Alberto Balderas
Présentation
Il abandonne le Conservatoire national de musique[1].
Malgré l’opposition de son père chef d’orchestre, il se lance dans le toreo et, dès l’âge de dix-sept ans, il devient l’un des novilleros les plus célèbres du Mexique. En 1929, il part en Espagne. Le , il prend l’alternative à Morón de la Frontera (Espagne, province de Séville), avec comme parrain Manuel Mejías Rapela Manolo Bienvenida. Il retourne ensuite toréer au Mexique où il occupe les premiers postes de l’escalafón, ne revenant en Espagne qu’au cours de l’année 1934, sans grand succès.
Balderas était considéré comme un matador élégant, notamment avec le capote, et excellent aux banderilles, mais beaucoup plus faible avec la muleta et l’épée. Son toreo s’adaptait essentiellement au taureau mexicain, plus noble que le taureau espagnol.
Le , dans les arènes de Mexico, il est gravement blessé par le taureau « Cobijano » de la ganadería de Piedras Negras. Il meurt le même jour.
Références
Annexes
Articles connexes
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- (es) « Balderas (Alberto) », dans Diccionario enciclopédico U.T.E.H.A., (lire en ligne), p. 52
- (es) « Balderas, Alberto », dans Enciclopedia de México, (lire en ligne), p. 826.
- Portail de la tauromachie