Android Gingerbread

Android Gingerbread (signifiant « Pain d'épices ») est un système d'exploitation mobile sorti fin et développé par Google. Il possède aussi le nom de Android 2.3 (API Level 9)[1].

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Android Gingerbread

L'écran d'accueil sur un Android sans surcouche fabricant.

Famille Linux
Langues Multilingue
État du projet Terminé
Entreprise /
Développeur
Google
États des sources Open source
Première version 2.3 (le 6 décembre 2010)
Dernière version stable 2.3.7 (le 21 septembre 2011)
Gestionnaire de paquets APK
Site web developer.android.com/about/versions/android-2.3-highlights.html

Présentation

Il est dans la droite lignée des précédentes versions d'Android[2].

Il a été dévoilé le par Andy Rubin[3].

La version suivante d'Android unifie les approches smartphones et tablettes en créant un unique système d'exploitation capable d'évoluer sur ces différents environnements: Android Ice Cream Sandwich.

Améliorations

Il n'y a pas de changement radical vis-à-vis des précédentes versions, uniquement une amélioration de la rapidité et quelques modifications esthétiques.

Ainsi, le bandeau de notification (en haut de l'écran) qui était blanc laisse la place à un même bandeau noir. L'ensemble des modifications de l'interface donnent une coloration noire et verte.

Il prend désormais en charge la technologie NFC, qui sera utilisée en premier par le porte-drapeau de cette nouvelle version, le Samsung Galaxy S II.

Un support natif de la fonction copier-coller a été entièrement revu.

Les plus grands écrans sont pris en charge, ce qui permet à l'HTC Flyer de supporter cet OS.

Adoption

Au départ, ce sont les smartphones puissants qui sortent au début de l'année 2011 qui supportent cet OS comme les Sony Ericsson Xperia Play et Arc.

En 2011 Samsung déploie progressivement la mise à jour grâce à son logiciel Samsung Kies et ce, sur plusieurs smartphones de la gamme Galaxy[4]. À l'exception de certains modèles, le plus souvent d'entrée de gamme (ex: I5750, I5700, I5800).

Le déploiement se fait plus chaotique pour les fabricants HTC et Sony Ericsson qui font des erreurs de communication en expliquant qu'ils n'allaient pas pouvoir le mettre en place, puis virent de cap, et enfin invoquent des problèmes matériels et de surcouche à développer. Les mobiles touchés sont le HTC Desire[5] et le Sony Ericsson Xperia X10[6].

Références

Voir aussi

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