison où est inscrit son nom) et d'Agecanonix sont absents de ce film.

Tournage

Le tournage a lieu[Note 1],[11],[12],[13] :

Titre, distributeur et 3D

Après plusieurs mois sans nouvelle du film, les médias ont annoncé que le film serait disponible en 3D dans les salles équipées. De plus, ils annoncent qu’Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre pourrait être converti en 3D et faire l'objet d'une nouvelle sortie en salles. De ce fait, le quatrième film a d'abord été intitulé Astérix chez les Bretons 3D. Fin 2010, le titre officiel du film devient Astérix et Obélix : God Save Britannia, en référence à l'hymne national God Save the Queen. D'autre part, le nouveau distributeur du film est Wild Bunch.

Nouveau site Internet et changement du titre

Pendant le tournage du film en Hongrie, Laurent Tirard et Thierry Valletoux créent un blog intitulé Looking for Asterix[14], où le réalisateur poste toutes les semaines des photos de tournages et des anecdotes. Par ailleurs, il affirme dans ce blog qu'il a contracté un virus, ce qui oblige la production à arrêter le tournage pour une courte durée. Quelque temps après le retour du réalisateur sur le plateau du film, le titre du prochain film d'Astérix est changé. En effet, en juillet 2011, on apprend que le titre du film est devenu Astérix et Obélix : Au Service de sa Majesté pour faire référence au film de James Bond Au service secret de Sa Majesté (sorti en 1969), avec George Lazenby dans le rôle de l'agent secret[15].

Accueil

Critiques

Astérix et Obélix : Au service de Sa Majesté
Score cumulé
SiteNote
Allociné[16]
Compilation des critiques
PériodiqueNote

En France, le film obtient une note moyenne de 3,25 sur le site Allociné, qui recense 27 titres de presse[16].

Si le film ne fait pas l'unanimité parmi les critiques de cinéma, la réception de ce quatrième opus est meilleure que celle du précédent. Ainsi, certains critiques reconnaissent la qualité de l'humour[17], du scénario et des dialogues[18], des acteurs (particulièrement Édouard Baer[19] et Gérard Depardieu[20]) et des actrices (Catherine Deneuve[21] et Valérie Lemercier[22]), et l'utilisation de la 3D[23]. À l'inverse, d'autres trouvent le film trop sage[24].

Sur Allociné, l'accueil est beaucoup plus mitigé de la part des spectateurs, avec 67 % des critiques spectateurs donnant entre 0 et 2 étoiles au film (sur 5 possibles)[25]. De son côté, l'un des pères d'Astérix, Albert Uderzo, se réjouit que le film donne à Astérix et à Obélix les rôles principaux, alors qu'ils étaient de simples faire-valoir dans le précédent opus[26].

Box-office

Pays ou région Box-office Date d'arrêt du box-office Nombre de semaines
France 3 820 404 entrées[27] 13

Diffusé à sa sortie sur 763 écrans en France[28], le film a enregistré 120 000 entrées le jour de sa sortie[29], ce qui est très en dessous des démarrages des épisodes précédents[30]. En fin d'exploitation, le film a enregistré 3 820 404[31] entrées en treize semaines d'exploitation, alors qu'il avait attiré 1 132 279 spectateurs en première semaine[32] ; il prend finalement la 9e place du box office 2012 en France. Avec moins de 4 millions de spectateurs en salles, Astérix et Obélix : Au service de Sa Majesté est un échec commercial pour Fidélité Productions[33] ; il devait attirer au moins 6 millions de spectateurs pour amortir l'investissement. Ce score est de fait très en-dessous de tous les autres volets des aventures d'Astérix et Obélix au cinéma, derrière Astérix aux Jeux olympiques (6,8 millions d'entrées[34]), Astérix et Obélix contre César (8,7 millions d'entrées[35]), et très loin des 14,3 millions d'entrées d'Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre de Alain Chabat[36].

À l'étranger, le film a passé le cap du million d'entrées[37].

Analyse

Références à d'autres œuvres

  • La scène d'introduction du film, où les pirates rencontrent les galères romaines naviguant en direction de la Bretagne, reprend la scène originale de l'album (présente aussi dans le dessin animé) mais s'inspire également de l'arrivée de l'armada de la Compagnie des Indes dans Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde : à cause du brouillard, l'équipage n'observe qu'une seule galère romaine et imagine donc un abordage qui ne sera pas difficile puis, voyant que les Romains sont en réalité légions, ils se retrouvent en mauvaise posture.
  • La scène où Miss Macintosh enseigne avec l'assistance d'Ophélia, les bonnes manières à Tetedepiaf, ligoté sur une chaise les yeux écarquillés avec des pinces et des électrodes sur le crâne, sur fond de musique classique, est inspirée de la « technique Ludovico » d'Orange mécanique.
  • Astérix tente d'inciter Tetedepiaf, ligoté sur une chaise, à s'évader pour qu'il rejoigne les autres Vikings, en le laissant seul dans la pièce, puis en laissant discrètement entrouverte une porte du fond de la salle. Tetedepiaf se lève, va à la porte, la referme, se rassoit et attend. Cette scène est inspirée du film de Claude Zidi, Inspecteur la Bavure, quand les collègues policiers de Michel Clément (Coluche) cherchent à l'inciter à s'évader du bureau où il est interrogé en garde à vue pour les mener au gangster Roger Morzini (interprété par Depardieu).
  • La scène de torture d'Astérix où il est soumis aux charbons brûlants est une référence à un précédent film: Astérix Mission Cléopâtre. Lorsque Astérix, incarné par Edouard Baer demande à son bourreau « Mais c'est une bonne situation ça, bourreau ? » Faisant ainsi référence à un de ses précédents rôles, Otis, ou une phrase similaire est prononcée par Panoramix (« Mais c'est une bonne situation ça, scribe ? ») en guise d'introduction du fameux monologue d'Édouard Baer resté à la postérité comme étant un classique d'improvisation et du cinéma français en général.
  • Édouard Baer, à travers le personnage d’Astérix, reprend le début du célèbre monologue de Figaro (Acte V, scène 4 du Mariage de Figaro) : « Ô femme ! femme ! femme ! créature faible et décevante ! » lorsque Ophélia rabroue Jolitorax.

Notes et références

Notes

  1. Générique du film

Références

  1. La production cinématographique en 2011, CNC, 2012, p. 15.
  2. Dates de sortie - Internet Movie Database.
  3. «Astérix chez les Bretons» : Depardieu en Obélix, Luchini en Jules César Le Parisien, le 9 novembre 2010
  4. La distribution d'"Astérix 4" affiche complet - AlloCiné
  5. « Luc Besson : Il rentre dans la bagarre pour... Astérix IV ! Le combat des chefs commence ! », sur Pure People, (consulté le )
  6. Dixit Anne Goscinny dans l'émission "Vivement dimanche" (France 2, 7 octobre 2012)
  7. « Thomas Langmann perd les droits d'Astérix... Un nouveau duo va être formé ? », sur Pure People, (consulté le )
  8. « Quels acteurs pour jouer dans "Astérix chez les Bretons" ? », AlloCine
  9. « Gérard Depardieu de nouveau dans le rôle d'Obélix », AlloCine
  10. Canoe.ca
  11. secret de tournage
  12. Filming & Production
  13. Filming & Production
  14. Lookingforasterix.com
  15. « Astérix se transforme en James Bond », sur L'Express.fr (consulté le )
  16. « Astérix et Obélix : Au service de Sa Majesté - critiques presse », sur Allociné (consulté le ).
  17. « "Astérix et Obélix au service de sa Majesté": la potion magique a toujours du goût », sur Nouvel Observateur, (consulté le )
  18. « Astérix et Obélix : Au service de Sa Majesté (3D) : critiques » (consulté le )
  19. « «Astérix», amuse gaule », (consulté le )
  20. Laurent Tirard, « Astérix et Obélix : au service de sa Majesté », (consulté le )
  21. « "Astérix et Obélix : au service de Sa Majesté" : par Toutatis !, n'est-il pas ? »,
  22. « Astérix et Obélix : au service de Sa Majesté », sur L'Express, (consulté le )
  23. « Le nouvel Astérix et Obélix est enlevé, fin et subtil[consulté le=6 mars 2013 »
  24. Voir par exemple : http://www.lexpress.fr/culture/cinema/asterix-et-obelix-au-service-de-sa-majeste_1174574.html
  25. http://www.allocine.fr/film/fichefilm-177895/critiques/spectateurs/recentes/
  26. Olivier Delcroix, « Albert Uderzo : «On a enfin rendu à Astérix et Obélix leur importance» », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Astérix et Obélix : Au service de Sa Majesté », sur JP's Box Office (consulté le )
  28. « James Bond prend la place d’Astérix à la tête du box-office français », (consulté le )
  29. « Boxoffice »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?) (consulté le )
  30. « Astérix et périls », sur Paris Match (consulté le )
  31. http://www.cine-directors.net/Top/top12.htm
  32. « Astérix et Obélix : Détails des chiffres semaines en France », sur JP's Box Office (consulté le )
  33. « Grave échec pour Astérix 4 », (consulté le )
  34. « Astérix aux Jeux Olympiques 716 », sur Allociné (consulté le )
  35. « Astérix et Obélix contre César », sur Allociné (consulté le )
  36. « Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre », sur Allociné (consulté le )
  37. Record de fréquentation pour le cinéma français à l'international en 2012, Le Monde, 18 janvier 2013

Voir aussi

Documentation

Liens externes

Saga Astérix et Obélix

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